Le Phare de l'angoisse, Simon Hunter

Le Phare de l’angoisse

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Le Phare de l'angoisse est le premier film de Simon Hunter sorti en 2000. Disposant d'un budget limité, le film a tout de même été présenté à certains festivals reconnus tels que Gérardmer où il a rencontré un bon accueil. Alors, nanar ou pas nanar ?
A Serbian Film

A Serbian Film

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Adepte de l'épouvante, plus rien ne vous effraie, vous avez rigolé en regardant The Human Centipede, vous vous êtes ennuyé durant Seed, Hostel et Martyr vous ont plu mais vous êtes resté sur votre faim. Society est votre film culte et vous vous dites que depuis Le Projet Blair Witch, il n'y a rien de très intéressant dans l'art de l'horreur. Alors A Serbian Movie est fait pour vous...

Critique : The Human Centipede III (Final Sequence)

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6 ans après le premier volet, la saga The Human Centipede, considérée comme l’une des sagas horrifiques les plus choquante de ces 20 dernières années arrive à son terme avec le dernier volet The Human Centipede III (Final Sequence). Le réalisateur et scénarite Tom Six arrivera-t-il à nous surprendre une dernière fois ?

Critique : El Habitante – Festival de Gérardmer 2018

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À la nuit tombée, trois jeunes femmes pénètrent par effraction chez un politicien corrompu, espérant mettre la main sur une grosse somme d’argent en liquide. Après avoir ligoté chacun des membres de la famille et trouvé les billets qu’elles cherchaient, le trio de voleuses entend des bruits étranges en provenance du sous-sol. Elles y découvrent la fille cadette du politicien, attachée et prostrée, son corps couvert de signes évidents de torture, et décident alors de lui porter secours, en ignorant la mise en garde des parents de la fillette.
Photo de Malveillance de Jaume Balagueró

Malveillance

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Est-ce un fait historique ? Un héritage culturel ? Une coïncidence? Quoi qu'il en soit, le cinéma espagnol en matière de film sombres, glauques et coup de poing se pose là. Du Labyrinthe de Pan à Balada Triste, ce cinéma nous retourne souvent l'estomac. Pas d'exception pour Malveillance qui pousse l'horreur psychologique à son paroxysme...

Cannes 2019 : Wounds (Quinzaine)

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Adapté du livre The Visible Flith de Nathan Ballingrud, Wounds raconte l'histoire de Will, un type sympa et réglo incarné par la star montante Armie Hammer, qui se retrouve, du jour au lendemain, impliqué, à cause d'un portable, dans une étrange et maléfique machination lui faisant peu à peu perdre la notion de réalité et le mettant à l'épreuve de situations surnaturelles et cauchemardesques.

We Are What We Are – Festival de Gérardmer 2014

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La valeur croissante de Jim Mickle (Mulberry Street, Stake Land) dans le cinéma américain a été confirmée par sa sélection en mai dernier à la Quinzaine des Réalisateurs avec ce portrait glacé d’une famille, les Parker aux moeurs pas très catholiques (ou alors trop) et gastronomiques bien particulières.
pic

Masks

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Après plusieurs échecs dans divers conservatoires d'art dramatique, Stella est enfin retenue dans un atelier privé aux méthodes extrêmement particulières...
Stake Land

Stake Land

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Les États-Unis sont devenus des terres de désolation. Une infestation massive de vampires putrides a plongé le pays dans un fondamentalisme sectaire tout aussi ravageur. Ce triple danger qui guette en permanence les protagonistes de Stake Land dépeint le traditionnel triptyque du film post apocalyptique : une poignée de survivants évoluant dans le chaos de la civilisation, en proie à l’extinction de l’espèce humaine et à la folie des hommes.

Dossier : La saga Poltergeist 1/4

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La saga Poltergeist est pour la plupart des gens une saga méconnue. Alors, est-ce que dans Poltergeist tout est bon ou vaut - il mieux s'en tenir au premier film datant de 1982? Nous allons nous lancer dans le ventre de la bête...

Critique : Green Room

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Deux ans après Blue Ruin présenté dans cette même section, la Quinzaine des Réalisateurs nous redonnait déjà des nouvelles de son réalisateur Jeremy Saulnier avec Green Room lors de l’édition 2015 du Festival de Cannes.

Critique : Ouija : les origines

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Dans le petit monde de l’horreur moderne adressée principalement au public pré adolescent, il devient difficile de trouver son compte, entre les innombrables found footages filmés avec les pieds pour faire réaliste, les histoires de maisons hantées et de fantômes invisibles ou les éternels films d’exorcisme toujours prétextes à plus de morale trempée dans l’eau bénite. Dans ce triste contexte, il n’y avait franchement pas de quoi être fébrile à la perspective d’une préquelle à Ouija sorti en 2015 en France. Cette adaptation purement opportuniste d’une célèbre licence de la société Hasbro n’avait pas eu grand monde pour la défendre, mais avait tout de même réussi à rapporter plus de 100 millions de dollars dans le monde, pour un budget de 5, Jason Blum oblige. Il paraissait donc inévitable que la franchise perdure d’une façon ou d’une autre. Et là, surprise, devant la caméra du plutôt très doué Mike Flanagan, cinéaste apprécié des fans de genre pour quelques films non exploités dans les salles françaises (Oculus, Hush, Before I wake), ce qui s’annonçait comme un simple produit calibré se transforme en petite pépite à l’esprit totalement atypique pour notre époque.

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Critique : N’avoue jamais

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Depuis le milieu des années 1980, Sabine Azéma et André Dussollier font partie des couples mythiques du cinéma français. Dix ans après leur dernière participation à l'univers de leur réalisateur attitré Alain Resnais dans Aimer boire et chanter et cinq ans après avoir rempilé chez Etienne Chatiliez en tant que parents impatients de voir leur fils Tanguy voler de ses propres ailes, ils font de nouveau équipe dans N'avoue jamais.

Critique Express : Etat limite

Passionnant à regarder, souvent émouvant.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Hérédité

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Le premier film d'Ari Aster Hérédité est sorti au format Blu-ray 4K Ultra HD chez Metropolitan Vidéo à la rentrée 2023. Test de rattrapage.

Test Blu-ray : Les Envahisseurs de la planète rouge

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Réalisé et sorti sur les écrans en 1953, soit la même année que La Guerre des Mondes version Byron Haskin, Les Envahisseurs de la planète rouge n’a pas forcément eu le même impact immédiat que le film adapté du célèbre roman de H.G. Wells...

Cannes 2024 : la sélection Cannes Classics

Incroyable mais vrai : le Festival de Cannes œuvre déjà depuis vingt ans en faveur du cinéma de patrimoine dans le cadre de son label Cannes Classics ! Ce qui signifie qu'il a eu quelques années d'avance sur la concurrence, à la fois à Berlin et Venise, mais également par rapport au Festival Lumière à Lyon qui n'avait vu le jour qu'il y a quinze ans, en 2009.