Critique : Cette sacrée vérité

S'il y a bien un genre qui définit à la perfection le cinéma hollywoodien des années 1930, c'est la comédie de mœurs pétillante, appelée en version originale « screwball comedy » par nos cousins d'outre-Atlantique. Tout n'y est que divertissement léger, truffé de vannes cinglantes et de rebondissements compromettants.

Critique : Adoration

"Adoration" narre de façon convaincante une histoire d'amour très particulière entre deux adolescents tout en montrant que la frontière entre ce qu'on appelle folie et normalité est souvent très ténue.

Critique : Swallow

Il est important de savoir que "Swallow" n'est ni un film d'horreur ni un film fantastique mais bien un drame très réaliste et très touchant, au féminisme assumé,, réalisé par un jeune cinéaste new-yorkais très prometteur.

Critique : 1917

Fraîchement récompensée de deux Golden Globes majeurs, cette épopée de guerre arrive sur les écrans français avec une réputation d'incroyable tour de force technique. 1917 est tout à fait cela, certes, avec ses effets de montage extrêmement discrets et la photo splendide de Roger Deakins, qui nous plonge dans l'action et la sublime en même temps à un niveau esthétique rarement atteint dans un film de guerre.

Critique : La Carrière d’une femme de chambre

Pendant la deuxième moitié des années 1970, les règlements de compte doux-amers avec l'âge d'or du cinéma étaient un sous-genre plutôt répandu. Du côté anglophone, cela a donné des films comme Le Dernier nabab de Elia Kazan, Fedora de Billy Wilder et Valentino de Ken Russell.

Critique : Freaks (2018)

Premier film en duo pour Adam B. Stein et Zach Lipovsky (réalisateur en solo de Leprechaun origins et Dead rising : Watchtower), le projet Freaks est le résultat d’années de frustrations pour les deux aspirants-cinéastes. Ayant pris le parti de produire, scénariser et réaliser eux-mêmes « leur » film, et leur acharnement a porté ses fruits : Freaks a en effet sillonné les festivals à travers le monde, et s’est même payé le luxe d’être récompensé par plusieurs prix. En France, le film a remporté le Prix du Jury aux Utopiales (Nantes) et carrément trois prix au PIFFF (Paris International Fantastic Film Festival) l’an dernier : l’Œil d’or long-métrage, le prix des lecteurs Mad Movies, et le prix Ciné+ Frisson. La découverte du film, qui sortira le 8 janvier en Blu-ray, DVD et VOD sous les couleurs de l’éditeur Lonesome Bear (filiale de The Jokers), nous confirme que cette excellente réputation n’était pas usurpée…

Critique : Le miracle du saint inconnu

Avec ce film à la fois cocasse et grave, empreint d'un humour d'une grande finesse, Alaa Eddine Aljem vient tout simplement se placer, dès son premier long métrage, aux côtés de Aki Kaurismäki et de Elia Suleiman

Critique : L’Incinérateur de cadavres

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Le cinéma tchèque des années 1960 ne se laisse guère résumer aux premiers films de Milos Forman, par ailleurs ressortis en même temps en France que L'Incinérateur de cadavres. Celui-ci mérite en effet amplement sa réputation d'objet filmique inclassable.

Critique : Nina Wu

Très réaliste dans "Adieu Mandelei", Midi Z a complètement complètement changé son fusil d'épaule dans sa réalisation de "Nina Wu". Un peu comme si les frères Dardenne se mettaient à réaliser un film qu'on pourrait comparer à des œuvres de David Lynch !

Critique : Cendres et diamant

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Si seulement chaque pays pouvait disposer d'un chroniqueur officieux animé par la même maestria cinématographique que Andrzej Wajda ! En dépit de son destin historique pour le moins mouvementé, la Pologne peut en effet s'estimer heureuse d'avoir eu un réalisateur d'un tel talent à son service, de surcroît quasiment exclusif puisque, contrairement à la plupart de ses contemporains, Wajda n'a jamais ou presque goûté à l'exil créatif.

Critique : Âmes perdues

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Venise, la cité à la fois énigmatique et poisseuse, sert de décor idéal à ce thriller d'épouvante des années 1970. Le charme baroque de la ville, avec ses palais délabrés où régnait jadis l'opulence et ses canaux désormais engorgés de détritus, contribue en effet amplement à faire tenir sur la durée une histoire au fond terriblement abracadabrante.

Critique : Benjamin

Dans "Benjamin", Simon Amstell, avec un ton qui rappelle assez souvent Woody Allen, se montre manifestement narquois par rapport à lui-même tout en se moquant gentiment des milieux artistiques de Londres.

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Les films de la saga Sissi ont la réputation d’être des bonbons sucrés pour les yeux, mais en réalité ce sont des machines à fabriquer du kitsch impérial, des usines à rêves où Romy Schneider prend les atours d'une icône éternelle, figée dans une robe qui semble avoir été cousue par des anges aux fesses joufflues.

Critique Express : Une enfance allemande – île d’Amrum 1945

Le film repose en grande partie sur les épaules d'un jeune adolescent qui n'avait aucune expérience de comédien :  Jasper Billerbeck apporte une grande sincérité dans son jeu et il est pour beaucoup dans la douceur que dégage le film malgré la dureté de la situation vécue par les protagonistes.

Test Blu-ray : Dr Wai

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Dans Dr Wai, les coups de pied volent comme des pigeons effrayés sur une place de marché un jour de distribution de tracts pour LFI, et les chorégraphies câblées s’enchaînent avec une précision qui ferait rougir un cocu suisse.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Jarhead – La fin de l’innocence

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Jarhead, la fin de l’innocence n’est pas un film de guerre classique, mais un film sur l’attente, sur le vide qui ronge plus sûrement que les balles. Sam Mendes y transforme le désert saoudien en salle d’attente géante, où les Marines se consument dans l’ennui et la frustration, comme s'ils étaient les figurants d’un blockbuster qui ne démarre jamais.

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