Blanche Neige

Les sorties cinéma du 11 avril 2012

Présenté dans quelques festivals, on ne peut pas dire que Twixt, le dernier film de Francis Ford Coppola, ait, jusqu’à présent, enchanté les spectateurs et les critiques. C’est un retour vers le cinéma d’épouvante pour le réalisateur et on y retrouve des fantômes et des rêves, un meurtre et Edgar Poe. Tourné dans le domaine viticole de Coppola, en Californie, Twixt est présenté comme un film à petit budget : 7 millions de dollars, pour lui, c’est vraiment peu ! Réalisatrice d’une grosse centaine de spots publicitaires, Christelle Raynal s’attaque au film de cinéma par la face comédie : Plan de table réunit Elsa Sylberstein, Frank Dubosc et Audrey Lamy à propos d’un repas de mariage. Premier film également pour Romain Levy avec Radiostars. Manu Payet et Clovis Cornillac sont les têtes d’affiche de cette comédie. La France fait partie des sept premiers pays à accueillir Battleship dans ses salles : un film de science fiction réalisé par l’acteur, producteur et réalisateur Peter Berg, avec Taylor Kitsch et Liam Neeson en têtes d’affiche. Dans le Blanche Neige de Tarsem Singh, Lily Collins joue Blanche Neige et Julia Roberts joue la Reine, toujours méchante mais … charmante.
Franco/Kunis

Le Monde Fantastique d’Oz

0
Quand Oscar Diggs - un obscur magicien à l’éthique douteuse - se retrouve propulsé du poussiéreux Kansas au luxuriant Pays d’Oz, il pense que la gloire et la fortune s’offrent enfin à lui. Sa rencontre avec trois sorcières, Theodora, Evanora et Glinda va pourtant tout remettre en cause car aucune d’entre elles est convaincue qu’il correspond bien au grand sorcier que tout le monde attendait. Traitant à contrecœur les problèmes rencontrés par les habitants du Pays d’Oz, Oscar va bientôt découvrir en qui il peut avoir confiance et de qui il doit se méfier avant qu’il ne soit trop tard. Faisant appel à ses « pouvoirs » magiques à grand renfort d’illusions, d’ingénuité - voire d’un soupçon de sorcellerie - Oscar se transforme peu à peu en un grand et puissant sorcier, mais aussi en un homme meilleur…
élysée

5 films qui traitent de la présidentielle

Une page se ferme et une autre s'ouvre. En ce lendemain de passation de pouvoir, qui marquera à jamais les moments politiques de notre...

Comics : Stranger Things – Dans les flammes

0
Le comic-book Stranger Things – Dans les flammes se concentre sur Trois, un jeune homme capable de faire plier les autres à sa volonté, ainsi que sur Neuf, qui développe un don de pyrokinésie qu'elle ne maîtrise absolument pas.

Cannes 2014 : La Chambre bleue

0
Après Tournée, prix de la mise en scène en 2011, Mathieu Amalric revient à la réalisation et au Festival de Cannes 2014 dans la section Un Certain Regard avec un film minimaliste, au joli pouvoir de fascination..

Cannes 2019 : Parasite (compétition)

0
Parasite est avant tout une histoire de famille(s) : celle des protagonistes, qui doivent vivre dans un entre-sol et celle des Park, socialement à l'opposé des précédents. Comme d'habitude chez Bong Joon-ho, quelques plans suffisent pour nous faire ressentir une empathie immense envers les personnages. Ici, tous sont attachants, même (et surtout) lorsque les évènements prennent un tournant inattendu. Car s'il y a une chose dont le cinéaste semble s'être fait la spécialité, c'est le changement de ton.

