Tag: Hong Sang-soo
Cannes 2023 : la sélection de la Quinzaine des cinéastes
A moins de deux semaines de l'ouverture de la 76ème édition du Festival de Cannes, les nouvelles pré-cannoises se succèdent à un tel rythme qu'on risque d'y perdre le fil. En guise de rattrapage et à l'occasion de l'annonce de la grille de programmation ce jour, voici la sélection officielle de la 55ème Quinzaine des cinéastes, initialement communiquée le 13 avril dernier.
Berlinale 2022 : le palmarès
A peine commencée il y a une semaine, la 72ème édition du Festival de Berlin s'est d'ores et déjà terminée hier avec l'annonce du palmarès. Les trois jours qui restent jusqu'à la fin officielle des festivités cinématographiques dans la capitale allemande le dimanche 20 février sont réservés au public local, ainsi qu'aux séances de rattrapage.
Berlinale 2021 : le palmarès
Le premier volet de la 71ème édition du Festival de Berlin s'est terminé avant-hier avec l'annonce du palmarès. Pour cause de crise sanitaire mondiale, le premier grand festival européen de l'année a dû faire preuve d'ingéniosité en 2021. Pendant cinq jours, du 1er au 5 mars, l'ensemble des films en sélection officielle étaient accessibles exclusivement en ligne pour les professionnels accrédités.
Berlinale 2020 : La Femme qui s’est enfuie
La compétition de cette 70ème édition du Festival de Berlin se sera en fin de compte déroulée sans que nous y ayons prêté une attention particulière. Alors que notre séjour festivalier se terminera hélas déjà bientôt, nous avons quand même daigné regarder l'un des films en lice pour l'Ours d'or du jury présidé par Jeremy Irons.
Cannes 2019 : la Palme pour Bong Joon-ho
Première Palme d'or pour la Corée du sud avec Parasite, le septième long-métrage de Bong Joon-ho et deuxième en compétition après Okja en 2017....
Nouveaux membres de l’Académie : la promotion 2018
L'initiative de l'ancienne présidente de l'Académie du cinéma américain Cheryl Boone Isaacs, de promouvoir la représentativité au sens large des membres de cette vénérable institution, a pour le moins été pérennisée par son successeur, le chef opérateur John Bailey. En effet, le nombre des nouveaux membres de l'Académie, dont la liste a été annoncée hier, a une fois de plus fait un bond spectaculaire, puisqu'il s'établit désormais à 928, c'est-à-dire 150 de plus qu'en l'année record 2017.
Entretien avec Pablo Berger (Abracadabra)
C'est au bar de l’Hôtel de l’Abbaye, dans le VIème arrondissement que je retrouve Pablo Berger pour parler de son film Abracadabra en salles...
Berlinale 2018 : Grass
Nous ne faisons que colporter une évidence en affirmant que Hong Sang-soo tourne beaucoup, jusqu'à l'excès même. Sa renommée lui permet d'être invité par tous les grands festivals, qui s'arrachent presque ses films, programmés dans des sélections plus ou moins adaptées, comme dans le cas présent le Forum du Festival de Berlin, une partie initialement dédiée au « jeune » cinéma, prêt à l'aventure et à l'exploration de nouvelles formes filmiques.
Critique : Le jour d’après
Un film qui, sans atteindre des sommets, a le mérite d'être un peu plus intéressant, plus riche, plus profond que ce que Hong Sang-soo nous propose depuis des années.
Cannes 2017 : Le bilan de Jean-Jacques
Impression générale : un Festival très moyen, de nombreux films qui auraient beaucoup gagné à être raccourcis, remarque qui vaut d'ailleurs, malgré toutes leurs qualités, à la Palme d'Or, au Grand Prix du Jury et, surtout, au Prix du Jury.
Cannes 2017 : Le jour d’après
C'est le troisième film du cinéaste coréen présenté en festival depuis le début de l'année. On the beach the night alone était ainsi présent au Festival de Berlin en janvier dernier, et La caméra de Claire en hors compétition dimanche, à Cannes. De plus est sorti en février un autre film de Hong Yourself and yours ! Que vaut donc le "dernier" (?) Hong so
Critique : Tunnel
En dehors de Hong Sang-Soo et de quelques films isolés par ci, par là, il est devenu très difficile pour les cinéphiles français de pouvoir visionner en salles du cinéma sud coréen, du moins en dehors des festivals. Cette réflexion s’applique tout particulièrement au cinéma de genre, qui, on le sait, a souvent du mal à se frayer un chemin dans nos salles, quel que soit le pays d’origine d’ailleurs. C’est pour cette raison qu'il était forcément excitant de voir un distributeur prendre le risque de sortir un film d’un réalisateur encore peu connu (son film précédent, l’excellent Hard Day, avait connu une sortie discrète début 2015 après avoir écumé tous les festivals spécialisés pendant 1 an), qui plus est, dans le registre du film catastrophe, sous genre dont raffolent les coréens mais dont les productions locales sortent ici au mieux en vidéo. Même en sachant que ce genre de film a souvent tendance à virer au mélo excessif pour le public français, on s’en frottait les mains d’avance, persuadés que l’on aurait droit à un maelström d’émotions comme les sud coréens en sont coutumiers dans leur cinéma si riche en ruptures de ton…