Test Blu-ray : Timbuktu
Après avoir fait grande impression lors du Festival de Cannes 2014 ainsi qu'à la cérémonie des Césars 2015, où le film a remporté sept statuettes dont celles du meilleur film et du meilleur réalisateur, Timbuktu est dorénavant disponibles aux assauts des mâchoires complaisantes de votre lecteur Blu-ray.
Test Blu-ray : Urban Legend
Sorti sur les écrans US en 1998, soit un an seulement après Scream, Urban Legend est pourtant déjà la deuxième expérience du producteur Neal H. Moritz dans le domaine du néo-slasher : l’année précédente, il avait produit Souviens-toi... l'été dernier
Test DVD : Lisa Frankenstein
Vous pensiez que Diablo Cody avait disparu en même temps que la Tecktonik et Tokio Hotel ? Il se trouve que non : la scénariste vient donc de s’associer à la réalisatrice Zelda Williams pour l’étonnant Lisa Frankenstein.
Test Blu-ray : Le bagarreur
Premier film de la carrière de cinéaste de Walter Hill, Le bagarreur posait déjà les bases d’une très riche filmographie à venir, très tournée vers une certaine idée de la masculinité et des relations viriles...
Test DVD : 7 jours pas plus
7 jours pas plus s'avère une œuvre globalement sympathique et marque la naissance d'un cinéaste à suivre, même si on attend surtout que Reyes se débarrasse de ses quelques tics d’écriture : on est sûr que s’affranchir du « politiquement correct » lui permettrait de trouver un nouveau souffle ! Un sentiment que partage assurément notre rédacteur en chef Pascal Le Duff, qui écrivait lors de la sortie du film dans les salles françaises
Test Blu-ray : Cut
Film de « petit malin », développant un côté ouvertement référentiel et conscient de lui-même, le film d’horreur australien Cut s’inscrit dans une large vague de néo-slashers initiés par le succès international de Scream (Wes Craven, 1996).
Test DVD : Roulette – A game of chance
Deuxième film à intégrer la collection « Filmriß », initiée par Artus Films en collaboration avec Sin'Art, Roulette : A game of chance est en revanche assez éloigné de Verloren, qui constituait notre première incursion dans le cinéma de genre indépendant allemand. Si le film de Marco Pultke misait tout sur son scénario quitte à en délaisser un peu son aspect strictement « visuel », Julian Schöneich quant à lui misera beaucoup sur l'image avec Roulette : A game of chance, imposant malgré son budget très limité un beau format Scope, une photo léchée et des effets spéciaux souvent impressionnants, dont certains raviront franchement les amateurs de « gore ».
Test DVD : Vincent n’a pas d’écailles
L'idée de Thomas Salvador de signer un film de super-héros « à la française » en refusant le spectaculaire à tout crin s'avère d'une fraicheur et d'une originalité certaines. S'il ne tient pas toutes ses promesses et ressemble certes à un court-métrage étiré sur un peu plus d'une heure, son premier long-métrage Vincent n'a pas d'écailles a au moins pour lui de créer une bouffée d'air frais dans le paysage cinématographique français.
Test Blu-ray : Plus beau que moi tu meurs
Plus beau que moi tu meurs a enregistré rien de moins que 3,2 millions d'entrées dans les salles françaises en 1982, puis le film a été régulièrement diffusé à la télévision, au moins jusqu'à la disparition de La 5 en 1992. Depuis, plus rien.
Test DVD : L’étalon
On ne change pas une équipe qui gagne : après Un drôle de paroissien et La grande lessive (!), Jean-Pierre Mocky et son coscénariste Alain Moury remettent le couvert avec L’étalon, une troisième comédie absurdo-potache, toujours portée par Bourvil dans le rôle du gentil illuminé de service, et affichant toujours au casting les habitués des premiers films : Roland Blanche bien sûr, mais également René-Jean Chauffard, Michael Lonsdale ou l'impayable Jean-Claude Rémoleux.
Test Blu-ray : Je sais rien mais je dirai tout
Avec Je sais rien mais je dirai tout, Pierre Richard se pose en anarchiste poétique, gentiment contestataire : on sent en effet que derrière le cynisme de façade se cachent des aspirations et des rêves utopiques concernant la société de demain.
Test Blu-ray : Climax
Le dernier long-métrage de Gaspar Noé, loin d’être parfait, déploie une énergie communicative et une spontanéité impressionnantes. Bien entendu, si vous n’avez pas aimé les précédents films du cinéaste, vous n’aimerez pas non plus Climax. Mais il serait dommage de bouder son plaisir devant cette danse de laquelle on ressort exténués, mais heureux...