Ondine
Ondine est un long-métrage de Neil Jordan (Entretien avec un vampire, La Compagnie des loups) sorti en 2010. Le réalisateur irlandais souhaitait à nouveau tourner un film dans son pays natal et a choisi Colin Farrell, irlandais d'origine également, pour interpréter le rôle principal. L'acteur a d'ailleurs remporté le Prix du Meilleur Acteur aux Irish Film and Television Awards.
Critique : Rare Exports / Père Noël Origines
Un Conte de Noël est l'ovni du 18ème festival de Gérardmer. Réalisé par Jalmari Helander en 2010, le film n'a malheureusement pas trouvé à ce jour de distributeur pour la France. Dommage car ce film est frais et différent, et nous propose une histoire de Père Noël inédite qui va en faire trembler plus d'un. Attention : film de Noël pour adulte !
Critique : Abracadabra
Sans être aussi jubilatoire que "Blancanieves", "Abracadabra" n'engendre pas la mélancolie et s'avère plaisant à regarder.
Critique : Only Lovers Left Alive
Le réalisateur Jim Jarmusch revient au cinéma avec un film très attendu après sa caméra d'or à Cannes en 1984 pour Stranger than Paradise, la Palme d'or du court-métrage en 1993 pour Coffee and Cigarettes, le Grand prix en 2005 avec Broken Flowers et on en passe. Son nouveau film Only Lovers Left Alive est encore une fois sélectionné au Festival de Cannes en 2013 et c'est amplement mérité.
Le Monde Fantastique d’Oz
Quand Oscar Diggs - un obscur magicien à l’éthique douteuse - se retrouve propulsé du poussiéreux Kansas au luxuriant Pays d’Oz, il pense que la gloire et la fortune s’offrent enfin à lui. Sa rencontre avec trois sorcières, Theodora, Evanora et Glinda va pourtant tout remettre en cause car aucune d’entre elles est convaincue qu’il correspond bien au grand sorcier que tout le monde attendait. Traitant à contrecœur les problèmes rencontrés par les habitants du Pays d’Oz, Oscar va bientôt découvrir en qui il peut avoir confiance et de qui il doit se méfier avant qu’il ne soit trop tard. Faisant appel à ses « pouvoirs » magiques à grand renfort d’illusions, d’ingénuité - voire d’un soupçon de sorcellerie - Oscar se transforme peu à peu en un grand et puissant sorcier, mais aussi en un homme meilleur…
Critique : Le Hobbit – Un voyage inattendu
Dans Le Hobbit : Un voyage inattendu, Bilbon Sacquet cherche à reprendre le Royaume perdu des Nains d'Erebor, conquis par le redoutable dragon Smaug.
Total Recall Mémoires Programmées
Modeste ouvrier, Douglas Quaid rêve de s’évader de sa vie frustrante. L’implantation de souvenirs que propose la société Rekall lui paraît l’échappatoire idéale. S’offrir des souvenirs d’agent secret serait parfait… Mais lorsque la procédure d’implantation tourne mal, Quaid se retrouve traqué par la police. Il ne peut plus faire confiance à personne, sauf peut-être à une inconnue qui travaille pour une mystérieuse résistance clandestine. Très vite, la frontière entre l’imagination et la réalité se brouille. Qui est réellement Quaid, et quel est son destin ?
FID 2017 : Le masque de la mort rouge
Réalisateur d'une cinquantaine de long-métrages et producteurs de plus de quatre cents (!), la méthode de travail de Roger Corman consistait à tourner en un temps très restreint des films au budget le plus réduit possible. Par exemple, La petite boutique des horreurs (1960) fut réalisé en un temps record par le producteur lui-même, afin de ne pas gaspiller des jours libres qui restaient encore au contrat de Boris Karloff : en deux jours et demi le tournage était plié. Résultaient de cette méthode des films de série B qui permirent à toute une génération de faire ses armes : on compte ainsi parmi les plus célèbres Francis Ford Coppola, Joe Dante, Peter Bogdanovich, Jack Nicholson ou encore Martin Scorsese. C'est ainsi à un monument vivant du cinéma- il vient de fêter ses 91 ans - à qui le FID rend hommage, en diffusant pendant une semaine une quarantaine de films de Corman, productions et réalisations mélangées. Aujourd'hui, c'est un des ses long-métrages adaptés d'Edgar Allan Poe qui était visible : Le masque de la mort rouge.
Detective Dee : le mystère de la flamme fantôme
Detective Lee : le mystère de la flamme fantôme est un long-métrage du cinéaste hong-kongais Tsui Hark sorti en 2011. Dans ce film, le "Steven Spielberg asiatique" met en scène une période de l'histoire de Chine qui lui est chère, l'ère de la Dynastie Tang, pour son aspect romantique et impalpable. Ce nouveau long-métrage qui mélange les genres pourra-t-il trouver sa place parmi les nombreux succès du réalisateur ?
Critique : Godzilla
Prêt de soixante ans après la première apparition du monstre mythique signé par Ishiro Honda, Godzilla revient pour dépoussiérer la franchise et avec de grosses ambitions au box office. Verdict
Critique : Source Code
Source Code est le deuxième film de Duncan Jones après Moon. Un film de science fiction sur la réalité parallèle et le retour dans le passé, bref un mélange d'Un Jour sans fin et de L'Effet Papillon mené par Jake Gyllenhaal, M. Donnie Darko.
Critique : Doctor Strange
En termes de sophistication, le reflet filmique de l’univers Marvel n’a pas encore dit son dernier mot. Alors que l’on pouvait noter une fâcheuse tendance à l’uniformisation lénifiante lors des aventures de super-héros les plus récentes, celles des Avengers en tête, l’entrée en la matière de Doctor Strange, le plus cérébral des justiciers du futur, fait preuve d’une certaine originalité.