Critique : Mad Max Fury Road

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De l’action, de l’action et encore de l’action. Le nouveau film de George Miller ne laisse aucun moment de répit au spectateur. Et pour une fois, un tel spectacle tonitruant pendant deux heures ne nous laisse pas avec une migraine, mais gonflés à bloc grâce à la virtuosité indéniable de Mad Max Fury Road !

Festival de Cannes 2015 : Vincent Lindon enfin récompensé

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  C'est la première fois que je reçois un prix dans ma vie... C'est l'un de nos plus grands acteurs et on ne le dit...

Festival de Cannes 2015 : le palmarès complet

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  Le Festival de Cannes 2015 se termine ce dimanche 24 mai, après 10 jours de compétition pour les 19 films sélectionnés. La cérémonie de clôture...

Festival de Cannes 2015 : Youth

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Avec La Grande Bellezza, Paolo Sorrentino passait à une nouvelle étape dans son cinéma. Déjà à l’aise pour créer un univers très personnel, il affinait alors son style, s’abandonnant à un délire pop et grotesque et saisissant ainsi de fait un monde hors norme obsédé par les apparences de toute sorte. Youth (la jeunesse) nous redonne déjà de ses nouvelles, seulement deux ans après ce film déjà dément qui lui a permis de remporter un Oscar mérité.

Festival de Cannes 2015 : Jour 5 – La Loi du marché, Vice Versa,...

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  La Loi du Marché (Compétition) Synopsis : À 51 ans, après 20 mois de chômage, Thierry commence un nouveau travail qui le met bientôt face à un...

Festival de Cannes 2015 d’une passion l’autre : Mon Roi & Carol

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Dans la compétition officielle ce dimanche 17 mai au Festival de Cannes, deux récits de passion fusionnelle racontés avec retenue malgré des bouleversements intenses...

Cannes 2015 : 3e jour : Le Fils de Saul, 3 Souvenirs, Le Géant...

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Tant de films et si peu de temps dans chaque journée, non seulement pour les voir mais aussi pour choisir ceux vers lequel nous...

Festival de Cannes 2015 : 3e jour – Amy, L’Homme irrationnel, Ni le ciel,...

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Un documentaire bouleversant sur Amy Winehouse, Woody Allen au creux de la vague et l'unique film français de La Semaine de la critique qui ne casse pas des briques... le résumé du 3ème jour au Festival de Cannes.

Festival de Cannes 2015 : 2e jour – The Lobster, Une histoire d’amour et...

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Déjà la tête à l'envers après une petite journée de projections comme le confirme notre image maison. Le soleil brille sur Cannes, les films...

Festival de Cannes 2015 : 1er jour – La Tête Haute, Mad Max: Fury...

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On attaque cette 68ème édition du plus beau festival de cinéma au monde avec 5 films et non des moindres : La Tête Haute,...

Luc Besson adapte Valérian

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Le réalisateur avait promis dix films, pas un de plus, étape atteinte depuis le premier volet de Arthur et les Minimoys. Valerian and the...

Cannes 2015 : Agnès Varda, Le Bonheur d’être Palmée

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  La réalisatrice Agnès Varda, née le 30 mai 1928, recevra une Palme d'or honorifique lors de la soirée de clôture de la 68ème édition...

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Test Blu-ray : The Last of Us – Saison 2

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The Last of Us – Saison 2 ne fait pas dans la dentelle narrative. Après une première saison saluée comme le messie sériel post-apocalyptique, cette suite prend un virage à 180° dès le deuxième épisode...

Test Blu-ray : I Love Peru

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I Love Peru est un docufiction burlesque dans lequel Raphaël Quenard joue son propre rôle avec une sacrée dose d’auto-dérision. Co-réalisé avec Hugo David, le film s’impose comme un curieux objet filmique, à mi-chemin entre l’autoportrait déglingué, le trip mystique et le journal intime d’un acteur en pleine crise d’ego...

Sarlat 2025 : Les Enfants vont bien

A en croire les bruits de couloir pendant le Festival de Sarlat, le thème récurrent de cette 34ème édition était la recherche d’un nouveau foyer de la part d’enfants délaissés. Apparemment, Love Me Tender de Anna Cazenave Cambet et On vous croit de Charlotte Devillers et Arnaud Dufeys en traitaient, ainsi que – sans trop vouloir élargir l’échantillon d’œuvres concernées – Promis le ciel de Erige Sehiri.

Test Blu-ray : Sinners

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Sinners, c’est un peu comme si le cinéma américain avait décidé de se souvenir qu’il avait une âme. Pas une âme propre, bien sûr — ce serait trop simple — mais une âme cabossée, pleine de blues, de sang, de jumeaux hantés et de plans-séquences qui feraient passer Alfonso Cuarón pour un stagiaire en école de cinéma.

Sarlat 2025 : Animal totem

Comme le disait l’éminent Fritz Lang, le format d’écran large est fait pour les serpents et les enterrements. Dans Animal totem, il aurait pu y avoir légitimement les premiers et, on le craint, il y a au moins métaphoriquement le deuxième. Car en optant pour un format extrêmement large, du 3:55 pour les puristes, le réalisateur Benoît Delépine bouscule nos habitudes de visionnage.