Critique : Jamais contente

Des films sur une jeune adolescente de 13 ans, on en a déjà vu beaucoup, mais il y en a peu qui peuvent revendiquer une telle fraîcheur et autant d’authenticité

Critique : Requiem pour un massacre

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Requiem pour un massacre (que l'on peut aussi désigner par son magnifique titre original, le lyrique Come and See – Va et regarde, en français) est une œuvre pour le moins inconnue de par chez nous, du moins en tout cas pour les néophytes qui n'aurait pas encore plongé dans le cinéma russe et soviétique.
Alarme fatale

Alarme fatale

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Alarme fatale est, comme son nom l'indique, une parodie de la série L'arme fatale avec Mel Gibson et Danny Glover. Films à succès rime avec parodie. Il n'y avait donc aucune raison pour que ceux-ci y échappent. Surtout que la matière est là. Ce sont des films qu'on aime tous voir mais dont les exagérations sont évidentes. Et en plus Alarme fatale est drôle. Très drôle.

Critique : L’Oracle

Profitez bien de votre confort matériel tant que vous le pourrez ! Car si la dernière prévision de Martin Armstrong devient réalité, dans quelques semaines, voire quelques jours, toutes nos richesses relatives s’évaporeront à cause d’un « big bang » des dettes publiques début octobre.

Critique : Loin des hommes

Aride comme les hauts plateaux de l’Atlas, pudique comme la philosophie humaniste d’Albert Camus, cette adaptation libre de l’une de ses nouvelles a surtout donné un très beau film. Avec une intensité sourde, David Oelhoffen n’y évoque point un choc des cultures, mais plutôt une bataille subtile pour un peu de compréhension et de solidarité, pendant que l’équilibre social et historique se détraque irrémédiablement. Si l’on veut considérer Loin des hommes comme un western – une référence pleinement assumée par son réalisateur –, ce serait alors un western algérien aux multiples facettes. Car sa principale qualité est une redistribution cyclique des cartes à une vitesse impressionnante, un changement de donne permanent auquel les deux personnages, interprétés magistralement par Viggo Mortensen et Reda Kateb, s’adaptent aussi bien qu’ils le peuvent.

Albi 2024 : Tehachapi

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Quand la fiction s'invite en milieu carcéral, c'est souvent pour redresser les torts et procéder à une réhabilitation aussi édifiante que forcée des détenus. Il y a trois ans, Kad Merad avait tenu le rôle passablement problématique du sauveur venu de l'extérieur dans Un triomphe de Emmanuel Courcol.

Critique : Une famille

La première surprise d'Une famille, c’est la sincérité de la démarche. Là où je craignais profondément qu’à travers une autofiction, Christine Angot vienne se complaire dans son vécu en nous prenant un peu en otage : c’est tout l’inverse qui se produit.

Critique : Le Mélange des genres

Ces dernières années, les hommes ont eu la vie plus difficile que d'habitude. Grâce à la parole des femmes qui s'est libérée tant soit peu dans le sillage du mouvement #MeToo, les propos et les comportements les plus abjects du passé de la part des hommes n'ont plus droit de cité dans l'espace public vaguement plus éclairé.

Critique : Entre le ciel et l’enfer

Un des aspects les plus bluffants du génie de Akira Kurosawa réside dans sa capacité de changer assez régulièrement de genre au cours d'une filmographie très fournie, tout en y affichant chaque fois une maîtrise, voire un pouvoir de création incroyables. Ainsi, alors qu'on a plutôt tendance de nos jours à se souvenir de ce réalisateur majeur du siècle dernier pour ses épopées de samouraïs, il a su œuvrer avec la même maestria dans un large éventail de genres, à l'exception notable de la comédie.

The Bay

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La petite ville côtière de Chesapeake Bay doit sa prospérité à l’élément aquatique. Lorsque deux biologistes français relèvent un affolant niveau de toxicité de l'eau et tentent d’alerter le maire, ce dernier refuse de semer la panique dans sa paisible cité. Inaction fatale, puisqu'une épidémie mortelle ne tarde pas à se répandre, qui voit les habitants se transformer en hôtes de parasites mutants qui prennent le contrôle de leurs esprits, tandis que Cheaspeake Bay sombre dans l'horreur…

Critique : Michel-Ange

Andreï Kontchalovski a choisi de concentrer son film consacré à Michel-Ange sur une période relativement courte de la vie de ce très grand artiste, un choix qui permet de donner un portrait complet de la personnalité de l'homme tout en évitant le papillonnage et de trop fréquentes ellipses

Lovely Molly

Quand Molly Reynolds, jeune mariée, retourne dans sa famille, des souvenirs terrifiants de son enfance refont surface. Commence alors pour Molly une longue descente aux enfers où la frontière entre psychose et possession se trouble.

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Dans Dr Wai, les coups de pied volent comme des pigeons effrayés sur une place de marché un jour de distribution de tracts pour LFI, et les chorégraphies câblées s’enchaînent avec une précision qui ferait rougir un cocu suisse.

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Jarhead, la fin de l’innocence n’est pas un film de guerre classique, mais un film sur l’attente, sur le vide qui ronge plus sûrement que les balles. Sam Mendes y transforme le désert saoudien en salle d’attente géante, où les Marines se consument dans l’ennui et la frustration, comme s'ils étaient les figurants d’un blockbuster qui ne démarre jamais.

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À l’occasion de la sortie du coffret Blu-ray 4K Ultra HD GAMERA : LES ANNÉES SHOWA – VOLUME #1, Roboto Films et critique-film.fr vous proposent de participer à un jeu concours pour gagner un coffret 3 Blu-ray 4K Ultra HD + Livret + Cartes postales + poster du film !

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Barbarella

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Barbarella est un objet cinématographique non identifié - un délire SF érotomane et psychédélique absolument typique de son époque de tournage (1968), livré dans des décors pleins de plumes, de globes et de moumoute.