La Belle et le Clochard
La Belle et le Clochard est le 19ème long-métrage des studios Walt Disney, créé en 1955. L'histoire est, pour la première fois, tirée d'une nouvelle de Ward Greene, Happy Dan, the Whistling Dog. Ce film d'animation est également le premier de Disney à utiliser le son stéréo et le format d'image CinemaScope (2,55:1). Il remportera en 1956 le prix de La Meilleure Production Etrangère aux David di Donatello, et sera nominé la même année aux BAFTA Awards dans la catégorie Meilleur Film d'Animation.
Focus sur les personnages de The Avengers
Le film "The Avengers" fait un carton. En pas moins de trois semaines, il a déjà réalisé plus de 3 478 674 entrées en France (source jpbox-office)....
La Légende de Beowulf
Un passage à l’heroic fantasy réussi pour Robert Zemeckis qui, usant à nouveau de la technologie de la motion-capture, parvient avec étonnement à livrer un film plus mâture qu’il n’en a l’air…
Critique : Zootopie
Le nouveau film d’animation Disney fait dans l’anthropomorphisme et traite avec humour différents sujets afin de faire comprendre à nos chères petites têtes blondes qu’il faut croire en ses rêves, ne pas faire d’un cas une généralité et ne pas s’attacher aux apparences.
Critique : Kirikou et les hommes et les femmes
Après le succès de Kirikou et la sorcière, puis de Kirikou et les bêtes sauvages, Michel Ocelot a fini par céder aux demandes du public qui souhaitait revoir leur mini-homme (nu) préféré, avec Kirikou et les hommes et les femmes.
Monstres Academy
Même quand il n’était qu’un tout petit monstre, Bob Razowski rêvait déjà de devenir une Terreur. Aujourd’hui, il est enfin en première année à la prestigieuse université Monstres Academy, où sont formées les meilleures Terreurs. Son plan de carrière bien préparé est pourtant menacé par sa rencontre avec James P. Sullivan, dit Sulli, un vrai crack qui a un don naturel pour Terrifier. Aveuglés par leur désir de se prouver l’un à l’autre qu’ils sont imbattables, tous deux finissent par se faire renvoyer de l’université. Pire encore : ils se rendent compte que s’ils veulent que les choses aient une chance de rentrer dans l’ordre, ils vont devoir travailler ensemble, et avec un petit groupe de monstres bizarres et mal assortis…
Critique : Souvenirs de Marnie
Le nouveau film du Studio Ghibli, qui sort dans les salles françaises le 14 janvier 2015 après avoir essuyé un relatif échec cet été au Japon, relève au moins deux défis : celui de l’adaptation, dans l’univers japonais contemporain, d’un classique de la littérature anglo-saxonne (When Marnie Was There de Joan G. Robinson), ainsi que celui de la réalisation du premier film du studio depuis que son co-fondateur et illustre représentant Hayao Miyazaki a annoncé sa retraite (voir l’exposition consacrée au studio Ghibli).
Critique : Les Cinq Légendes
L’aventure d’un groupe de héros, tous doués de pouvoirs extraordinaires. Emmenées par Jack Frost, un adolescent rebelle et ingénieux, ces cinq légendes vont devoir, pour la première fois, unir leurs forces pour protéger les espoirs, les rêves et l’imaginaire de tous les enfants.
Tapis rouge de La Reine des Neiges à Disneyland Paris !
En ce weekend prolongé du 11 novembre, Disneyland Paris a décidé de lancer officiellement sa saison de Noël sous le signe de La Reine des Neiges, et nous avions la chance de pouvoir y être !
Albi 2016 : Louise en hiver
Le trait est simple, tout comme l’histoire. Et pourtant, il émane du nouveau film d’animation de Jean-François Laguionie une incroyable poésie, proche du délire doux et en même temps fermement mélancolique ! Le destin d’une vieille dame, qui a raté le dernier train pour échapper à la morosité hivernale de la côte atlantique, n’émeut personne dans Louise en hiver, faute d’interlocuteur.
Critique : Les hirondelles de Kaboul
On ne peut que souscrire à la dénonciation de l'obscurantisme des talibans afghans. On ne peut qu'applaudir au casting de "Les hirondelles de Kaboul". Il est toutefois aussi permis de trouver que la joliesse des images enlève de la vigueur à la dénonciation et que l'utilisation du français dans le contexte du film a du mal à être acceptée dans le cinéma de ce siècle.
Critique : Vice-versa
Alors qu’on la croyait en perte de vitesse, la recette Pixar a encore fait mouche avec ce nouveau joyau du cinéma d’animation. Le procédé de trouver un sujet universel et donc accessible à tous, puis de le faire passer par la moulinette de la relecture intelligente et guère iconoclaste propre à l’esprit Disney du nouveau millénaire fonctionne en effet à merveille dans Vice-versa.



















