La Roche-sur-Yon 2018 : Silvio et les autres
Ce n'est pas un règlement de compte baroque comme l'a été le magistral Il divo et ce n'est pas non plus un pamphlet provocateur. En tout cas dans sa version internationale quelque peu tronquée, Silvio et les autres nous a laissés passablement perplexes quant à son positionnement par rapport à cette figure mythique des temps modernes que Silvio Berlusconi reste en Italie, voire en Europe.
Critique : Dope
Il est souvent question de musique des années 1990 dans ce film plébiscité au fil d’un parcours de festival sans faute, de Sundance à Deauville, en passant par Cannes. Or, pour l’ignare que nous sommes à regret en termes de musique, l’influence principale de Dope provient du cinéma de cette même époque, quoique pas nécessairement animé par les mêmes motivations artistiques et commerciales que le hip-hop.
Critique : Star Wars, Episode VII – Le Réveil de la Force
Est-ce qu’un film pourra satisfaire toutes les attentes auxquelles se voit confronté le septième épisode de la saga Star Wars ? La façon dont Disney a fait du battage pour rendre la sortie du film incontournable comporte aussi un côté sombre...
Critique : Danish girl
Dans les civilisations occidentales, la question des transgenres reste le dernier tabou dans le domaine des mœurs. C’est la dernière étape à franchir dans la lente évolution du regard que nous portons sur la sexualité de l’autre, qui a déjà accompli tant de progrès au cours du siècle passé pour les femmes et les homosexuels.
The Day He Arrives (Matins calmes à Séoul)
Seungjun, un professeur de faculté autrefois cinéaste, vient rendre visite à son ami Youngho à Séoul. Il déambule dans le quartier de Bukchon, au nord de la capitale. Il rencontre de jeunes étudiants en cinéma qui finissent par l'exaspérer puis renoue, le temps d'une nuit, avec son ancienne maîtresse Kyungjin. Le lendemain, il rejoint dans le restaurant "Le Roman" Yungho et son amie Boram et fait connaissance de Yejeon, la jeune et jolie patronne de l'établissement. Les rencontres et discussions se poursuivent au fil des jours, dans un espace-temps indéfinissable, jusqu'à ce qu'une jeune inconnue ne le prenne en photo, ne fixant de lui qu'un visage mélancolique et distrait...
Critique : La Lune de Jupiter
On n'ira pas jusqu'à affirmer que la frustration aiguë provoquée par le film précédent de Kornel Mundruczo nous inspirait une appréhension tenace face à son nouveau, présenté cette année en compétition au Festival de Cannes. Il faut en effet reconnaître que White God était une affaire de goût et que, de toute façon, chaque œuvre cinématographique tant soit peu ambitieuse produite dans le contexte culturel épineux de la Hongrie vaut la peine d'être découverte, voire soutenue.
Chercher le garçon
Chercher le garçon
France : 2011
Titre original : -
Réalisateur : Dorothée Sebagh
Scénario : -
Acteurs : acteurs inconnus
Distribution : Shellac Distribution
Durée : 1h 10min
Genre : Divers
Date...
Berlinale 2024 : Dahomey
Posées sur une couverture à ras du sol sur un pont, une dizaine de tours Eiffel miniatures illuminent gaiement la nuit parisienne : le premier plan de Dahomey est saisissant. Puisque le temps de ce documentaire présenté en compétition au Festival de Berlin est réduit, il en dit surtout long sur ce qui va suivre.
A travers les branches d’un arbre
A travers les branches d'un arbre
Suisse : 2009
Titre original : Beyond The Leaves Of A Tree
Réalisateur : Daniel Duqué
Scénario : Amina Mehiri, Daniel Duqué,...
Norman Foster
À travers un voyage dans de nombreux pays, ce documentaire suit l’ascension de Norman Foster, né dans une famille populaire de Manchester et reconnu aujourd’hui comme l’un des architectes les plus brillants de son époque.
La Clinique de l’amour
La Clinique de l'amour
Français : 2011
Titre original : La Clinique de l'amour
Réalisateur : Artus de Penguern
Scénario : Artus de Penguern
Acteurs : Artus de Penguern,...
Critique : Legend (Brian Helgeland)
L’iconographie des films de gangster précède de trente à quarante ans l’époque pendant laquelle les frères Kray régnaient en maîtres sur la pègre londonienne. Des héros ténébreux comme Edward G. Robinson, James Cagney, George Raft ou plus tard Humphrey Bogart avaient donné ses lettres de noblesse au genre dans les années 1930, dans des épopées du crime le plus souvent produites par la Warner.