Test Blu-ray : Tiger Cage – La Trilogie
La franchise Tiger Cage s'inscrit dans la vague de films de type « Supercop » sortis suite au succès fracassant de Police Story en 1985. Il s'agit de trois thrillers urbains extrêmement violents : le premier met en scène une escouade de choc de flics des stups...
Test Blu-ray : Candyman
La mort de George Floyd et le mouvement « Black lives matter » ont rapidement trouvé un écho sur les écrans américains, mais aucune œuvre n'avait su explorer les arcanes de cette tragédie de façon aussi profonde, complexe et politisée que Candyman.
Test Blu-ray 4K Ultra HD : Smile 2
Avec Smile 2, Parker Finn nous propose un film en tout point supérieur à son modèle, et un véritable uppercut de cinéma qui prouvera aux plus cyniques parmi les cinéphiles que le cinéma d’horreur en a encore sous le pied.
Test Blu-ray 4K Ultra HD : Criminal Squad – Pantera
L’idée centrale au cœur de Criminal Squad : Pantera consiste en un retournement de situation inattendu : plombé par un divorce s’étant mal déroulé, Nick se décide à intégrer le clan d’en face, et rejoint une bande de braqueurs ultra-organisés – et menés par Donnie, sa « Némésis » du film précédent.
Test Blu-ray 4K Ultra HD : La Zone d’intérêt
Après avoir fait sensation à Cannes et attiré presque 800.000 français dans les salles obscures, La Zone d’intérêt est dorénavant disponible au format Blu-ray 4K Ultra HD, sous les couleurs de Blaq Out...
Critique : Millenium – Les hommes qui n’aimaient pas les femmes
Adaptation américaine par le golden boy hollywoodien David Fincher, du premier volet du best-seller de Stieg Larsson, Millenium.
Critique : Un coup de dés
Quand on établit la liste des meilleurs réalisateurs français, ce n'est très probabalement pas à Yvan Attal qu'on pense le premier. Et pourtant, toutes proportions gardées, il accomplit depuis le début du siècle un parcours derrière la caméra des plus respectables. En désormais huit longs-métrages, il se pose sans la moindre fanfaronnade en observateur de la société française.
Ouverture du Festival du cinéma américain de Deauville 2011
Le Festival du cinéma américain de Deauville a ouvert ses portes vendredi 2 septembre 2011 avec la projection de La Couleur des sentiments de Tate Taylor.
Critique : We are the best!
Le punk n'est pas mort... il Girls Band encore dans ce joli récit d'apprentissage signé par le réalisateur de Fucking Åmål.
Critique : Des Hommes sans loi
1931. Au cœur de l’Amérique en pleine Prohibition, dans le comté de Franklin en Virginie, état célèbre pour sa production d’alcool de contrebande, les trois frères Bondurant sont des trafiquants notoires : Jack, le plus jeune, ambitieux et impulsif, veut transformer la petite affaire familiale en trafic d’envergure. Il rêve de beaux costumes, d’armes, et espère impressionner la sublime Bertha… Howard, le cadet, est le bagarreur de la famille. Loyal, son bon sens se dissout régulièrement dans l’alcool qu’il ne sait pas refuser… Forrest, l’aîné, fait figure de chef et reste déterminé à protéger sa famille des nouvelles règles qu’impose un nouveau monde économique. Lorsque Maggie débarque fuyant Chicago, il la prend aussi sous sa protection. Seuls contre une police corrompue, une justice arbitraire et des gangsters rivaux, les trois frères écrivent leur légende : une lutte pour rester sur leur propre chemin, au cours de la première grande ruée vers l’or du crime.
Cannes 2019 : Once upon a time … in Hollywood
Le film commence : après un faux reportage sur le plateau d'une série western, on se retrouve plongé en plein dans le Hollywood de 1969. Léonardo DiCaprio, Brad Pitt, Margot Robbie, et dans des plus petits rôles, Al Pacino et Kurt Russell. On s'attendait à une fresque flamboyante sur le monde du cinéma, au tournant d'une époque ; c'est dire si nous avons été surpris.
Festival de Cannes 2015 : Youth
Avec La Grande Bellezza, Paolo Sorrentino passait à une nouvelle étape dans son cinéma. Déjà à l’aise pour créer un univers très personnel, il affinait alors son style, s’abandonnant à un délire pop et grotesque et saisissant ainsi de fait un monde hors norme obsédé par les apparences de toute sorte. Youth (la jeunesse) nous redonne déjà de ses nouvelles, seulement deux ans après ce film déjà dément qui lui a permis de remporter un Oscar mérité.