Cannes 2019 : Parasite (compétition)
Parasite est avant tout une histoire de famille(s) : celle des protagonistes, qui doivent vivre dans un entre-sol et celle des Park, socialement à l'opposé des précédents. Comme d'habitude chez Bong Joon-ho, quelques plans suffisent pour nous faire ressentir une empathie immense envers les personnages. Ici, tous sont attachants, même (et surtout) lorsque les évènements prennent un tournant inattendu. Car s'il y a une chose dont le cinéaste semble s'être fait la spécialité, c'est le changement de ton.
Man of Steel
Un petit garçon découvre qu'il possède des pouvoirs surnaturels et qu'il n'est pas né sur Terre. Plus tard, il s'engage dans un périple afin de comprendre d'où il vient et pourquoi il a été envoyé sur notre planète. Mais il devra devenir un héros s'il veut sauver le monde de la destruction totale et incarner l'espoir pour toute l'humanité.
Critique : Ne te retourne pas
Notre chroniqueur Eric Becart n'a pas DU TOUT aimé Ne te retourne pas, le dernier film de Marina De Van... Mais comme il est gentil, il va vous dire pourquoi. Vous avez le droit de ne pas être d'accord.
Berlinale 2018 : Human Space Time and Human
Le cinéma coréen nous laisse décidément de marbre en cette 68ème édition du Festival de Berlin ! Après la première déception de notre séjour, le nouveau Hong Sang-soo, en voici une deuxième de la part d'un réalisateur, qui nous avait habitués à mieux dans le passé. Plus ample dans son ambition cinématographique que son compatriote, Kim Ki-duk savait en effet nous emmener avec une certaine sophistication des moyens narratifs vers des terres pas nécessairement hospitalières, quoique toujours fascinantes à explorer.