Critique : Chanda une mère indienne
Cherchant avant tout à promouvoir les vertus des études auprès de ses jeunes compatriotes et de leurs parents, la réalisatrice indienne Ashwiny Iyer Tiwari a simultanément réussi à proposer un très beau film de cinéma, à même d'émouvoir et d'intéresser tous les publics.
Le Monde de Charlie
Au lycée où il vient d’arriver, on trouve Charlie bizarre. Sa sensibilité et ses goûts sont en décalage avec ceux de ses camarades de classe. Pour son prof de Lettres, c’est sans doute un prodige, pour les autres, c’est juste un "loser". En attendant, il reste en marge - jusqu’au jour où deux terminales, Patrick et la jolie Sam, le prennent sous leur aile. Grâce à eux, il va découvrir la musique, les fêtes, le sexe… pour Charlie, un nouveau monde s’offre à lui.
La Clinique de l’amour
"La clinique de l’amour !" c’est "Urgences" traité à la manière de "Y-a-t-il un pilote dans l’avion ?" et "Un poisson nommé Wanda". Des histoires d’amour (torrides), d’argent, de trahisons (odieuses), dans une clinique au bord de la ruine, où s’affrontent John et Michael (chirurgiens), sournoisement manipulés par Samantha, une garce aussi cupide que fatale sous les yeux (magnifiques) d'une ravissante infirmière, du doux nom de “Priscilla”. Une comédie pour tous, de 12 à 122 ans !
Critique : Rock Forever
Sherrie, jeune provinciale, rencontre Drew, garçon de la ville, sur le Sunset Strip, alors qu'ils tentent de percer à Hollywood. "Rock Forever" raconte leur histoire d'amour à travers les tubes de Def Leppard, Foreigner, Journey, Poison, REO Speedwagon, et Twisted Sister...
Critique Express : Libre échange
On attendait mieux de la part de Michael Angelo Covino et Kyle Marvin que cette comédie de boulevard basée sur les relations sexuelles, qui se veut anticonformiste mais qui est surtout paresseuse.
Dancer in the dark
Selma Jezkova, émigrée tchèque et mère célibataire, travaille dans une usine de l'Amérique profonde des années 60. Elle trouve son salut dans sa passion pour la musique, spécialement les chansons et les danses des grandes comédies musicales hollywoodiennes. Selma garde un lourd secret : elle perd la vue et son fils Gene connaîtra le même sort sauf si elle réussit à mettre assez d'argent de côté pour lui payer une opération. Quand un voisin aux abois accuse a tort Selma d'avoir volé ses économies, le drame de sa vie s'intensifie pour se terminer en final tragique.
Turn me on
Un ovni venu de Norvège qui confirme la formidable énergie du cinéma scandinave. Avec des comédiens criants de vérité, cette adaptation d’un sulfureux roman qui a fait scandale en Norvège à sa sortie est une vraie réussite.
Critique : On a marché sur Bangkok
… parce que sur la Lune, c'est déjà fait … comme le rappelle le slogan de cette comédie (?) d'aventures du célèbre duo Kad & O qui n'a pas encore fait ses preuves sur le grand écran, si l'on épargne le diptyque Pamela Rose, seule réelle tentative de retrouver l'esprit déviant de leur travail à la radio, à la télévision et même sur scène lors de leur unique tentative à ce jour. Côté cinéma, c'est pas encore gagné...
Happy New Year
Nouveau Blockbuster Américain de Garry Marshall qui, après Valentine’s day nous propose une fois de plus un casting impressionnant. Si le profit est un critère de succès, on peut dire que Happy New Year marque des points : 13,7 millions de dollars de recette en une semaine aux Etats Unis. Cela dit, si la quantité des stars à l’affiche faisait une bonne comédie, cela se saurait.
Critique : Men & chicken
Men & chicken est un film terriblement drôle. Il nous parle de choses immondes mais le fait d’une manière qui fait rire et émeut à certains moments. Anders Thomas Jensen signe ici, une œuvre qui n’a rien à envier au décalage inhérent de ses autres créations, Les bouchers verts et Adam’s apples.
Sexy Dance 4
Miami Beach – Amis d’enfance, Sean et Eddy travaillent comme serveurs dans l’hôtel de luxe Dimont, propriété du magnat de l’immobilier Bill Anderson. Ces deux jeunes ont monté ensemble une troupe alternative, "The Mob", à l’avant-garde de la danse de rue et cœur du mouvement protestataire urbain. Le brio, l’audace et l’imagination de la troupe attirent l’attention de la fille d’Anderson, Emily, danseuse classique douée que son père pousse à exercer un "vrai métier" au mépris de sa passion. L’arrivée de cette "gosse de riche", très mal vue par Eddy, et son idylle naissante avec Sean sonneront-elles le glas de "The Mob" ?
Critique : May December
Aux Etats-Unis, l'expression "May december" est utilisée pour décrire une relation amoureuse entre deux personnes d'âges très différents.


















