Critique Express : Le syndrome des amours passées

Malgré sa grande inventivité, "Une vie démente", le premier film du duo belge Ann Sirot, aux origines américaines, et Raphaël Balboni, aux origines italiennes, avait peiné pour atteindre 20 000 spectateurs dans les salles de l'hexagone. Qualifiés pour un second tour, qu'allaient-ils "inventer" pour réjouir à nouveau les spectateurs ?

Critique : Tu mérites un amour

Il reste encore pas mal de chemin à parcourir à Hafsia Herzi pour devenir une très bonne réalisatrice. Le premier pas pourrait consister à se débarrasser de l'influence Kechiche.

No

Chili, 1988. Lorsque le dictateur chilien Augusto Pinochet, face à la pression internationale, consent à organiser un référendum sur sa présidence, les dirigeants de l’opposition persuadent un jeune et brillant publicitaire, René Saavedra, de concevoir leur campagne. Avec peu de moyens, mais des méthodes innovantes, Saavedra et son équipe construisent un plan audacieux pour libérer le pays de l’oppression, malgré la surveillance constante des hommes de Pinochet.

Critique : Mal de Pierres

Lorsque le nouveau film de Nicole Garcia a été annoncé en sélection officielle et, pire encore, en compétition lors du dernier festival de Cannes, les mauvaises langues (dont j’avoue avoir fait partie) se sont tout de suite déchaînées en affirmant que cette dernière avait volé la place d’autres films plus prestigieux relégués aux sections parallèles ou aux séances de minuit. Fait assez commun finalement, tant le plus grand festival de cinéma au monde déchaîne chaque année les passions, chacun y allant de ses pronostics et de ses avis tranchés. Au final, Mal de Pierres sera passé assez inaperçu dans la compétition, les avis positifs étant quelque peu noyés dans la masse d’informations cannoises. Comme tous les grands films jugés trop académiques sur le moment, on peut être certains qu’il bénéficiera, avec le recul, le tumulte de Cannes passé, d’un regard critique un peu plus serein. On peut d’ailleurs rapprocher le résultat du cinéma de James Gray, autre grand cinéaste systématiquement critiqué à Cannes sur l’aspect soit disant trop vieillot de son cinéma, puis encensé ensuite, lorsque ses films sortent. C’est tout le mal que l’on souhaite à cette belle oeuvre …

Critique : Working Woman

C'est (malheureusement !) un sujet universel que Michal Aviad a choisi de traiter dans son deuxième long métrage de fiction : le harcèlement que subissent de nombreuses femmes dans le cadre de leur travail, que ce soit de la part de leurs employeurs, de leurs supérieurs hiérarchiques ou de simples collègues.
Tru Grit Jeff Bridges

True Grit

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Un film des frères Coen est toujours un évènement. En effet, le duo de réalisateurs composé d'Ethan et Joel enchaîne les succès aussi bien presse que public (Ladykiller, No Country for Old Men, O'Brother, The Big Lebowski et, plus récemment, Burn After Reading). Lorsqu'en plus leur film possède une distribution composée de Jeff Bridges, Josh Brolin, Matt Damon et que le producteur n'est autre que Steven Spielberg, on ne peut que courir au cinéma.

Critique Express : A la folie

En fait, il arrive que la relation entre deux êtres humains soit un mélange d'amour et de haine et c'est exactement ce qui se passe entre les deux sœurs Nathalie et Emmanuelle.

Critique : Blood father

Mel Gibson revient de loin. De très, très loin. Le tsunami d’attention médiatique toxique qu’il a dû traverser – essentiellement par sa propre faute – pendant les années 2000 a anéanti ce qu’était jusque là une carrière brillante, qui avait fait de lui une des vedettes les plus appréciées du public international.

Critique : Cold War

"Cold War" nous plonge dans les tourments d'une histoire d'amour épisodique tout en offrant une belle reconstitution de l'après guerre dans trois pays, sur une durée d'une quinzaine d'années : la Pologne, la France et la Yougoslavie

Revu sur MUBI : All or Nothing

Pour le commun des cinéphiles français, le cinéma social d'outre-Manche est la chasse gardée de Ken Loach qui œuvre depuis un demi-siècle à dénoncer tout ce qui ne va pas dans le système social britannique.
L’Ombre du Mal

L’Ombre du Mal

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Automne 1849, dans la ville portuaire de Baltimore. Edgar Allan Poe, pourtant écrivain reconnu, n’écrit plus depuis quelque temps que des critiques littéraires pour une gazette locale. Il s’est mis à boire plus que de mesure depuis son veuvage (deux ans plus tôt), et ne connaît de répit dans les nombreux malheurs qui ont marqué sa vie privée que grâce à la jeune et jolie Emily Hamilton, fille d’un notable, lequel est franchement hostile à cet attachement. L’inspecteur Fields requiert l’assistance de Poe dans une enquête à propos d’un double crime, dont la mise en scène rappelle une de ses nouvelles publiées quelques années plus tôt. S’engage alors un vrai jeu de piste macabre entre l’écrivain et un mystérieux « admirateur », qui a trouvé ce moyen original de provoquer le retour de Poe à l’écriture d’une nouvelle (et ultime) « Histoire Extraordinaire », avec comme enjeu la vie-même d’Emily qu’il a enlevée.

A mort l’arbitre

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L'arbitre Maurice Bruno siffle un penalty faisant perdre l'équipe locale. Consternation des supporters du cru. De chantages en traque effrénée, l'embrasement collectif et aveugle déferle sur la ville.

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Critique Express : Les échos du passé

lorsqu'un film s'avère à la fois prétentieux et incompréhensible pour le commun des mortels, il devient très difficile de lui trouver le moindre plaisir ou le moindre intérêt

Critique Express : Los Tigres

Un seul des 4 volets que le réalisateur s'efforce avec plus ou moins de succès à faire cohabiter dans son film s'avère pleinement satisfaisant.

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Le monstre Gamera naît en 1965, et dès le premier film de la saga Gamera produit par la Daiei, il flottait déjà dans l’air la vague impression qu’à l’image de son grand frère Godzilla, la tortue géante n’était pas simplement une créature sortie d’un cauchemar reptilien, mais une métaphore ambulante de la peur nucléaire.