Livide
La vague française de films d’horreur a probablement fait échoué sur votre rivage les deux compères Alexandre Bustillo et Julien Maury, réalisateurs du slasher radical « À l’intérieur ». Fidèles au cinéma de genre, ils nous invitent avec Livide à pousser la porte d’un manoir lugubre au beau milieu des landes bretonnes.
Critique : Inception
Inception est le film le plus attendu de l’été 2010. Il s'agit d'une grosse machine surfant sur le succès de Christopher Nolan, nouvelle coqueluche d’Hollywood, qui endosse le rôle de réalisateur, producteur et scénariste.
Critique : La Planète des singes : l’affrontement
César et ses congénères reviennent dans ce nouveau volet de la saga de la Planète des Singes, un film d'action à taille humaine où l'aspect dramatique n'est pas sacrifié au détriment de l'action et inversement. Nous ne sommes qu'à l'aube de la planète des singes (pour reprendre le titre original) et l'on attend avec un a priori très positif le prochain volet qui sera encore signé a priori Matt Reeves, avec toujours Andy Serkis dans le rôle principal devenu l'expert incontesté de la motion capture, autant en tant qu'acteur que dans la maîtrise de la technique, comme en témoignait sa présentation de quelques séquences du film en avril dernier.
Berlinale 2017 : Lettres d’un homme mort
Révélé à la Semaine de la Critique à Cannes en mai 1987 où il avait fait sensation un peu plus d'un an après la catastrophe de Tchernobyl, Lettres d'un homme mort de Konstantin Lopouchanski s'est un peu fait oublier. Séance de rattrapage à la Berlinale 2017 dans la rétrospective Futur Imparfait pour ce film ambitieux, que l'on peut considérer comme le tout premier film de la Perestroïka et l'une de ces très grandes oeuvres de cinéma méconnues que l'on (re)découvre par hasard au sein d'un Festival curieux de ne pas oublier le cinéma du passé tout en soutenant celui du présent.
Critique : Retour vers le futur
Les années 1980 n’ont pas produit beaucoup de films aux qualités intemporelles. Cette décennie-là, si facilement ridiculisée pour ses coiffures et sa mode improbables, a subi de plein fouet le poids du temps, ce qui fait d’elle à la fois un objet aisé de nostalgie et une bulle temporelle sans conséquences majeures sur les années ultérieures.
Critique : Quelques minutes après minuit
Avant de partir sur les traces de Spielberg pour la suite de Jurassic World, Juan Antonio Bayona nous offre un film fantastique, dans lequel un enfant / jeune adolescent se lie d’amitié avec un monstre pour surmonter les dures épreuves de son quotidien. Et, ironie du sort, le résultat est meilleur en tout point que le BGG de Spielberg, à l’argument semblable !
X-Men Origins: Wolverine
Je connaissais quelques héros des « Marvel comics » (Daredevil, Spiderman....) sans toutefois avoir eu envie d'en voir les aventures au cinéma. Et je ne connaissais pas Wolverine.
Critique : Lumières d’été
« En France, personne ne s'intéresse à Hiroshima. » Si cette réplique, issue du premier long-métrage de fiction de Jean-Gabriel Périot, peut globalement être considérée comme juste, elle est avant tout une invitation à la révision de cette attitude blasée de la part d'un peuple, guère connu pour faire un travail de mémoire conséquent sur les sévices de son propre passé.
Thor
Cette fin de mois d’avril marque l’arrivée d’un nouveau super-héros sur nos écrans. Encore un dira-t-on… Des héros imaginés par Stan Lee apparait peut-être le moins connu du grand public, le musculeux et puissant guerrier peroxydé : Thor. Ce long-métrage ouvre le bal d’une série de films dédiés à nos super-héros « Marveliens » avec Captain America : The First Avenger et X-Men : Le commencement ou appartenant à l’écurie DC Comics avec l’arrivée du fameux Green Lantern.
Critique : Pacific Rim
Surgies des flots, des hordes de créatures monstrueuses venues d’ailleurs, les «Kaiju», ont déclenché une guerre qui a fait des millions de victimes et épuisé les ressources naturelles de l’humanité pendant des années. Pour les combattre, une arme d’un genre nouveau a été
mise au point : de gigantesques robots, les «Jaegers», contrôlés simultanément par deux pilotes qui communiquent par télépathie grâce à une passerelle neuronale baptisée le «courant». Mais même les Jaegers semblent impuissants face aux redoutables Kaiju. Alors que la défaite paraît inéluctable, les forces armées qui protègent l’humanité n’ont d’autre choix que d’avoir recours à deux héros hors normes : un ancien pilote au bout du rouleau (Charlie Hunnam) et une jeune femme en cours d’entraînement (Rinko Kikuchi) qui font équipe pour manoeuvrer un Jaeger d’apparence obsolète. Ensemble, ils incarnent désormais le dernier rempart de l’humanité contre une apocalypse de plus en plus imminente…
Critique : Lost River (pour)
Ryan Gosling est de retour à Cannes ! Mais cette fois, les fans hystériques risquent d'être déçus car la belle gueule du cinéma US ne vient pas présenter un film dans lequel il apparaît à l'écran mais bien sa première réalisation dans le cadre de la sélection "Un Certain Regard".
Harold’s going stiff
Harold's going stiff est une petite comédie horrifique tout droit venue d'Angleterre. Il s'agit du premier film de Keith Wright qui signe également le scénario largement tourné vers le drame, le tout filmé à la manière d'un documentaire. Un film original qui traite du sujet de la maladie sous fond de virus qui zombifie les personnes âgées. Tout un programme !


















