Critique : Bonheur académie
Libre à chacun de choisir l'activité de relaxation estivale qu'il préfère. Pendant que certains partent bronzer sous le soleil des canicules tropiques ou visitent les monuments de pays lointains dans un flux de tourisme de masse qui n'est pas prêt à tarir, d'autres choisissent les mois de la saison chaude pour se ressourcer intérieurement et se libérer des contraintes du quotidien. Un camp de séminaire particulièrement bizarre se trouve en Croatie, où les adeptes du culte des Raéliens se réconfortent mutuellement au cours de stages hebdomadaires, censés renforcer leur plénitude prêchée par les dogmes de cette pseudo-religion inspirée par des extra-terrestres.
Critique : Kids return
Takeshi Kitano est de retour ! A cette annonce, susceptible de déclencher des effusions de joie chez les admirateurs du maître japonais, il faudrait cependant joindre un bémol quelque peu doux-amer. Car si le public français a le privilège au début du mois d'août de voir trois films signés Kitano sur grand écran, il convient de préciser qu'il s'agit de la ressortie en copies restaurées d'œuvres issues de sa période faste, pendant la deuxième moitié des années 1990.
Critique : Ce qui nous lie (deuxième avis)
Malgré l'excellente prestation des interprètes de "Ce qui nous lie", on ressort de la projection avec l'impression mi-figue, mi-...raisin d'un film qu'on aurait souhaité aimer davantage.
Critique : Le jour d’après
Un film qui, sans atteindre des sommets, a le mérite d'être un peu plus intéressant, plus riche, plus profond que ce que Hong Sang-soo nous propose depuis des années.
Critique : Nos patriotes
Le peuple français ou au moins les institutions qui le représentent aiment bien se souvenir avec une nostalgie valorisante des combattants de la Résistance. En témoignent à la fois les plaques commémoratives que l'on trouve par exemple dans bon nombre des rues parisiennes et la Journée nationale qui leur est consacrée depuis trois ans seulement et qui vient d'avoir lieu fin mai. Du côté du cinéma, cette ferveur patriotique s'est montrée sensiblement plus discrète.
Cannes 2017 : You were never really here
Lynne Ramsay est la cinéaste derrière le remarqué We need to talk about Kevin, et on peut dire que son dernier film a fait sensation lors de sa présentation à la presse. Tout comme Wonderstruck (Le musée des merveilles), il est produit par Amazon Studios, qui contrairement à Netflix n'est pas opposé à une sortie en salles.
Cannes 2017 : Une Femme Douce
Le cinéaste Sergey Loznitsa (My Joy, Dans la brume) débarque sur la croisette pour présenter Une Femme Douce, le portrait terrifiant d’une Russie où l’horreur s’est infiltrée dans les moindres facettes de la vie quotidienne.
Cannes 2017 : In The Fade
In The Fade
Allemagne, France - 2017
Titre original : Aus dem Nichts
Réalisateur : Fatih Akın
Scénario : Fatih Akın
Acteurs : Diane Kruger, Numan Acar, Denis Moschitto
Distribution : Pathé Distribution
Durée...
Cannes 2017 : Les proies
L'avant dernier film de Sofia Coppola (si on excepte la production Netflix A very Murray christmas, moyen-métrage de Noël sorti en 2015), The bling ring, était sélectionné à Un certain regard en 2013. Avec Les proies, c'est la deuxième fois que la cinéaste concourt pour la Palme. Un long métrage au casting qu'on a déjà croisé cette année en sélection officielle : Elle Fanning et Colin Farell étaient respectivement présents dans How to talk to girls at party et Mise à mort du cerf sacré ; Nicole Kidman était elle présente dans ces deux films ! Que vaut donc ce remake du film de Don Siegel de 1971 ?
Cannes 2017 : Rodin
Le cinéaste Jacques Doillon présente en compétition au Festival de Cannes 2017 le film Rodin qui traite d'une partie de la vie du sculpteur Auguste Rodin, incarné à l'écran par Vincent Lindon.
Cannes 2017 : Vers la lumière
Naomi Kawase revient sur la croisette pour présenter Vers la lumière, une nouvelle romance entre deux être marginaux comme la réalisatrice à le secret. En sortant de la projection, un sentiment prédomine, et si Naomi Kawase remportait (enfin) la Palme d’or avec Vers la lumière ?
Cannes 2017 : Le jour d’après
C'est le troisième film du cinéaste coréen présenté en festival depuis le début de l'année. On the beach the night alone était ainsi présent au Festival de Berlin en janvier dernier, et La caméra de Claire en hors compétition dimanche, à Cannes. De plus est sorti en février un autre film de Hong Yourself and yours ! Que vaut donc le "dernier" (?) Hong so