Critique : Crimson Peak
Il n’y a pas de secret dans ce bon vieux XXIème siècle cinématographique : la sortie d’un Guillermo Del Toro est toujours attendue. Non pas au tournant, ni de pied ferme, mais avec la franche et fraîche conviction qu’il va nous embarquer dans le monde visionnaire qu’il a scrupuleusement conçu depuis ses débuts. On l’admire et c’est juste logique. Cette alchimie qu’il a su méticuleusement créer grâce à ce travail acharné et cette imagination débordante, amène le spectateur à se réjouir à chacun de ses films, à chacun de ses plans, à chacune de ses apparitions.
L’Ecume des jours
L’histoire surréelle et poétique d’un jeune homme idéaliste et inventif, Colin, qui rencontre Chloé, une jeune femme semblant être l’incarnation d’un blues de Duke Ellington. Leur mariage idyllique tourne à l’amertume quand Chloé tombe malade d’un nénuphar qui grandit dans son poumon. Pour payer ses soins, dans un Paris fantasmatique, Colin doit travailler dans des conditions de plus en plus absurdes, pendant qu’autour d’eux leur appartement se dégrade et que leur groupe d’amis, dont le talentueux Nicolas, et Chick, fanatique du philosophe Jean-Sol Partre, se délite.
Arras 2019 : L’Esprit de famille (Eric Besnard)
On ne choisit pas sa famille. On fait tout simplement avec. Et si par hasard le destin redistribue les cartes, mieux vaut saisir l'opportunité, afin de remettre les choses à plat et repartir sur de nouvelles bases.
Critique : Morse
Morse est un film fantastique suédois réalisé par Tomas Alfredson en 2008. Ce long métrage est basé sur le best-seller Laisse-moi entrer de John Ajvide Lindqvist qui est aussi l'auteur du scénario. L'écrivain a été difficile à convaincre, puisque pendant plusieurs années de nombreux réalisateurs ont tenté de lui acheter les droits de l'œuvre sans succès, jusqu'à ce que Tomas Alfredson le persuade enfin. Une bonne chose, sachant que le film a été récompensé du Grand Prix Fantastic'Arts et du Prix de la Critique Internationale du Festival du film fantastique de Gérardmer 2009.
Critique : Max et les Maximonstres
Max et les Maximonstres est l'adaptation d'un célèbre album illustré de Maurice Sendak. Le film est sorti en 2009, réalisé par le talentueux Spike Jonze. Il s'agit d'un conte qui, contrairement à ce que l'on pense, n'est pas pour les enfants, mais basé sur l'enfance et visant un public adulte. Alors le film a t-il réussi à retranscrire la magie de l'album ?
Revu sur OCS : Abîmes
Petit changement de régime dans nos visionnages sur petit écran pour meubler le confinement général d'une manière à peu près cinématographique : plutôt que de courir après les films qui disparaîtront prochainement de notre nouvelle plateforme de vidéo par abonnement de prédilection, OCS, puis de vous narguer involontairement parce que ces films ne seront plus à votre disposition pour vous faire votre propre opinion à partir de la nôtre, on tentera davantage de visionner des œuvres qui nous font envie sur le moment, selon nos préférences d'une inconsistance pathologique.
Dead Space : Aftermath
Dead Space Aftermath est un film d'animation adapté du jeu vidéo Dead Space. Le film fait la transition entre Dead Space et Dead Space 2 et explique les évènements qui arrivent dans la suite du jeu vidéo du survival horreur le plus réussi de ces dernière années.
Critique : Spider-Man Homecoming
Batman, Spider-man et Superman, les vieux messieurs de l'univers des comics, ont connu tellement d'incarnations filmiques, que tout portait à croire qu'un énième redémarrage n'allait y apporter strictement rien. Erreur d'appréciation presque fatale, puisque la troisième version des aventures du super-héros aux pouvoirs arachnéens, après celles incarnées avec plus ou moins de succès par Tobey Maguire et Andrew Garfield, s'avère être une excellente surprise.
Critique : X-Men
Quand le réalisateur d’Usual Suspects s’attaque aux super-héros, cela donne le premier film d’une longue franchise, précurseur d’un phénomène à suivre…
Critique : The Divide
On peut dire que The Divide le nouveau film de Xavier Gens était attendu : financement américain, tournage canadien, quelques beaux noms du cinéma (Michael Biehn et Rosanna Arquette) et surtout un thème de science fiction qui éveille la curiosité.
Critique Express : Horizonte
Malgré un remarquable premier long métrage, "La terre et l'ombre", qui lui avait permis d'obtenir la Caméra d'or au Festival de Cannes 2015, il aura fallu attendre 10 ans pour que le réalisateur colombien César Acevedo puisse nous proposer son 2ème long métrage de cinéma.
Jack le chasseur de géants
Lorsqu’un jeune fermier ouvre par inadvertance la porte entre notre monde et celui d’une redoutable race de géants, il ne se doute pas qu’il a ranimé une guerre ancienne… Débarquant sur Terre pour la première fois depuis des siècles, les géants se battent pour reconquérir leur planète et le jeune homme, Jack, doit alors livrer le combat de sa vie pour les arrêter. Luttant à la fois pour le royaume, son peuple et l’amour d’une princesse courageuse, il affronte des guerriers invincibles dont il s’imaginait qu’ils n’existaient que dans les contes. L’occasion, pour lui, de devenir une légende à son tour.


















