Test DVD : Bone tomahawk
Comme sa sélection au festival de Gérardmer en début d'année pouvait le laisser deviner, Bone tomahawk n'est pas tout à fait le western traditionnel auquel on pourrait s'attendre. Ça commence comme un western, ça a le goût, l'odeur et les images d'un western tout ce qu'il y a de plus classique pendant un peu plus d'une heure
Test Blu-ray : Skin trade
Imaginez un film d'action opposant les uns aux autres les personnages de Spawn, Hellboy, Robocop et Musclor. Pour bien faire, ajoutez-y en plus le combattant muay-thaï de Ong Bak, et imaginez le résultat. Cet improbable mélange est aujourd'hui disponible au cœur même de votre salon (prévoyez de bouger les meubles) puisque dans Skin trade
Test DVD : Chant d’hiver
On retrouve dans "Chant d'hiver" les fondamentaux du cinéma de Iosseliani : sa façon poétique d'aborder le réel, l'utilisation de plans séquence, d'une durée toujours très raisonnable, son goût pour le chant, pour la musique en général, si possible accompagnée de bonnes lampées de vodka.
Test Blu-ray : The human centipede 2
The human centipede 2 étant disponible depuis plusieurs années déjà en téléchargement illégal, on ne pourra que se prosterner devant le courage et l'audace de Condor Entertainment de sortir le film aujourd’hui. Les fans français l'attendaient, tout comme tous les cinéphiles déviants se refusant à télécharger le moindre film illégalement.
[Sortie DVD] SPETTERS de Paul Verhoeven enfin DVD
Rareté : SPETTERS le film invisible depuis 12 ans en France de Paul VERHOEVEN enfin en DVD pour la première fois...
Test DVD : Certifiée Halal
De l'échange inopiné de futures mariées va naître un imbroglio qui ne donne pas le beau rôle à la gent masculine et permet de lâcher, dans ce qui est une comédie à vocation populaire, de très bonnes piques visant les traditions obscurantistes et les extrémismes religieux.
[Sorties Blu-ray / DVD] Action, Gore et Polar made in 80’s chez Carlotta cet...
Dans la poursuite de son travail sur les films des années 1970-80-90, Carlotta Films inaugure une nouvelle collection autour du cinéma de genre des années 1980 et 1990. Films d’action, polars urbains, slasher, films d’horreur low-fi... il y en aura pour tous les goûts !
Test DVD : L’amour par accident
Les français ont découvert le cinéma de David O. Russell en l’espace de trois films magistraux : Flirter avec les embrouilles (1996), Les rois du désert (1999) et J’adore Huckabees (2004). Trois longs-métrages de doux-dingue, au propos souvent gonflé, à la fois très intéressants et beaucoup plus profonds qu’ils n’en avaient l’air, ayant automatiquement inscrit David O. Russell dans le carnet mental des « cinéastes à suivre de près » de très nombreux cinéphiles.
Test DVD : La Fille du patron
Des choix parfaitement assumés et une réalisation très bien maîtrisée pour un premier long métrage permettent de situer le film dans le haut du panier en matière de comédie sociale
Test Blu-ray : Joy
Ce nouveau film de David O. Russell, metteur en scène de Happiness therapy et American bluff est porté une fois de plus par les trois acteurs fétiches du réalisateur : Jennifer Lawrence, Bradley Cooper et Robert De Niro. Inspiré d’une histoire vraie, Joy décrit le fascinant parcours sur une quarantaine d’années d’une femme farouchement déterminée à réussir, en dépit de son excentrique et dysfonctionnelle famille.
Test DVD : The beast
De Behandeling, c'est l'adaptation du roman de Mo Hayder « The treatment », disponible en France depuis quelques années sous le titre de « L'homme du soir ». Le reste du monde n'étant pas forcément familiarisé avec la langue flamande, le film prendra le nom de The treatment dans les plupart des pays où il s'exporte à l'occasion de festivals, sauf en France, où il débarquera sous le titre de The beast.
Test Blu-ray : Les innocents
1961 : Un an à peine après le succès du Village des damnés produit par la MGM, les studios 20th Century Fox, sans doute désireux de surfer sur la vague des enfants maléfiques (initiée par La mauvaise graine en 1956), prennent l'initiative de confier au britannique Jack Clayton la garde du petit Martin Stephens, tête d'affiche du film de Wolf Rilla, qui délaisserait la perruque blonde pour promener son faciès à la fois angélique et foutrement inquiétant dans les couloirs sombres d'une immense demeure gothique dans Les innocents.