Test Blu-ray : Final hours
Que feriez-vous s'il ne vous restait que douze heures à vivre afin la fin programmée du monde ? C'est en substance la question que se pose Zak Hilditch, scénariste et réalisateur de Final hours. Déjà abordée à quelques reprises par le passé (Last day de Don McKellar, Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépare de Lorene Scafaria, 4h44 Dernier jour sur terre d'Abel Ferrara...), cette thématique permet donc à l'australien Zak Hilditch de nous livrer « sa » vision de l'apocalypse, et des derniers moments contrariés d'un jeune fêtard repenti.
Test Blu-ray : The human centipede 2
The human centipede 2 étant disponible depuis plusieurs années déjà en téléchargement illégal, on ne pourra que se prosterner devant le courage et l'audace de Condor Entertainment de sortir le film aujourd’hui. Les fans français l'attendaient, tout comme tous les cinéphiles déviants se refusant à télécharger le moindre film illégalement.
Test Blu-ray : Le flic de Belleville
A l’annonce de la mise en chantier du Flic de Belleville, on s’était pris à rêver d’un spin-off prestigieux de la saga du Flic de Beverly Hills, mettant en scène Eddie Murphy qui reprendrait pour l’occasion son rôle culte d’Axel Foley aux côtés d’Omar Sy, acteur préféré des français dont la popularité aux États-Unis semble de plus en plus importante – c’est du moins l’impression que l’on peut avoir de notre côté de l’Atlantique, puisqu’on l’a récemment vu dans les blockbusters X-Men : Days of future past (2014), Jurassic world (2015) ou encore Inferno (2016). D’une façon sans doute un peu naïve, on imaginait qu’un spin-off des aventures du Flic de Beverly Hills aurait pu tout autant relancer la carrière d’Eddie Murphy qu’asseoir la popularité d’Omar Sy au pays de l’oncle Sam. Voilà donc une idée qui, sur le papier, paraissait excellente, et laissait présager une comédie policière de haute volée. Il n’en sera finalement rien : si un Flic de Beverly Hills 4 est bel et bien en cours de développement, il se fera à priori devant la caméra des belges Adil El Arbi et Bilall Fallah, réalisateurs du sympathique Black en 2015, et ne devrait pas – à priori du moins – mettre en scène notre Omar national.
Test DVD : American pie présente – Girls power
Comme le dernier épisode datait tout de même de 2012, American pie présente : Girls power fait l’effort de s’adapter à la société d’aujourd’hui, les gags trash seront donc amenés par le biais de nouvelles technologies (téléphones, tablettes) et l’intrigue sera cette fois centrée sur un groupe de jeunes femmes dévergondées, très portées sur la sexualité.
Test Blu-ray : Basil détective privé
Ne proposant en tout et pour tout que deux chansons formidables signées Henry Mancini, Basil détective privé est un film très court, s'articulant autour de cinq séquences : présentation de Basil et Ratigan / le magasin de jouets / le bar / le piège et le Jubilé de la Reine / Big Ben. Ces cinq séquences sont autant de moments de bravoure au service d'un scénario en béton
Test DVD : The riot club
On peut voir ce film comme une métaphore du monde dans lequel on vit : des dominants et des dominés, une caste qui a l'argent et le pouvoir, qui est persuadée de sa supériorité, qui cause des dégâts énormes aussi bien à la planète qu'à ses habitants, dégâts qui, croient les membres de cette caste, pourront être réparés à coup de milliards.
Résultats du concours Steelbook BETTER CALL SAUL
A l'occasion de la sortie de la première saison de la série Better call Saul en Blu-ray le 18 novembre, Sony Pictures avait lancé un immense concours international de « Fan-Art »
Test Blu-ray : En cavale
Adapté d’un « graphic novel » signé Nick Thornborrow malheureusement toujours inédit en France, En cavale suit les démêlés en mode « frères Coen » de Nick, une petite frappe se retrouvant avec sa fille au milieu d’un imbroglio lui valant d’être à la fois poursuivi par la mafia, la police et toute une clique de flics ripoux tentant de lui coller leurs exactions sur le dos.
Test DVD : Tueur à gages + Le dahlia bleu
Ayant récemment récupéré les droits du Dahlia bleu, l'éditeur Sidonis Calysta a décidé d'intégrer le film à sa « collection Film Noir », en le couplant avec un deuxième film mettant en scène le couple Veronica Lake / Alan Ladd, à savoir Tueur à gages.
Test Blu-ray : Osiris – La neuvième planète
Si depuis l’avènement de la saga Star wars, le genre du « space opera » était devenu un genre quasiment exclusivement réservé aux grands studios nantis de budgets confortables, la « démocratisation » des effets numériques au tournant des années 2000 a finalement permis depuis quelques années à une poignée de cinéastes passionnés d’aborder de front la science-fiction sans pour autant dépendre des impératifs –et des contraintes– liés à la gestion d’un énorme budget.
Test DVD : Hors d’atteinte
"Hors d'atteinte" est l'exemple type du film qu'il est impossible de faire rentrer dans un genre particulier. C'est à la fois un film de braquage et une comédie romantique, un film dans lequel le premier degré voisine avec le second degré, un film qui prend son temps pour avancer mais dans lequel le rythme est important.
Test Blu-ray : Silent running
Dans les années 70, et avant l’avènement de Star Wars, la science-fiction américaine n’avait de cesse de surprendre le spectateur. Après l’électrochoc 2001, odyssée de l’espace (Stanley Kubrick, 1969), bien des cinéastes ont décidé d’utiliser le genre afin de proposer une réflexion philosophique sur la place de l’homme dans l’univers, façon plus ou moins détournée de confronter le comportement de l’homme vis-à-vis de son environnement immédiat. Destruction de la nature, guerres, dérives totalitaires ou scientifiques… Que restera-t-il à l’avenir du monde dans lequel nous vivons ? D’Abattoir 5 (George Roy Hill, 1972) à Phase IV (Saul Bass, 1974) en passant par Silent running (Douglas Trumbull, 1972), L’homme qui venait d’ailleurs (Nicholas Roeg, 1976), La planète des singes (Franklin J. Schaffner, 1968), Soleil vert (Richard Fleischer, 1973) ou même THX 1138 (George Lucas, 1971), tous ces films semblaient s’interroger sur l’état du monde que l’homme laisserait aux générations futures. Une préoccupation qui résonne d'ailleurs très largement chez d'autres cinéastes à l'époque de l'avènement du « Nouvel Hollywood » qui, guerre du Vietnam oblige, fait de l'humain et d'une opposition farouche à toute forme de guerre ses sujets de prédilection.



















