Bienvenue à Cedar Rapids
Après le très moyen Be Bad, Miguel Arteta revient au cinéma avec sa nouvelle comédie Bienvenue à Cédar Rapids. Cette fois ce n'est pas le monde des adolescents qui est dépeint mais celui tout aussi impitoyable des courtiers en assurance. Dans le rôle principal, on retrouve Ed Helms, révélé au grand public grâce au personnage de Stu dans Very Bad Trip.
Recherche bad boys désespérément
Katherine Heigl revient avec une énième comédie romantique, genre qui a fait son succès. Avec un scénario proche de celui de Chasseur de primes avec Jenifer Aniston et Gerard Butler, le défi est grand : faire du neuf avec de l’ancien ! Alors original ou non ?
Rude journée pour la reine
Louise Wimmer de Cyril Mennegun vient de nous offrir un beau portrait de femme en souffrance sociale. En 1973, Simone Signoret interprétait elle un rôle en phase avec l'époque.
Critique : Five
La bande des potes inséparables et prêts à commettre les pires conneries ensemble est l’un des dispositifs scénaristiques préférés de la comédie française. On ne compte ainsi plus les films où les amis traversent des expériences extrêmes pour mieux se prouver à quel point ils tiennent les uns aux autres.
50/50
50/50, est une comédie dramatique authentique, réalisée par Jonathan Levine (Wackness). C’est d’abord l’histoire vraie de Will Reiser, qui en signe le scénario. Si le film est centré sur un duo d’acteur inattendu avec l’éclectique Joseph Gordon-Levitt (Mysterious Skin, Inception…) et l’humoriste Seth Gordon (En cloque, mode d’emploi,…)
Critique : Sacré Robin des Bois
Que ce soit en dessin animé ou en film, nous avons tous vu une adaptation de Robin des Bois. Avec Sacré Robin des Bois, Mel Brooks nous propose une parodie bien potache et comique à souhait...
Critique : L’Effet aquatique
Le plus beau cadeau qu'on puisse faire à la réalisatrice, décédée alors que le montage du film n'était pas totalement terminé, consiste à ne pas retenir ses rires face aux situations très drôles qu'elle nous présente.
Berlinale 2017 : The Party (Sally Potter)
Une sensation déplaisante de déjà-vu nous a saisis lors de la découverte de ce huis-clos, seulement trois jours après celle de The Dinner de Oren Moverman, lui aussi en compétition au 67ème Festival de Berlin et lui aussi essentiellement un règlement de comptes féroce entre des proches qu’en fait tout sépare.
Critique : Les Minions
En 2010, nous faisions pour la première fois connaissance avec les Minions, des personnages atypiques (petits, jaunes avec un ou deux grands yeux) grands amateurs de bananes qui communiquent dans un langage qui leur est très personnel (un mélange de langues européennes associées à un dialecte non identifié par la race humaine ou du moins pas encore). Cinq ans après, nous retrouvons Kevin, Stuart, Bob et tous leurs frères et sœurs pour nous conter leur Histoire.
Critique : Rebelles
"Rebelles" fait plutôt bonne figure dans un genre qui sourit rarement au cinéma français, la comédie présentée comme étant déjantée,
Critique Express : L’an 01
"L'an 01" permet de prouver que, souvent, les utopistes sont ceux qui ont raison avant les autres.
Critique : Good boys
L'adolescence, c'est cet âge de passage qui constitue un formidable avant-goût de la vie d'adulte, tout en laissant de terribles souvenirs causés par un nombre incalculable de bêtises commises pendant cette parenthèse de l'irresponsabilité.