Arras 2024 : L’Attachement

En termes de drames familiaux, le fil est ténu entre notre appréciation à leur égard ou au contraire leur rejet catégorique. Difficile de trouver le ton juste, celui qui nous fait adhérer à ces tranches de vie, tout en aménageant des espaces de singularité qui vibrent à leur propre rythme.

Chercher le garçon

0
Chercher le garçon France : 2011 Titre original : - Réalisateur : Dorothée Sebagh Scénario : - Acteurs : acteurs inconnus Distribution : Shellac Distribution Durée : 1h 10min Genre : Divers Date...

Arras 2025 : Dites-lui que je l’aime (Romane Bohringer)

Y a-t-il quelque chose de plus précieux, fragile et intime que la relation que nous entretenons, chacun et chacune d’entre nous, avec notre mère ? Elle nous a élevés et, dans le meilleur des cas, elle a su garder vivant ce lien affectif unique qu’elle entretient avec nous pendant une bonne partie de notre propre existence. La perdre prématurément laisse forcément un trou béant, un besoin à combler qui ne le sera en fin de compte jamais.

Critique : Grand froid

Quelle belle initiative de contre-programmation de la part du distributeur Diaphana de nous sortir un film avec le titre rafraîchissant Grand froid en plein été ! Quoi de plus agréable en effet que de s'enfuir de la canicule et des orages estivaux dans une salle de cinéma climatisée projetant cette comédie douce-amère, qui ne fait pas nécessairement froid dans le dos !

Critique : Legend (Brian Helgeland)

L’iconographie des films de gangster précède de trente à quarante ans l’époque pendant laquelle les frères Kray régnaient en maîtres sur la pègre londonienne. Des héros ténébreux comme Edward G. Robinson, James Cagney, George Raft ou plus tard Humphrey Bogart avaient donné ses lettres de noblesse au genre dans les années 1930, dans des épopées du crime le plus souvent produites par la Warner.

La Roche-sur-Yon 2017 : La Surface de réparation

La 8ème édition du Festival International du Film de La Roche-sur-Yon a commencé d'une façon particulièrement prometteuse hier soir avec la présentation en avant-première de La Surface de réparation. Tourné dans la région, ce premier long-métrage parle moins du foot d'un point de vue sportif que de ce petit monde plus ou moins valorisé, plus ou moins légitime, qui tourne autour du ballon rond.
11.25 The Day he chose his own fate

11.25 The Day he chose his own fate

11.25 The Day he chose his own fate Japon : 2012 Titre original : 11·25 jiketsu no hi: Mishima Yukio to wakamono-tachi Réalisateur : Koji Wakamatsu Scénario :...

The Odd Life of Timothy Green

0
The Odd Life of Timothy Green USA : 2011 Titre original : The Odd Life of Timothy Green Réalisateur : Peter Hedges Scénario : Peter Hedges Acteurs : Jennifer...
Je fais feu de tout bois

Je fais feu de tout bois

0
Comme chaque année au festival de Cannes, Daniel Danite, cinéaste, cherche un moyen de sauver le 7ème art, en danger perpétuel, selon lui. Son idée du moment, que chaque cinéaste se choisisse un frère. Ça ferait deux fois moins de films, ils seraient deux fois meilleurs. D’ailleurs les frères Lumière ne sont-ils pas à l’origine de tout ? Un « ami » producteur, pour se débarrasser de lui, lui suggère d’aller plus loin. Des Taviani aux Farelli, des Dardenne aux Coen, il y en a, des frères. Des triplés cinéastes, en revanche... Illumination. Daniel a trouvé sa voie. Pour se démarquer, il doit devenir le troisième frère Coen. Il quitte femme et enfants et décide de tout faire pour joindre Ethan et Joël Coen, et les convaincre de l’adopter...

Albi 2022 : Tempête (Christian Duguay)

Appliquer la distinction entre des films du monde d'avant la crise sanitaire et ceux d'après, est-ce que cela a encore du sens, un an et demi après la réouverture des salles de cinéma en France ? Les préoccupations et les pratiques des spectateurs ont certainement connu une évolution profonde à partir de cet événement planétaire.

Critique : The Little Stranger

0
Où le chemin d'une carrière peut-il bien mener, une fois que la consécration est arrivée de façon impromptue ? Rester fidèle à son style d'origine ou suivre l'appel de l'argent, tel a dû être le dilemme face auquel s'est trouvé Lenny Abrahamson, suite à sa nomination à l'Oscar du Meilleur réalisateur pour Room.

Critique : 20th Century Women

Elever seul un enfant n’a jamais été une mince affaire. Selon les époques, cette tâche parentale accrue s’est traduite par la solitude, voire l’ostracisme social, et une grande précarité. Dans son troisième film, le réalisateur Mike Mills rend un hommage appuyé à ces mères courage – car dans l’immense majorité des cas il s’agit de mères – qui jonglent entre exigences d’éducation, obligations professionnelles et une vie affective souvent anémique.

Derniers articles

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Coffret Gamera – Les années Showa – Volume...

0
Le monstre Gamera naît en 1965, et dès le premier film de la saga Gamera produit par la Daiei, il flottait déjà dans l’air la vague impression qu’à l’image de son grand frère Godzilla, la tortue géante n’était pas simplement une créature sortie d’un cauchemar reptilien, mais une métaphore ambulante de la peur nucléaire.

Les sorties du 24 décembre 2025

En ce jour du réveillon de Noël 2025, permettez-nous d’abord de vous souhaiter, à toutes et à tous, de bonnes fêtes de fin d’année ! Même si le cinéma n’est sans doute guère la priorité en ces temps de célébrations, de retrouvailles familiales et d’heures de bilan, les distributeurs français n’ont pas complètement rendu les armes en cette semaine de repos généralisé.

Test Blu-ray : Slocum et moi

0
Il y a des films qui se construisent comme des cabanes bancales, et Slocum et moi ressemble à une embarcation bricolée dans un jardin de banlieue, mais qui finit par flotter dans l’imaginaire collectif comme un paquebot de souvenirs.

Votre guide complet du code promo Melbet Tunisie et des offres à saisir

0
Si vous vivez en Tunisie et appréciez les paris sportifs ou les jeux de casino, vous avez probablement entendu parler de Melbet plus d’une...

Test Blu-ray : Coffret Sissi – L’intégrale

0
Les films de la saga Sissi ont la réputation d’être des bonbons sucrés pour les yeux, mais en réalité ce sont des machines à fabriquer du kitsch impérial, des usines à rêves où Romy Schneider prend les atours d'une icône éternelle, figée dans une robe qui semble avoir été cousue par des anges aux fesses joufflues.