Test DVD : My Kid
Émouvant mais ne versant jamais dans les excès de pathos, My Kid tend à illustrer parfaitement l’universalité que peut occasionnellement atteindre un médium tel que le cinéma.
Test DVD : Comment réussir… quand on est con et pleurnichard
Co-écrit par Jean-Marie Poiré et Michel Audiard, qui en assurait bien évidemment les dialogues, Comment réussir quand on est con et pleurnichard est un des films les plus « mal aimés » de la carrière de Michel Audiard.
Test DVD : Le Cavalier du Diable (Les Contes de la Crypte)
Suite au succès de la série Les Contes de la crypte, qui fut diffusée sur HBO entre 1989 et 1996, les producteurs et la Universal ont commencé à plancher sur Le Cavalier du diable, un long-métrage adapté de la série TV.
L’actualité DVD – bluray d’octobre 2015
Retrouvez ici les tests des principaux DVD et bluray sortis en octobre de nos rédacteurs Mickael Lanoye et Jean-Jacques Corrio, avec notamment Mad Max...
À voir sur Netflix : Hubie Halloween / Des bonbons ou un sort pour...
Sous contrat avec la plateforme de SVOD Netflix depuis 2015, Sandler revient avec Hubie Halloween au genre de personnages qui a fait sa gloire : celui de l’idiot du village, du brave niais plein de bonne volonté – un inadapté dont on pouvait déjà voir les prémisses dans Billy Madison (1995) ou Waterboy (1998)
Test DVD : Aux jours qui viennent
Ce premier long métrage de Nathalie Najem prouve qu’on tient avec cette scénariste une réalisatrice de très grand talent.
Test DVD : La très très grande classe
Audrey Fleurot et Melha Bedia partagent l’affiche du film La très très grande classe, en interprétant deux professeurs.
Test Bluray : Flight
Whip Whitaker, pilote de ligne chevronné, réussit miraculeusement à faire atterrir son avion en catastrophe après un accident en plein ciel… L’enquête qui suit fait naître de nombreuses interrogations… Que s’est-il réellement passé à bord du vol 227 ? Salué comme un héros après le crash, Whip va soudain voir sa vie entière être exposée en pleine lumière.
Test Blu-ray : Fanatic
Production Hammer du milieu des années 60, Fanatic fait partie de la vague de thrillers psychologiques contemporains produits par le studio britannique suite au succès de Psychose. On ne trouvera donc point au cœur du film le moindre artifice formel hérité du cinéma gothique, mais un huis-clos oppressant, emmenant le spectateur au cœur de la folie, là où les fantômes d’un passé trouble ne sont jamais très loin. Contrairement à des films tels que Hurler de peur (1961), Paranoïaque (1963) ou Meurtre par procuration (1964), Fanatic ne nous propose pas une intrigue lorgnant trop ouvertement du côté de chez Daphné Du Maurier ou de Boileau-Narcejac : le scénario du légendaire Richard Matheson – adapté d'un roman signé Anne Blaisdell – va en effet d'avantage chercher ses inspirations du côté de Qu'est-il arrivé à Baby Jane ? (1962) : le film offrira en effet une belle grosse pathologie psychiatrique à son héroïne du troisième âge, non pas ici incarnée par Bette Davis mais par Tallulah Bankhead, actrice ayant connu son heure de gloire dans les années 30/40.
Test DVD : L’intouchable, Harvey Weinstein
S'il a eu ce qu'il voulait, c'est que, forcément, c'était consenti !
Test Blu-ray : Room
Le genre de fait divers sordide à l’origine de l’histoire de Room aurait pu donner lieu à toutes sortes de traitements choquants. Le dispositif – hélas inspiré de la réalité – de la femme séquestrée pendant des années en guise de jouet sexuel par des crapules sadiques est à lui seul si désespérant et révoltant que toute exploitation par le biais de la fiction risque d’apparaître scandaleusement opportuniste. L’exploit du film de Lenny Abrahamson consiste alors à contourner habilement les aspects les plus glauques de cette affaire, qui seraient davantage à leur place dans un film d’horreur, pour mieux se concentrer sur les relations humaines ayant persisté tant bien que mal au cours du calvaire d’abord physique, puis psychologique des personnages. Car le récit n’est point conçu à la manière d’un thriller conventionnel, où la libération de la captivité serait vécue comme le point d’orgue final d’un suspense insoutenable. La répartition en deux parties distinctes du film permet au contraire à la narration de se pencher sur ce qui compte réellement dans ce contexte périlleux : la rage de survivre coûte que coûte, malgré une existence brisée par la plus perverse des cruautés humaines.
Test DVD : La Bête dans la Jungle
La Bête dans la jungle suit essentiellement deux personnages, John et May (Tom Mercier et Anaïs Demoustier). Ces derniers se croisent et se recroisent sur une période de 25 ans, de 1979 à 2004, au cœur d’un club coupé du reste du monde...


















