Critique : Mortem
Sans doute affublé d’un budget allégé, Mortem tire autant sa force de la mince mise à disposition de ses moyens que les défauts que ces derniers procurent au film. Bancal et maladroit, sans être dénué de sincérité, le film n’est pas vraiment là où on pouvait l’attendre. On en ressort étrangement déboussolé et un peu perdu face à la lecture d’une telle œuvre.
Critique : Le Hobbit – Un voyage inattendu
Dans Le Hobbit : Un voyage inattendu, Bilbon Sacquet cherche à reprendre le Royaume perdu des Nains d'Erebor, conquis par le redoutable dragon Smaug.
Critique : Men In Black 3
En quinze ans de carrière chez les Men in Black, l’agent J a vu beaucoup de phénomènes inexplicables… Mais rien, pas même le plus étrange des aliens, ne le laisse aussi perplexe que son partenaire, le sarcastique K.
Critique : Transformers 3 – La face cachée de la Lune
Le roi du Blockbuster sur-vitaminé, champion toute catégorie de la destruction massive et du plan épileptique est de retour ! Mesdames et messieurs : Michael Bay ! Période estivale oblige, les blockbusters vont pulluler durant tout l’été dans nos salles...
La Roche-sur-Yon 2016 : Swiss Army Man
L’humour vulgaire, très sollicité par les comédies américaines depuis une vingtaine d’années, n’a probablement jamais produit un film plus original et décapant que Swiss Army Man ! On y pète et on y bande sans arrêt, mais ces manifestations des fonctions du corps humain considérées comme honteuses s’inscrivent avec un naturel désarmant dans le cadre d’une histoire étonnamment poétique.
Critique : La Maison des Ombres – Festival de Gérardmer 2012
Le cinéma de maison hantée est un genre bien trop balisé pour séduire vraiment, à de rares exceptions prêts comme les films de Robert Wise (La Maison du diable) ou Stuart Rosenberg (Amityville, la maison du diable). Ce premier long-métrage de l'anglais Nick Murphy est hélas une réelle déception au fond terriblement prévisible...
Critique : Le Roi Arthur La Légende d’Excalibur
Quand l'heure des bilans viendra, que retiendra-t-on du cinéma de Guy Ritchie ? Qu'il n'y ait pas de malentendu macabre, nous souhaitons encore de longues années prospères au réalisateur, qui n'a même pas cinquante ans. Néanmoins, il paraît de moins en moins probable qu'un élan de renouvellement s'empare d'une filmographie après tout plutôt cohérente dans ses choix stylistiques.
Critique : Max et les Maximonstres
Max et les Maximonstres est l'adaptation d'un célèbre album illustré de Maurice Sendak. Le film est sorti en 2009, réalisé par le talentueux Spike Jonze. Il s'agit d'un conte qui, contrairement à ce que l'on pense, n'est pas pour les enfants, mais basé sur l'enfance et visant un public adulte. Alors le film a t-il réussi à retranscrire la magie de l'album ?
Critique : The Amazing Spider-Man – Le destin d’un Héros
Pour ne pas perdre les droits des aventures de Spider-Man, Sony avait du rapidement produire The Amazing Spider-Man ; le deuxième volet de ce reboot aux motivations douteuses va-t-elle relancer efficacement cette franchise ?
Critique : Percy Jackson – La mer des monstres
Percy Jackson ne sent pas vraiment l’âme d’un héros. Même s’il a déjà sauvé le monde, ce demi-dieu se demande si ce n’était pas tout simplement un coup de bol extraordinaire. Lorsqu’il découvre que son demi-frère est un monstre, il commence même à penser qu’être le fils de Poséidon est peut-être une malédiction. Mais il ne va pas avoir le temps de méditer sur le sujet car la barrière de protection divine qui protège le Camp des Sang-Mêlé est attaqué par une horde de monstres mythologiques, menaçant de détruire le sanctuaire des demi-dieux. Pour sauver leur seul refuge, Percy et sa bande doivent se lancer à la recherche de la légendaire Toison d’Or.
Critique : Inception
Inception est le film le plus attendu de l’été 2010. Il s'agit d'une grosse machine surfant sur le succès de Christopher Nolan, nouvelle coqueluche d’Hollywood, qui endosse le rôle de réalisateur, producteur et scénariste.
Critique : A Ghost Story
Le cinéaste retrouve le duo Rooney Mara – Casey Affleck après Les Amants du Texas, pour une sorte de rêverie atmosphérique et quasiment dénuée de dialogues, se servant d’un argument poétique pour servir un propos sur la mort, le temps qui passe, et tout un tas de considérations philosophiques pouvant parler à tout un chacun. Mais est-ce que cela est suffisant pour faire un grand film ? Réponse dans les lignes qui suivent.