The Prodigies
Lorsque les français décident de concurrencer les films d'animation made in USA, ça donne The Prodigies. Il s'agit de l'adaptation d'un roman passionnant : La Nuit des enfants rois de Bernard Lenteric. Un film fantastique tourné en motion capture qui a franchement de la gueule d'après la bande-annonce. Mais le rendu final sera-t-il à la hauteur de nos espérances ?
Le Dernier des Templiers
Le Dernier des templiers est un film d'aventure réalisé par Dominic Sena. On retrouve Nicolas Cage dans le rôle principal, l'acteur a déjà travaillé avec ce réalisateur à l'occasion d'un autre film : 60 secondes chrono.C'est la première fois que Nicolas Cage endosse le rôle d'un chevalier au cinéma.
Captain America : First Avenger
Petit dernier avant la réunion de famille que va être The Avengers, prévue pour 2012, Captain America : First Avenger avait de quoi laisser perplexe. Entre Thor, qui n'est en fait qu'une vague présentation du héros, et Iron Man 2, suite tout juste correcte d'un superbe premier épisode, il est effectivement logique de se demander si Marvel allait enchaîner deux bons films de suite
Critique : All Flowers in time (court-métrage)
À l'occasion du vingtième anniversaire de sa case courts-métrages, l'Étrange Festival proposait de redécouvrir, parmi une bonne sélection, ce court film de Jonathan Caouette, Grand Prix du public en 2010 qui marquait alors le retour derrière la caméra de celui qui avait interpellé les spectateurs avec son premier long-métrage Tarnation en 2003.
Critique : Avengers Infinity War
Ils sont venus, ils sont tous là ! Le troisième film officiel de l'équipe suprême de super-héros – parce qu'il y a eu des drôles de cas de tromperie sur la marchandise dans le passé, n'est-ce pas Captain America … – respecte une fois de plus la règle de la surenchère des personnages, réunis de gré ou de force pour combattre le mal absolu.
Critique : Beauté cachée
Will Smith a beau rester l’une des seules vedettes à l’attrait international, par les temps de la célébrité dépréciée et éphémère qui courent, sa filmographie se résume essentiellement ces dernières années à deux types de films, répétés sans relâche. D’un côté des films d’action, devenus interchangeables à force de voir toujours le même groupe restreint de têtes d’affiche s’y décarcasser.
Critique : Nope
En désormais trois films en tant que réalisateur, Jordan Peele a réussi à se forger une réputation à l'écart de ses origines artistiques de comique potache. L'humour n'est certes pas complètement absent de Get Out, Us et Nope. Mais dans le meilleur des cas, on pourrait interpréter ces histoires effrayantes comme des commentaires satiriques sur la conscience collective des Américains à un moment donné.
Critique : Hulk
Ang Lee (Le Secret de Brokeback Mountain) aux commandes d’une adaptation de Comics ? Surprenant vu la filmographie du réalisateur, l’exercice se révélant être un défi pour lui. Malheureusement, de bonnes idées et de bonnes intentions ne font pas un grand film et l’absence de passion pour le personnage original de Bruce Banner va plonger le film dans les abysses des productions Marvel… bien malgré lui.
Peau d’âne
Peau d'âne est un film de Jacques Demy datant de 1970 et adapté du conte de Perrault. Pas facile de reprendre un tel conte au cinéma, pourtant, le réalisateur n'hésite pas à donner sa propre interprétation de l’œuvre et ne lésine pas sur les détails tous plus incroyables les uns que les autres.
Toad Road
Un portrait dérangeant de la culture jeune contemporaine. Un monde où la frontière entre la fiction et la réalité s’estompe, produisant des résultats pour le moins effrayants.
Apollo 18
Apollo 18 crée la curiosité par toute la mise en scène qui a été faite tout autour de ce film. Partir d'un fait réel, soit l'annulation des missions Apollo 18 et Apollo 19 après la baisse budgétaire de la NAZA donne une base solide au film, et interpelle le spectateur, qui cherche à en savoir un peu plus.
Critique : La Lune de Jupiter
On n'ira pas jusqu'à affirmer que la frustration aiguë provoquée par le film précédent de Kornel Mundruczo nous inspirait une appréhension tenace face à son nouveau, présenté cette année en compétition au Festival de Cannes. Il faut en effet reconnaître que White God était une affaire de goût et que, de toute façon, chaque œuvre cinématographique tant soit peu ambitieuse produite dans le contexte culturel épineux de la Hongrie vaut la peine d'être découverte, voire soutenue.