Querelles
Querelles
Iran : 2011
Titre original : Mourning
Réalisateur : Morteza Farshbaf
Scénario : Morteza Farshbaf
Acteurs : Sharareh Pasha, Kiomars Giti
Distribution : KMBO
Durée : 1h25
Genre : Drame
Date de...
Familystrip
Familystrip
Espagne : 2009
Titre original : Familystrip
Réalisateur : Luis Minarro
Scénario : Luis Minarro
Acteurs : María Luz Albero Calvo, Francesc Herrero, Luis Minarro
Distribution : Bodega Films
Durée...
Arras 2025 : Dites-lui que je l’aime (Romane Bohringer)
Y a-t-il quelque chose de plus précieux, fragile et intime que la relation que nous entretenons, chacun et chacune d’entre nous, avec notre mère ? Elle nous a élevés et, dans le meilleur des cas, elle a su garder vivant ce lien affectif unique qu’elle entretient avec nous pendant une bonne partie de notre propre existence. La perdre prématurément laisse forcément un trou béant, un besoin à combler qui ne le sera en fin de compte jamais.
Une éducation norvégienne
1979. Nikolaj a 14 ans et vit une existence idyllique avec son frère et ses parents hippies, Magnus et Lone. Lorsque Lone meurt dans un accident de voiture, Magnus fait une grave dépression. Nikolaj ne sait pas vers qui ou quoi se tourner jusqu’à ce que son meilleur ami lui fasse découvrir l’album “Never Mind the Bollocks” des Sex Pistols. Mais il est difficile d’être en rébellion lorsque votre père écoute la même musique que vous...
Critique : The Disaster Artist
Quand on pense au terme « film culte », on peut penser à des succès adoubés dès leur sortie par les critiques et le public – Chantons sous la pluie par exemple. Le plus souvent cependant, le terme « culte » est associé à ces films qui sont passés presque inaperçus à leur sortie, et qui se sont construits une réputation au fil des années: Blade Runner par exemple, dont l’aura n’a cessé de grandir depuis sa sortie (et ses multiples versions). The Room, de Tommy Wiseau, ne partage rien de ces films « respectables » hormis le statut, justement, de film culte. Considéré comme un turbo-nanar dès sa sortie, il est devenu un de ces objets filmiques non identifiés, allant jusqu’à acquérir le titre, abusif bien entendu, de « pire film de tous les temps ». Un titre qu’il dispute avec un autre nanar culte, Plan 9 from outer space, lui aussi érigé en « pire film de tous les temps », et issu d’un personnage tout aussi haut en couleur que le papa de The Room : Ed Wood. Et comme ce dernier, Tommy Wiseau a maintenant droit à son propre film, érigé à sa gloire : The Disaster Artist.
Lawless
Lawless
USA : 2012
Titre original : Lawless
Réalisateur : John Hillcoat
Scénario : John Hillcoat
Acteurs : Guy Pearce, Tom Hardy, Jessica Chastain
Distribution : Metropolitan FilmExport
Durée : 1h55
Genre...
Niko 2: Family Affairs
Niko 2: Family Affairs
Irlandais, danois, finlandais, allemand : 2012
Titre original : Niko 2: Family Affairs
Réalisateur : Kari Juusonen
Scénario : Marteinn Thorisson , Hannu Tuomainen
Acteurs...
Les Arcs 2018 : Another Day of Life
Guerre et journalisme, animation et documentaire, ces sujets et ces genres plus ou moins mutuellement exclusifs ont fait l'objet d'au moins deux films remarquables au dernier Festival de Cannes. Tandis que le premier, Chris the Swiss de Anja Kofmel, ne nous avait pas complètement convaincus, avec son association d'une enquête sur la mémoire familiale au chaos de la guerre des Balkans, le deuxième, que nous venons de découvrir au Festival des Arcs, nous a davantage subjugués.
Critique : Strangers Prey at Night
Puisqu'il ne s'agit guère de notre genre de prédilection, nous ne suivons pas de près les évolutions des films d'horreur. Suite au visionnage de Strangers Prey at Night, qui avait plutôt bien marché lors de sa sortie américaine le mois dernier, il faut croire que nous n'avons rien loupé d'essentiel !
Fon Tok Kuen Fah
Fon Tok Kuen Fah
Français, thaïlandais : 2011
Titre original : Fon Tok Kuen Fah - Headshot
Réalisateur : Pen-ek Ratanaruang
Scénario : Pen-ek Ratanaruang
Acteurs : Nopachai Jayanama,...
Journal de France
C’est un journal, un voyage dans le temps, il photographie la France, elle retrouve des bouts de films inédits qu’il garde précieusement : ses débuts à la caméra, ses reportages autour du monde, des bribes de leur mémoire, de notre histoire.
Les Arcs 2017 : The Captain L’Usurpateur
Ce n'est certainement pas le nom de Robert Schwentke qui nous viendrait le premier à l'esprit, lorsqu'on cherchera un réalisateur allemand en mesure de traiter d'un œil neuf l'Histoire de son pays d'origine. Exilé à Hollywood depuis plus de dix ans et six films à la qualité variable, pour rester poli, Schwentke opère en effet un retour aux sources des plus improbables avec The Captain L'Usurpateur, présenté en compétition au Festival des Arcs.














