Critique : 10 Cloverfield Lane
10 Cloverfield Lane a débarqué ce mercredi dans nos salles. Suite (?) de Cloverfield, sorti en 2008, mettant en scène un gigantesque Alien détruisant New York, 10 Cloverfield Lane est le premier film de Dan Trachtenberg porté par les performances parfaites de John Goodman et Mary Elisabeth Winstead.
Critique : Five
La bande des potes inséparables et prêts à commettre les pires conneries ensemble est l’un des dispositifs scénaristiques préférés de la comédie française. On ne compte ainsi plus les films où les amis traversent des expériences extrêmes pour mieux se prouver à quel point ils tiennent les uns aux autres.
Critique : Le chant du merle
"Le chant du merle" est un "petit" film très attachant, ce genre de film plus riche qu'il n'y parait et qui, longtemps après qu'on l'ait vu, reste bien présent dans la mémoire.
Critique : Le Quai des brumes
Avant même que la hache de la censure ne s’abatte sur le cinéma français au moment de l’occupation, il n’était nullement permis de montrer tout et n’importe quoi. Un film comme Le Quai des brumes avait fait alors les frais du filtre de ce qu’il était convenable d’énoncer, notamment en termes de styles de vie peu recommandables, jugés à l’époque comme « sales ».
Critique : Un temps pour vivre un temps pour mourir
Il existe un nombre incalculable de films sur l’enfance et l’adolescence. Très peu d’entre eux jouissent par contre de la même force intérieure qu’Un temps pour vivre un temps pour mourir. Hou Hsiao Hsien y évoque avec un calme apaisant et pourtant hautement passionnant quelques années dans la vie d’un garçon, qui ressemblent à peu de choses près à sa propre période formatrice.
Critique : Le Pont de la rivière Kwaï
La première des cinq épopées exotiques qui allaient placer David Lean dans le panthéon du Septième art est un film de guerre toujours aussi passionnant, grâce à sa capacité de véhiculer sa critique du conflit armé à travers un grand spectacle. Sa mise en scène d’une virilité prononcée s’opère ici sur fond de l’interrogation guère complaisante de l’héroïsme à l’ancienne.
Critique : Sex Friends (pour)
Parmi les films à redécouvrir sur le petit écran ce soir (c’est sur France 4 à 22h25), voici l’un des deux films à avoir lancé la bien médiocre série de films autour du thème constamment chichiteux du «sexe entre amis», no strings attached, pour reprendre le titre en VO de cette comédie romantique qui sentait très fort le produit formaté et s’avère non seulement franchement drôle mais aussi assez touchante.
Critique : Brève rencontre
La période anglaise des débuts de la filmographie de David Lean n’est peut-être pas aussi prestigieuse que la suivante, avec ses cinq épopées qui allaient conquérir un public international en quête d’émotions et de visuels plus grands que nature. Cette première partie de l’œuvre du réalisateur est avant tout ponctuée d’adaptations littéraires respectueuses et respectables et d’autres films de genre débordant du spleen britannique propre aux années 1940.
Critique : Evolution
Aucun lieu de tergiverser, Lucile Hadzihalilovic est présentement l'une des réalisatrices les plus intéressantes en France. Il suffit de se souvenir d’Innocence, son premier long-métrage, sorti en 2004, où l’on suivait un récit d’initiation se déroulant dans une école coupée du monde. Ce film attestait déjà à l’époque d’une maîtrise formelle poussée ainsi que d’un imaginaire hétéroclite puisant dans diverses influences telles le conte de fées, le manga ou encore le cinéma-bis transalpin. Film unique, à l’atmosphère intrigante, Innocence avait considérablement marqué les esprits. Ryan Gosling ne s’en est d’ailleurs toujours pas remis au point d’embaucher le chef-opérateur, Benoît Debie, pour son Lost River. Après un tel film, l’on aurait pu penser qu’un deuxième allait rapidement suivre. Cependant, au regard de la singularité du projet, allié à la frivolité des distributeurs actuels, la genèse d’Evolution fut, aux dires de quelques-uns, plus compliquée que prévue.
Festival de l’Alpe d’Huez 2016 : bilan au sommet (1/3)
Oyé Oyé!!! Voici le bilan sur la sélection officielle de la 19ème édition du festival du film de comédie de l'Alpe d'Huez (longs métrages...
Critique : Au nom de ma fille
Est-ce que Vincent Garenq est la réincarnation de André Cayatte ? La question – pas entièrement sérieuse – doit être permise, au vu de la prédilection du réalisateur pour les sujets à polémique, qui visent divers dysfonctionnements de l’appareil institutionnel de la France.
Critique : Les Salauds dorment en paix
Pas de doute, pas d'incertitude : Akira Kurosawa est l'un des plus grands réalisateurs de l'Histoire du cinéma. C'est à vérifier cette semaine au Champo à Paris. Certaines de ses pièces maîtresses seront projetées (Yojimbo, Le Château de l'Araignée) mais aussi de belles pépites qui devraient l'être comme cette très libre variation de la pièce Hamlet. À voir ce samedi 12 mars à 16h10 et 21h10.

