Cannes 2018 : la palme pour Kore-eda Hirokazu

0
En cette année de commémoration du 160ème anniversaire des relations diplomatiques entre le Japon et la France, le Festival de Cannes a salué une nouvelle fois le talent d'un cinéaste japonais. Après Teinosuke Kinugasa avec La Porte de l’enfer en 1954, Akira Kurosawa avec Kagemusha en 1980 puis Shohei Imamura avec La Ballade de Narayama en 1983 puis L’Anguille en 1997, Kore-eda Hirokazu n'est que le quatrième cinéaste japonais à obtenir cette récompense. Il avait eu le prix du jury pour Tel père, tel fils en 2013 et son acteur adolescent Yuya Yagira avait été primé pour Nobody knows en 2004. Il s'agissait de sa cinquième participation à la course à la Palme d'or, les deux autres films invités étant Distance en 2001 et le délicat Notre petite sœur en 2015.

[Sortie VIDÉO] GEOSTORM : Découvrez un extrait du making of !

0
À l’occasion de la sortie de GEOSTORM en DVD et Blu-ray le 7 mars chez Warner Bros., Warner, critique-film.fr et l'agence de presse Déjà le Web vous proposent de découvrir un extrait du MAKING OF du film.

Festival du Cinéma de Brive 2018 : Jour 1

0
7h40. Gare d’Austerlitz. Train pour Brive-la-Gaillarde. 4h30 de trajet en train Intercité en pleine grève SNCF. La raison ? S’abreuver de moyens-métrages dans un...
Jessica Chastain

Zero Dark Thirty

1
Le récit de la traque d'Oussama Ben Laden par une unité des forces spéciales américaines...

Iron Man 3 : pas d’Iron Patriot dans le film ; nouvelles photos du...

0
Finalement Iron Patriot ne sera pas l'un des super héros dans Iron Man 3 ; de nouvelles photos du tournage sont disponibles.
The Chicago Code

The Chicago Code

0
Sortie en début d'année 2011 sur la Fox aux États-Unis et ne comportant pour l'instant que 13 épisodes, The Chicago Code est une série créée par Shawn Ryan. Le papa de The Shield qui en signe également le scénario.

Derniers articles

Sarlat 2025 : Les Enfants vont bien

A en croire les bruits de couloir pendant le Festival de Sarlat, le thème récurrent de cette 34ème édition était la recherche d’un nouveau foyer de la part d’enfants délaissés. Apparemment, Love Me Tender de Anna Cazenave Cambet et On vous croit de Charlotte Devillers et Arnaud Dufeys en traitaient, ainsi que – sans trop vouloir élargir l’échantillon d’œuvres concernées – Promis le ciel de Erige Sehiri.

Test Blu-ray : Sinners

0
Sinners, c’est un peu comme si le cinéma américain avait décidé de se souvenir qu’il avait une âme. Pas une âme propre, bien sûr — ce serait trop simple — mais une âme cabossée, pleine de blues, de sang, de jumeaux hantés et de plans-séquences qui feraient passer Alfonso Cuarón pour un stagiaire en école de cinéma.

Sarlat 2025 : Animal totem

Comme le disait l’éminent Fritz Lang, le format d’écran large est fait pour les serpents et les enterrements. Dans Animal totem, il aurait pu y avoir légitimement les premiers et, on le craint, il y a au moins métaphoriquement le deuxième. Car en optant pour un format extrêmement large, du 3:55 pour les puristes, le réalisateur Benoît Delépine bouscule nos habitudes de visionnage.

Sarlat 2025 : Promis le ciel

En règle générale, le parcours d’immigration n’est linéaire pour personne. A plus forte raison lorsqu’il se faufile dans la clandestinité, à l’écart des canaux officiels, sursaturés depuis longtemps. Ainsi, il y a des moments de précipitation au risque de sa propre vie d’un côté et des pauses lénifiantes de l’autre, qui coïncident avec une situation bloquée dont on peine à percevoir une issue favorable.

Sarlat 2025 : A pied d’œuvre

En France, en 2025, la précarité ne relève pas du mythe. Elle peut commencer, presque innocemment, par des difficultés à boucler les fins de mois. Pour se transformer tôt ou tard en une crise existentielle pouvant prendre de nombreuses formes dont aucune n’est édifiante ou plaisante à regarder.