Critique : Le Dernier chasseur de sorcières
Le visage de Vin Diesel ne semble réellement à sa place que dans des films dont l’action se déroule dans le présent ou le futur. Le voir apparaître barbu lors du prologue médiéval de ce film-ci nous laisse en effet craindre le pire, tant l’acteur, habitué aux rôles de guerriers fantastiques ou de conducteurs endiablés, y dénote.
The Door – La porte du passé
The Door : La porte du passé, plus connu sous son nom original Die Tür, est un film fantastique allemand réalisé par Anno Saul en 2009. Le danois Mads Mikkelsen (Casino Royale, Le Choc des Titans) y tient le rôle principal. The Door a remporté le Grand Prix 2010 du festival de Gérardmer.
Arras 2019 : L’Esprit de famille (Eric Besnard)
On ne choisit pas sa famille. On fait tout simplement avec. Et si par hasard le destin redistribue les cartes, mieux vaut saisir l'opportunité, afin de remettre les choses à plat et repartir sur de nouvelles bases.
Cannes 2019 : The lighthouse (Quinzaine)
Alors que l’on déplorait l’autre jour l’utilisation excessive des jumpscares dans Wounds de Babak Anvari, son compatriote américain, lui, fait tout le contraire et semble déjà avoir une patte dans le genre du cinéma d’horreur. Robert Eggers instaure, dans The Lighthouse, une ambiance infiniment pesante qui ne passe jamais par des plans dans lesquels des figures terrifiantes vous sautent brusquement au visage. On se sent à l’étroit pendant les 110 minutes qui composent le film et devant cette image carrée, le réalisateur ayant choisi un format assez particulier pour son nouveau film. Le sublime noir et blanc choisi par le cinéaste de 35 ans joue sur les perspectives et participe à la perte de notion d’espace-temps que nous procure le film. Le son, lui aussi très travaillé, exacerbe nos peurs. Ces dernières sont d’ailleurs primitives : peur de l’autre, peur du noir, peur de l’isolement, peur de l’oiseau, superstition etc. Robert Eggers les met parfaitement en scène et dresse, à partir d’une intrigue extrêmement simple, un somptueux et effroyable tableau
Critique Express : Brujería – Sorcellerie
"Brujería - Sorcellerie" flirte souvent avec le fantastique, mais c'est avant tout un drame se déroulant en 1880, un drame qu'a vécu Rosa, une adolescente de 13 ans et qui va l'amener à reconsidérer son existence.
Livide
La vague française de films d’horreur a probablement fait échoué sur votre rivage les deux compères Alexandre Bustillo et Julien Maury, réalisateurs du slasher radical « À l’intérieur ». Fidèles au cinéma de genre, ils nous invitent avec Livide à pousser la porte d’un manoir lugubre au beau milieu des landes bretonnes.
Wolfman
Wolfman est un film fantastique réalisé par Joe Johnston sorti en 2010. Il s'agit d'une énième histoire de loup-garou, un thème très prisé au cinéma qui a donné lieu à de bons et de très mauvais films. Notons l'un des plus marquants, Wolf, avec Jack Nicholson (1994). Cette fois-ci, c'est Benicio Del Toro et Anthony Hopkins qui tiennent les rôles principaux.
Le Voyage dans la Lune : Premier film de science fiction de l’histoire du...
Saviez-vous, le premier film de science-fiction fut un film français. Réalisé en 1902 par Georges Méliès, il utilise déjà des effets spéciaux et des techniques d'animation ingénieux pour...
The Day
Présenté hors compétition au festival de Gérardmer 2012, The Day est un film post-apocalyptique. Un genre ultra-représenté ces dernières années et dont il est difficile de se démarquer. Après Le Livre d'Eli, La Route, et plus récemment l'agréable Stake Land; The Day saura t-il intéresser un public lassé de toujours voir la même chose ?
The Prodigies
Lorsque les français décident de concurrencer les films d'animation made in USA, ça donne The Prodigies. Il s'agit de l'adaptation d'un roman passionnant : La Nuit des enfants rois de Bernard Lenteric. Un film fantastique tourné en motion capture qui a franchement de la gueule d'après la bande-annonce. Mais le rendu final sera-t-il à la hauteur de nos espérances ?
X-Men
Quand le réalisateur d’Usual Suspects s’attaque aux super-héros, cela donne le premier film d’une longue franchise, précurseur d’un phénomène à suivre…
Critique : Coraline
Coraline est l'adaptation cinématographique du conte noir de l'écrivain anglais Neil Gaiman publié en 2002. Par son côté surréaliste, le cinéma d'Henry Selick rappelle celui de Tim Burton dont les univers sont finalement assez similaires, mais aussi le conte de Lewis Caroll, Alice au Pays des Merveilles par la présence de réalité-alternative. Univers merveilleux ou angoissant, l'histoire de cette petite fille nous plonge dans un monde entre rêves et cauchemars...