Hommage naomi watts
Vendredi 9 septembre, 18h : l'heure est venu de rendre un dernier hommage sur les planches Deauvillaise. Et pour cette ultime rencontre, les gens se bousculent pour accueillir la plus jeune des artistes « honorés », Naomi Watts.
Palmarès du Festival de Deauville 2011
Samedi 10 septembre 2011. Il est temps de mettre un terme à cette 37ème édition du Festival du film américain de Deauville. Beaucoup de monde se pressera pour essayer de rentrer dans l'auditorium et savoir qui a enfin gagné le Grand Prix.
Trust
Produit et réalisé par David Schwimmer, le fameux « Ross » de la série Friends, Trust a le mérite de se démarquer des autres films dans la compétition du Festival de Deauville 2011 par son sujet d'actualité : les dangers d'Internet. Un film réussit qui met pourtant mal à l'aise et risque de changer des comportements chez certains.
Detachment
Tony Kaye, le papa d'American History X nous assène un nouveau coup de poing en pleine tête avec son Detachment. Pourtant beaucoup moins violent que le premier, Tony Kaye réinvente le film d'éducation à mille lieux d'Esprit Rebelle.
Critique : Red State
Après de grosses productions pas franchement réussies (la dernière en date est Top Cops), Kevin Smith revient avec Red State, un film à petit budget. Red State, c'est le retour de Kevin Smith à ses premières amours : la satire voire même la croisade contre le fondamentalisme religieux qui, selon lui, gangrène son pays.
Blackthorn
Beaucoup sont ceux qui prétendent que le western est mort, épuisé, mais nombreux également sont ceux qui, nostalgiques, espèrent en voir encore un peu plus, et attendent un film du genre, où on retrouverait le cliquetis des éperons et l'ambiance d'un bon saloon. Avec Blackthorn, un western hispano-americo-bolivo-français dont l'action se déroule en Bolivie, Mateo Gil satisfera les attentes de plus d'un
Festival Européen du Film Fantastique de Strasbourg 2011
Le Festival Européen du Film Fantastique de Strasbourg 2011 est devenu en l'espace de 4 éditions un événement majeur dans le paysage du cinéma de genre français. Une réussite due au travail de véritables passionnés qui ont donné une identité propre à la manifestation.
Without
Le moins que l'on puisse dire, c'est que Without est déroutant. Gênant même. Son réalisateur, Mark Jackson frappe fort pour un premier film. Sans grande démonstration de mise en scène, le film parvient pourtant à nous laisser perplexes quand a son réel message.
Festival de Deauville 2011 : Bilan mi-festival
Après 6 jours de festival, il est temps de faire un point à mi-parcours sur les bonnes et les mauvaises surprises de ce 37ème festival du film américain de Deauville. Et aussi sur ce qui s'est passé en dehors de la compétition...
The Dynamiter
Pour cet autre long métrage en compétition au Festival de Deauville 2011, on prend les mêmes et on recommence. Un premier film, écrit et réalisé par Matthew Gordon, et un thème qui marque la naissance d'un nouveau courant dans le cinéma américain : la solitude des enfants, abandonnés par les parents, les poussant à prendre leur propre vie en main et à laisser leur enfance de côté.
Jess + Moss
Encore une fois durant le Festival de Deauville 2011, on nous présente un premier film. Réalisé, écrit et produit par Clay Jeter, 28 ans, Jess + Moss traite lui aussi de jeunes enfants esseulés après l'abandon physique des parents. Mais ce long-métrage semble beaucoup plus serein et personnel que les autres en compétition...
Critique : Pater
Alain Cavalier est un grand réalisateur de documentaire, notamment grâce sa série Portraits dans les années 90. Cette année, il n’a pas remporté de prix au Festival de Cannes 2011 avec Pater, simplement une belle ovation du public. Avec son nouveau film, il remet en question le lien étroit entre le documentaire et la fiction, le réel dans l’irréel et vice-versa.