Critique : K contraire
Mi-ange, mi-démon, le jeune acteur Sandor Funtek est la raison principale d'aller voir ce premier long-métrage. Il suffit en fait de la première séquence de K contraire, au cours de laquelle il récite un texte dans le cadre d'un atelier avant de se chamailler avec ses codétenus, pour nous laisser apercevoir tout le potentiel du comédien.
Critique : Tu mourras à 20 ans
Très réussi au niveau du fond, "Tu mourras à 20 ans" l'est également au niveau de la forme. En effet, ce film est, du début à la fin, un véritable enchantement visuel.
Critique : Le Mouton enragé
En allant droit au but, c'est ainsi que Michel Deville a conçu Le Mouton enragé, son conte moral investi à la fois d'une immense efficacité narrative et d'un constat guère édifiant sur l'état d'esprit de rigueur en France dans les années 1970.
Critique : Revenir
Après "Petit paysan" et "Au nom de la terre", voici un 3ème film de fiction français qui nous parle des problèmes du monde paysan. Même s'il s'agit là d'un sujet parmi d'autres, c'est, des trois, celui qui en parle le mieux.
Critique : Adoration
"Adoration" narre de façon convaincante une histoire d'amour très particulière entre deux adolescents tout en montrant que la frontière entre ce qu'on appelle folie et normalité est souvent très ténue.
Critique : Swallow
Il est important de savoir que "Swallow" n'est ni un film d'horreur ni un film fantastique mais bien un drame très réaliste et très touchant, au féminisme assumé,, réalisé par un jeune cinéaste new-yorkais très prometteur.
Critique : Le miracle du saint inconnu
Avec ce film à la fois cocasse et grave, empreint d'un humour d'une grande finesse, Alaa Eddine Aljem vient tout simplement se placer, dès son premier long métrage, aux côtés de Aki Kaurismäki et de Elia Suleiman
Critique : L’Incinérateur de cadavres
Le cinéma tchèque des années 1960 ne se laisse guère résumer aux premiers films de Milos Forman, par ailleurs ressortis en même temps en France que L'Incinérateur de cadavres. Celui-ci mérite en effet amplement sa réputation d'objet filmique inclassable.
Critique : Nina Wu
Très réaliste dans "Adieu Mandelei", Midi Z a complètement complètement changé son fusil d'épaule dans sa réalisation de "Nina Wu". Un peu comme si les frères Dardenne se mettaient à réaliser un film qu'on pourrait comparer à des œuvres de David Lynch !
Critique : Cendres et diamant
Si seulement chaque pays pouvait disposer d'un chroniqueur officieux animé par la même maestria cinématographique que Andrzej Wajda ! En dépit de son destin historique pour le moins mouvementé, la Pologne peut en effet s'estimer heureuse d'avoir eu un réalisateur d'un tel talent à son service, de surcroît quasiment exclusif puisque, contrairement à la plupart de ses contemporains, Wajda n'a jamais ou presque goûté à l'exil créatif.
Critique : La vie invisible d’Eurídice Gusmão
Un film plein d'intérêt dans la mesure où il montre, dans un pays, le Brésil, le début du combat des femmes pour sortir de la condition dans laquelle elles étaient enfermées, pour sortir de leur invisibilité.
Critique : Lillian
Mi fiction, mi documentaire, "Lillian" réussit à intéresser le spectateur sur les deux tableaux