Test DVD : 7 boxes
Un cadavre, 250.000 dollars, une série de quiproquos dramatiques traités avec détachement, et la boule de neige est lancée. De nombreux personnages décrits comme autant de petits truands pas forcément très futés se croisent et se recroisent, beaucoup d'entre eux, confrontés à des choix cornéliens, prennent la pire décision possible, entrainant chaos, confusion... et rires sur leur passage.
Test DVD : Mizrahim – Les oubliés de la Terre Promise
Mizrahim - Les oubliés de la Terre Promise, est un long-métrage documentaire qui n'a pas peur d’appuyer là où ça fait mal et évoque de manière assez frontale la discrimination entre juifs Ashkénazes et Mizrahim en Israël.
Test Blu-ray : La colline a des yeux – Édition 40ème anniversaire
Étant donné l’attente fébrile entourant la sortie de La colline a des yeux, petit « classique » de la filmographie de Wes Craven, le discret éditeur Program Store s’est fendu de livrer au public une édition définitive, contenant la bagatelle de deux galettes Blu-ray + un DVD ainsi que « Le droit à l'horreur », un livre de 200 pages consacré à Wes Craven et signé de la plume de Marc Toullec, spécialiste du fantastique et rescapé de la « bonne période » du magazine Mad Movies.
Test DVD : Le Prix de la Vérité
Le Prix de la Vérité est un film réalisé par Aneesh Daniel basé sur des faits réels qui ont eu lieu en 1999 en Inde, lorsque le missionnaire australien Graham Staines a été brûlé vif avec ses deux fils par des fondamentalistes hindous.
Test DVD : Le fauve en liberté
Outre le plaisir de retrouver James Cagney dans la peau d'un gangster, le fait de voir ou de revoir Le fauve en liberté aujourd'hui – soit 70 ans après sa sortie dans les salles obscures – permettra au spectateur contemporain de constater à quel point les concepts de modernité ou même d'originalité ne sont, finalement, que des vues de l'esprit. Personne n'invente rien, tout a déjà été fait, et le cinéma n'est qu'un éternel recommencement. Le film de Gordon Douglas met donc en scène un parfait psychopathe, ouvertement manipulateur, pour qui la vie, la mort, l'amitié ou même l'amour ne sont que des mots vides de sens. Mais finalement, on comprendrait presque le comportement antisocial du personnage de Ralph Cotter (Cagney) : le monde autour de lui semble tout aussi pourri ; tous les personnages sont en effet présentés comme des salauds, des arrivistes ou des hors-la-loi. Truands, avocats, bonnes femmes, flics : tous véreux, tous dans le même panier. Alors bien sûr, Cotter lui prend le taureau par les cornes, prend de force tout ce dont il a envie (femmes, argent), et le plus vite est le mieux. Pour arriver à ses fins, il n'hésite pas à tuer tous ceux qui se mettront en travers de sa route, qu'ils soient amis ou ennemis, aucun code d'honneur ni morale ne sont de rigueur.
Test DVD : Peaky Blinders – Saison 1
Servie par un casting quatre étoiles, mais aussi par une photo et une reconstitution historique aux petits oignons, Peaky Blinders revisite avec brio (« avec qui ? ») les heures sombres de l’Angleterre industrielle au lendemain de la Grande Guerre...
Test Blu-ray : Mr Robot – Saison 1
Il est presque impossible, en regardant la première saison de Mr. Robot, de ne pas dresser de passerelles entre la série créée par Sam Esmail et Fight club, le film-culte de David Fincher adapté du roman de Chuck Palahniuk. Sur le fond déjà, la série comme le film s’en prennent de façon virulente et féroce à une société entièrement basée sur le consumérisme, avec un groupe de personnages ayant dans l’idée de faire sauter les bases de données bancaires mondiales afin de « libérer » le peuple du joug de l’oppression financière.
Test DVD : Billionaire Boys Club
C’est bien connu, certains rôles peuvent à jamais marquer une carrière d’acteur. Il existe en effet des acteurs qui seront à jamais assimilés aux personnages qu’ils ont incarné à l’écran ; même s’ils essaient de se débarrasser de cette image par trop envahissante qui leur colle à la peau, ils ne parviennent jamais à s’en libérer totalement. Dans le cas de Kevin Spacey, ce sont en quelque sorte les « événements » qui l’ont rattrapé : suite aux accusations de harcèlement sexuel dont il a été la cible courant 2018, l’acteur est devenu persona non grata à Hollywood, et la pire crainte de tous les producteurs : il est redevenu, plus de vingt ans après Usual Suspects (Bryan Singer, 1995), le « Keyser Söze » de l’usine à rêves.
Test DVD : Le Processus de paix
Bien aidée par une distribution 5 étoiles, Le Processus de paix est une excellente comédie sur les problèmes que peuvent rencontrer les couples - Un film qui fait rire, mais pas que … !
L’actualité DVD – bluray de novembre 2015
Retrouvez ici les tests des principaux DVD et bluray sortis en novembre 2015 de nos rédacteurs Mickael Lanoye et Jean-Jacques Corrio, avec notamment les...
Test DVD : Fais ta prière, Tom Dooley
N’en déplaise à Bertrand Tavernier, Patrick Brion et autres fins analystes du genre western, qui doivent trouver ce genre de détails bien triviaux, mais le principal attrait pour le cinéphile contemporain découvrant aujourd’hui Fais ta prière, Tom Dooley est de découvrir un film de cowboys mettant en scène Michael Landon, aujourd’hui surtout (uniquement ?) connu pour son rôle de Charles Ingalls dans la série La petite maison dans la prairie, et accessoirement un peu aussi pour sa prestation en tant qu’ange dans Les routes du paradis. La découverte du film de Ted Post sera donc une occasion de découvrir Landon en dehors de ces deux séries qui ont définitivement marqué les spectateurs contemporains : incroyable mais vrai, Michael Landon n’a donc pas coupé du bois toute sa vie, et – encore plus surprenant ! L’acteur a donc été jeune un jour. Une grande désillusion pour tous ceux qui imaginaient qu’il était sorti du ventre de sa mère âgé de 45 ans, une hache à la main et prêt à couper du bois en prévision de l’hiver à venir.
Test Blu-ray : F comme Fairbanks
Ce qu’on retiendra de F… comme Fairbanks, presque quarante ans après la sortie du film dans les salles, c’est cette limpidité dans l’écriture de Maurice et Jacques Dugowson, qui révolutionnait –et tend à demeurer encore très inhabituelle de nos jours– la romance cinématographique


















