Test DVD : Certifiée Halal

De l'échange inopiné de futures mariées va naître un imbroglio qui ne donne pas le beau rôle à la gent masculine et permet de lâcher, dans ce qui est une comédie à vocation populaire, de très bonnes piques visant les traditions obscurantistes et les extrémismes religieux.

Test DVD : La Fille du patron

Des choix parfaitement assumés et une réalisation très bien maîtrisée pour un premier long métrage permettent de situer le film dans le haut du panier en matière de comédie sociale

Critique : Eddie The Eagle

1988, la ville de Calgary (Canada) est en pleine effervescence parce qu’elle se prépare à accueillir les quinzième Jeux Olympiques d’hiver. Des athlètes du monde entier débarquent pour partager leur passion et participer à l’évènement le plus emblématique du milieu sportif. Les entrainements sont lancés, les supporters sont gonflés à bloc pour encourager leurs équipes.

Critique : Par amour

Que peut-on faire par amour et jusqu’où sommes-nous prêts à aller ? Voilà la question que tout un chacun se pose un jour ou l’autre dans sa vie, et que Giuseppe M. Gaudino met à l’honneur dans son film. Intitulé Per amor vostro traduit en français par Par amour, ce film franco-italien, fut le 4e film italien présenté à la Mostra de Venise ? après L’Attesta de Pietro Messina, Sangue del mio sangue de Marco Bellocchio et A Bigger Splash de Luca Guadagnino. Vingt ans après son unique long métrage Giro di lune tra terra e mare, ce documentariste nous offre un nouveau long métrage au scénario prometteur.

Critique : Green Room

Deux ans après Blue Ruin présenté dans cette même section, la Quinzaine des Réalisateurs nous redonnait déjà des nouvelles de son réalisateur Jeremy Saulnier avec Green Room lors de l’édition 2015 du Festival de Cannes.

Critique : La Visita

C'est avec une très grande sobriété que le jeune réalisateur Mauricio López Fernández introduit le spectateur dans une famille chilienne de la bourgeoisie provinciale, une famille engluée dans la religion et la tradition et qui a beaucoup de mal à accueillir le retour du fils de leur bonne Coya, un fils qui se prénommait Filipe lorsqu'il est parti et qui, lorsqu'elle revient, est devenu Elena.

Critique : Nos souvenirs

Le public festivalier peut parfois être cruel. La réception à Cannes du nouveau film de Gus Van Sant, qui y était présenté l’année dernière en compétition, fut si glaciale qu’elle a enseveli sous elle la réputation de Nos souvenirs avant que ce dernier n’ait eu une chance de se faire sa place sur le marché.

Critique : Mr. Holmes

Dix-sept ans après Ni dieux ni démons, le récit magistral des derniers jours du réalisateur légendaire James Whale, Bill Condon et Ian McKellen se retrouvent pour raconter essentiellement la même histoire. Il n’y est plus question d’homosexualité, ce qui rend sans doute Mr. Holmes moins personnel pour le réalisateur que la déchéance d’un artiste ostracisé, entre autres raisons, parce qu’il était gay.

Critique : Captain America Civil War

Les Avengers sont de retour. Car ne vous y trompez pas, peu importe le titre dont sont affublées les aventures Marvel produites par Disney, elles vont intégrer peu ou prou l’ensemble des super-héros de l’univers. Maintenant que tous ces personnages aux pouvoirs impressionnants sont connus du public mondial, on pourrait croire que l’union fasse la force et que cette équipe de choc tende vers une suprématie sublime.

Critique : Le Livre de la jungle (Jon Favreau)

Après Blanche Neige, Maléfique et Cendrillon, Disney continue sa croisade d’adaptations live des grands succès animés qui ont fait son ancienne popularité avec Le Livre de la Jungle. Outre le doublage orchestré par de grandes stars telles que Bill Murray, Scarlett Johansson ou Christopher Walken, la réalisation a été confiée à Jon Favreau, le papa sur grand écran de Iron Man. Une fine équipe donc (il n’en fallait pas moins) pour adapter le roman culte de Rudyard Kipling.

Critique : A War

Le Danemark est un pays d’une envergure si modeste que toute activité guerrière de sa part relève obligatoirement du symbole. Sauf que ce film danois, nommé au mois de janvier à l’Oscar du Meilleur Film étranger, nous rappelle habilement qu’il n’y a rien d’abstrait dans une guerre.

Critique : Bad Boy Bubby

Bad Boy Bubby. Un titre intriguant, accompagné par la photo d’un acteur ayant des faux-airs de Jack Nicholson. Une ressortie en salle 22 ans après la sortie d’origine, sans raison particulière. Voilà à peu près ce je savais du film avant d’aller le voir. Près de six mois après l'avoir découvert, Bad Boy Bubby est toujours dans un coin de mon esprit. Il sort, pour la première fois en France, en Blu-Ray le 9 mai prochain.

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lorsqu'un film s'avère à la fois prétentieux et incompréhensible pour le commun des mortels, il devient très difficile de lui trouver le moindre plaisir ou le moindre intérêt

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Un seul des 4 volets que le réalisateur s'efforce avec plus ou moins de succès à faire cohabiter dans son film s'avère pleinement satisfaisant.

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