Cannes 2016 : Mean Dreams + Folles de joie – Quinzaine
Mean Dreams
Canada, 2016
Titre original : -
Réalisateur : Nathan Morlando
Scénario : Ryan Grassby et Kevin Coughlin
Acteurs : Sophie Nélisse, John Wiggins, Bill Paxton
Distribution : -
Durée...
Cannes 2016 : Apnée – Semaine Critique
Apnée est un film qui porte bien son nom, devant lequel se retenir de rire et difficile et respirer l'est d'autant plus.. Ce film a été présenté, à la semaine de la critique en séance spéciale, comme le film qui renouvelle la tradition française mêlant théâtre et Cinema.
Cannes 2016 : Tour de France – Quinzaine
Tour de France
France, 2016
Titre original :
Réalisateur : Rachid Djaïdani
Scénario : Rachid Djaïdani
Acteurs : Gérard Depardieu, Sadek ...
Distribution : Le Pacte
Durée : 2h08
Genre : Comédie...
Cannes 2016 : L’économie du couple
L'économie du couple "Vous faire une proposition où vous n'avez pas à choisir un camp est aussi un point de vu" Voila les quelques mots du réalisateur qui ont clôturé la séance de l'économie du couple hier à la quinzaine des réalisateurs.
Critique : Sisters
Tina Fey et Amy Poehler forment un duo de choc dans le monde de la comédie américaine, grâce à leur collaboration régulière dans les sketchs de « Saturday Night Live » et le rôle de maîtresses de cérémonie des Golden Globes qu’elles ont endossé pour l’instant à trois reprises.
Test DVD : Chant d’hiver
On retrouve dans "Chant d'hiver" les fondamentaux du cinéma de Iosseliani : sa façon poétique d'aborder le réel, l'utilisation de plans séquence, d'une durée toujours très raisonnable, son goût pour le chant, pour la musique en général, si possible accompagnée de bonnes lampées de vodka.
Test DVD : Certifiée Halal
De l'échange inopiné de futures mariées va naître un imbroglio qui ne donne pas le beau rôle à la gent masculine et permet de lâcher, dans ce qui est une comédie à vocation populaire, de très bonnes piques visant les traditions obscurantistes et les extrémismes religieux.
Test DVD : La Fille du patron
Des choix parfaitement assumés et une réalisation très bien maîtrisée pour un premier long métrage permettent de situer le film dans le haut du panier en matière de comédie sociale
Critique : Eddie The Eagle
1988, la ville de Calgary (Canada) est en pleine effervescence parce qu’elle se prépare à accueillir les quinzième Jeux Olympiques d’hiver. Des athlètes du monde entier débarquent pour partager leur passion et participer à l’évènement le plus emblématique du milieu sportif. Les entrainements sont lancés, les supporters sont gonflés à bloc pour encourager leurs équipes.
Critique : Marie et les Naufragés
Après "Deux automnes, trois hivers", Sébastien Betbeder emploie à nouveau son parti-pris de mise en scène qui consiste à placer certains de ses personnages au centre de l'écran pour s'adresser au spectateur et présenter sa vie en version accélérée. Cela pourrait n'être qu'un artifice mais permet de faire avancer le récit de façon plus originale qu'un flash-back traditionnel et d'inscrire cette comédie poétique dans un registre particulier du cinéma français contemporain.
Critique : Chair de poule – le film
Un homme marche seul avec une valise noire. Cette dernière s’ouvre et laisse s’envoler plusieurs manuscrits. Une ombre passe à travers la ville et semble avoir un effet sur le décor et les personnages. Une femme sur une affiche de publicité change et se met à arborer une expression de dégoût. Les yeux d’un chien projettent une lueur jaunâtre. Si on n’a pas encore zappé, c’est qu’on est jeune et donc curieux. Curieux de voir si cet épisode nous fera peur. Bien que la musique soit à elle seule inquiétante, on reste devant notre écran. C’est un soir normal après l’école, en hiver. On déprime de n’être qu’au début de la semaine. Le vent qui fait claquer les volets ne nous rassure pas. Il fait déjà nuit et on ne se doute pas qu’après avoir éteint la télé, on ne va pas beaucoup dormir. Des frissons parcourent tout notre corps et ce faisant expliquent à merveille le nom de cette série adaptée des livres de R.L. Stine : Chair de poule.
Critique : Tout pour être heureux
Les histoires de séparation ne sont jamais très marrantes à raconter. Quand deux êtres humains se séparent, c’est rarement de gaieté de cœur et il y a souvent des dommages collatéraux difficilement prévisibles. Même dans les tentatives plus ou moins désespérées d’en tirer matière à rire, il reste toujours un fond d’amertume et de regrets qui déteint forcément sur la bonne humeur affichée avec ostentation.



















