Critique : Scream Girl
Pas de doute, les 80’s sont plus que jamais à la mode ! Après The Guest et Turbo Kid, présentés au dernier Festival Européen du Film Fantastique de Strasbourg et citant visuellement et musicalement cette décennie, voilà un long-métrage nous proposant d’aller plus loin, puisqu’il projette littéralement ses protagonistes… dans un slasher ! A découvrir en ouverture du prochain Paris International Fantastic Film Festival le 17 novembre 2015…
Critique : Euforia
On ne peut qu'apprécier le fait que Valeria Godino arrive à faire rire sur un sujet très grave, ainsi que la splendide image qu'elle donne de la ville de Rome.
Critique : Frankie
"Frankie" s'avère très riche en abordant avec finesse et pudeur le thème positif de la naissance des couples, celui, plus négatif, de leur mort, et celui, encore plus sombre, d'une mort annoncée.
Critique : Une histoire de fou
Dans un film qui va au plus profond des consciences en s'interrogeant sur la justice, sur la vengeance, sur le pardon et sur la mémoire, Robert Guédiguian prouve, une fois de plus, qu'il est un des plus grands réalisateurs de notre époque, tant au niveau de la forme, de plus en plus aboutie de film en film, que du fond, toujours aussi humaniste sans jamais être mièvre.
Critique Express : Le tourbillon de la vie
C'est le premier long métrage d'Olivier Treiner en tant que réalisateur et il se montre aussi inventif dans son scénario que brillant dans sa réalisation.
Mère et fils
Cornelia, 60 ans, mène une vie privilégiée à Bucarest, entourée de ses amis riches et puissants.
Pourtant, les relations tendues qu’elle entretient avec son fils la tourmentent. Celui-ci repousse autant qu’il peut la présence d’une mère possessive.
Quand Cornelia apprend qu’il est impliqué dans un accident de voiture qui a coûté la vie à un enfant, elle va utiliser toute son influence pour le sortir de cette situation où il risque une sévère peine de prison.
Mais l’enfer du fils est pavé des bonnes intentions de sa mère. La frontière entre amour maternel et manipulation est mince...
Test DVD : Chemin de croix
C'est un film sur le fanatisme religieux que nous propose le réalisateur allemand Dietrich Brüggemann. Alors que le cinéma actuel a tendance à se diriger chez les musulmans et chez les juifs pour montrer les dégâts causés par les religions lorsqu'elles glissent dans l'intégrisme, c'est dans l'univers des catholiques que nous conduit Chemin de croix.
Critique : Hostages
Mélancolie, quand tu nous tiens ! Malgré son titre et son sujet qui promettent à première vue une bonne dose d'action haletante, ce film géorgien est avant tout empreint d'une forme de nostalgie particulièrement sombre. Hostages est en premier lieu l'histoire d'une occasion ratée, d'un énorme gâchis qui reflète plus son contexte historique que sa capacité d'influencer ce dernier.
Critique : Comment tuer son Boss 2
Trois ans après une première rébellion contre leurs mauvais patrons, Nick, Dale et Kurt vont tenter de devenir leurs propres patrons. Mais leur chemin vers le succès va être de nouveau entravé par de bien méchants hommes d'affaires bien plus malins qu'eux. Ce qui n'est guère difficile...
The Last Days on Mars – Festival de Gérardmer 2014
Deuxième film révélé lors de la dernière édition de la Quinzaine des Réalisateurs 2013 présenté ici à Gérardmer en compétition, après We are what we are de Jim Mickle (critique), Last days on Mars n’est guère plus surprenant. Après le remake officiel d’un film mexicain, voici une relecture officieuse sans grande originalité d’un genre entier, le film de monstres dans l’espace. Des films de genre à la Quinzaine des Réalisateurs soit, mais piqués au Marché du Film, est-ce une bonne idée ?
Intégrale Claude Berri #07 : La première fois (1976)
Le cinéma de Claude Berri mettra quelques années à s’acclimater aux années 70, et aux bouleversements sociaux ayant explosé au lendemain de mai 68. Evolution des mœurs, libération de la femme, révolution sexuelle, relâchement de la censure cinématographique… Après un crochet par la fiction le temps de deux films qui puisaient tout de même largement dans l’expérience personnelle du cinéaste, l’année 1976 marque pour Claude Berri l’heure du grand retour à l’évocation de ses propres souvenirs, avec La première fois.
Intégrale Claude Berri #02 : Mazel Tov ou le mariage (1968)
Avec Le vieil homme et l’enfant son film précédent, Claude Berri s’était fait un nom et la récompense obtenue à Berlin pour son film l’a probablement encouragé à entretenir son « regard » de cinéaste, sa capacité à observer sans juger, qui faisait toute la valeur de son premier film. Avec Mazel Tov ou le mariage en 1968, il fait le choix de revenir à ses contemporains, et de dresser avec malice un portrait des aspirations, rêves et contradictions des jeunes au sein de la communauté juive à la fin des années 60


















