Critique : We are the best!

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Le punk n'est pas mort... il Girls Band encore dans ce joli récit d'apprentissage signé par le réalisateur de Fucking Åmål.

Critique : Mistress America

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Depuis que Woody Allen a volontairement quitté les lieux au tournant du siècle, afin de chercher son bonheur cinématographique dans des contrées et des métropoles lointaines, la ville de New York était en manque d’un réalisateur attitré, qui pourrait chroniquer l’évolution du spleen américain tout en préservant une perspective personnelle.

Friends with Kids

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Julie et Jason, meilleurs amis depuis l’université, célibataires et vivant dans le même immeuble de Manhattan, chérissent leur indépendance. Malgré l'exemple chaotique donné par leurs amis devenus parents, ils décident de faire ensemble un enfant, de partager les responsabilités parentales, sans que chacun renonce à sa liberté sentimentale. La «transaction» acceptée, un bébé vient au monde, et tout semble fonctionner. Du moins jusqu'au jour où Jason fait la connaissance d'une danseuse. Se sentant larguée, Julie redouble d'ardeur dans sa recherche de l'âme sœur, qu'elle croit finalement avoir trouvée en la personne d'un séduisant divorcé. Bientôt, les bouleversements sentimentaux mettent en péril l'entente qui lie les deux amis…

Critique express : Perfect days

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Ces "Perfect days", ce sont ces journées que vit Hirayama, un homme âgé qui travaille avec une grande méticulosité au nettoyage des toilettes publiques du quartier de Shibuya. Ce que recherche et qu'apprécie Hirayama dans ces journées, c'est la modestie, la simplicité et le côté routinier de leur déroulement,..

Critique Express : M. & Mme Toutlemonde

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Malgré l'origine théâtrale du projet, "M. & Mme Toutlemonde" ne fait pas du tout "théâtre filmé"

Critique : Ted 2

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Ted 2 USA, 2015 Titre original : Ted 2 Réalisateur : Seth MacFarlane Scénario : Seth MacFarlane Acteurs : Mark Wahlberg, Seth MacFarlane, Amanda Seyfried Distribution : Universal Pictures International France Durée : 1h55 Genre...

Télé gaucho

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Tout a commencé lorsque les caméscopes ont remplacé les caméras. Faire de la télé devenait alors à la portée de tous. Jean-Lou, Yasmina, Victor, Clara, Adonis et les autres ne voulaient pas seulement créer leur propre chaîne de télé, ils voulaient surtout faire la révolution. Ainsi naquit Télé Gaucho, aussi anarchiste et provocatrice que les grandes chaînes étaient jugées conformistes et réactionnaires. Cinq années de grands foutoirs, de manifs musclées en émetteur pirate, de soirées de beuveries en amours contrariées... et ce fut ma parenthèse enchantée.

Critique : Voyez comme on danse

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Seize ans ! Seize ans, c'est long, bordel ! Nous ne suivons pas d'assez près le cinéma français pour nous être rendus compte plus tôt que cela fait une éternité que Michel Blanc n'a plus réalisé de film. Et pourtant, si ! Cela fera donc, quasiment jour pour jour, autant d'années depuis la sortie de Embrassez qui vous voudrez en octobre 2002.

Critique : Yomeddine

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En mai dernier, un miracle s'est produit sur la Croisette : "Yomeddine", un "petit" film égyptien, ayant comme principaux interprètes un lépreux et un gamin de 10 ans, s'est retrouvé en lice pour l'obtention de la prestigieuse Palme d'Or.

Critique : Fremont

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Dans un film qui parle des difficultés d'intégration d'une jeune afghane immigrée aux Etats-Unis, Babak Jalali fait preuve d'un humour très fin qui excelle à apporter de la légèreté à des situations délicates.

Critique : On l’appelle Jeeg Robot

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Premier film de Gabriele Mainetti, On l’appelle Jeeg Robot, est une relecture italienne du traditionnel film de super héros américain. Le décalage ne prend pas vraiment, On l'appelle Jeeg robot s’avère très simpliste, s’apparentant à une simple série B relevée par de bien rares scènes d’action impressionnantes mais trop rares.

Critique : Marie et les Naufragés

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Après "Deux automnes, trois hivers", Sébastien Betbeder emploie à nouveau son parti-pris de mise en scène qui consiste à placer certains de ses personnages au centre de l'écran pour s'adresser au spectateur et présenter sa vie en version accélérée. Cela pourrait n'être qu'un artifice mais permet de faire avancer le récit de façon plus originale qu'un flash-back traditionnel et d'inscrire cette comédie poétique dans un registre particulier du cinéma français contemporain.

Derniers articles

Test Blu-ray : Sinners

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Sinners, c’est un peu comme si le cinéma américain avait décidé de se souvenir qu’il avait une âme. Pas une âme propre, bien sûr — ce serait trop simple — mais une âme cabossée, pleine de blues, de sang, de jumeaux hantés et de plans-séquences qui feraient passer Alfonso Cuarón pour un stagiaire en école de cinéma.

Sarlat 2025 : Animal totem

Comme le disait l’éminent Fritz Lang, le format d’écran large est fait pour les serpents et les enterrements. Dans Animal totem, il aurait pu y avoir légitimement les premiers et, on le craint, il y a au moins métaphoriquement le deuxième. Car en optant pour un format extrêmement large, du 3:55 pour les puristes, le réalisateur Benoît Delépine bouscule nos habitudes de visionnage.

Sarlat 2025 : Promis le ciel

En règle générale, le parcours d’immigration n’est linéaire pour personne. A plus forte raison lorsqu’il se faufile dans la clandestinité, à l’écart des canaux officiels, sursaturés depuis longtemps. Ainsi, il y a des moments de précipitation au risque de sa propre vie d’un côté et des pauses lénifiantes de l’autre, qui coïncident avec une situation bloquée dont on peine à percevoir une issue favorable.

Sarlat 2025 : A pied d’œuvre

En France, en 2025, la précarité ne relève pas du mythe. Elle peut commencer, presque innocemment, par des difficultés à boucler les fins de mois. Pour se transformer tôt ou tard en une crise existentielle pouvant prendre de nombreuses formes dont aucune n’est édifiante ou plaisante à regarder.

Test Blu-ray : La trilogie Pusher

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Le coffret de la trilogie Pusher vient de sortir en Blu-ray et Blu-ray 4K Ultra HD, mais malheureusement, l’éditeur n’a pas été en mesure de nous faire suivre les galettes Katka. Ne fuyez pas pour autant : on se contentera pour une fois des Blu-ray classiques...