L’attentat
Tel Aviv. Une bombe explose en plein coeur d’un restaurant où des enfants déjeunaient. L’attentat tue de nombreuses personnes et tous les blessés sont rapatriés vers l'hôpital le plus proche. Le docteur Amine Jaafari, médecin israélien d’origine arabe, opère immédiatement les victimes. Rapidement, on lui annonce que la kamikaze est sa femme, Siham. Amine refuse de les croire et se lance dans une quête de la vérité, qui le conduira vite sur les routes de Palestine.
Critique Express : Entre les vagues
Une vieille légende bien machiste raconte que les femmes sont moins encline à se soutenir les unes les autres que les hommes, qu'elles sont plus facilement jalouses, etc.. C'est exactement le contraire que nous montre Anaïs Volpé dans "Entre les vagues" avec Margot et Alma, deux jeunes femmes de 27 ans qui se serrent les coudes, qui se réjouissent des succès de l'autre quand bien même ce succès s'est bâti au détriment de son propre succès, qui prennent soin de l'autre dans les moments difficiles.
Critique : A peine j’ouvre les yeux
On se sent gêné de ne pas pleinement adhérer au premier long métrage d'une jeune réalisatrice tunisienne, d'autant plus que le sujet choisi était plein d'intérêt. On aurait souhaité se passionner davantage pour le sort de Farah, on aurait aimé se révolter à ses côtés, on aurait dû être ému, mais la maladresse de la réalisation, combinée à celle du scénario, rend vite le spectateur presque indifférent à ce qui se passe sur l’écran.
Cannes 2014 : Timbuktu
Pour sa première participation à la compétition cannoise, Abderrahmane Sissako était très attendu. Le résultat est à la hauteur de la longue attente de son premier long-métrage depuis Bamako en 2006.
Critique : L’Apollonide – souvenirs de la maison close
Dans le cadre de la troisième édition du festival du cinéma d’Arte, L’Apollonide - souvenirs d’une maison close de Bertrand Bonello a été projeté au Luminor Hôtel de Ville le dimanche 25 novembre. Une belle occasion, quelques mois après Saint Laurent (lien vers la critique), de (re)voir le cinquième long-métrage d’un réalisateur qui, manifestement, s’impose dans le cinéma français. Après la projection, Bonello a pris le micro dans la salle pour un débat avec les spectateurs.
Amador
Dans la lignée des films indé "connaissance du monde" voici Amador, nouvelle réalisation de Fernando León de Aranoa (Les lundis au soleil). Le film, prix du jury au festival de Valenciennes 2011, est une chronique sociale narrant un segment de vie d'une jeune péruvienne expatriée. Le film est distribué de justesse en France par Sophie Dulac, directrice des "Écrans de Paris", un groupe de salles indépendantes de la capitale. Attendez-vous tout de même à une exposition limitée.
The Dark Knight Rises
Il y a huit ans, Batman a disparu dans la nuit : lui qui était un héros est alors devenu un fugitif. S'accusant de la mort du procureur-adjoint Harvey Dent, le Chevalier Noir a tout sacrifié au nom de ce que le commissaire Gordon et lui-même considéraient être une noble cause. Et leurs actions conjointes se sont avérées efficaces pour un temps puisque la criminalité a été éradiquée à Gotham City grâce à l'arsenal de lois répressif initié par Dent.
Critique : A normal family
Jin-Ho Hur n'est pas le plus connu parmi les réalisateurs coréens. Habituellement intéressé par ce qu'on a coutume d'appeler les bons sentiments, l'amitié, l'amour ou la fraternité, il fait ici ses premiers pas dans un registre beaucoup plus noir et c'est une belle réussite cinématographique.
Grigris
Alors que sa jambe paralysée devrait l'exclure de tout, Grigris, 25 ans, se rêve en danseur. Un défi. Mais son rêve se brise lorsque son oncle tombe gravement malade. Pour le sauver, il décide de travailler pour des trafiquants d'essence…
Critique Express : Rivière
"Rivière", malheureusement, n'arrive que très rarement à être au niveau qu'on pouvait attendre du sujet qu'il traite, les difficultés rencontrées par les adolescents d'aujourd'hui pour trouver leur place.
Critique : Le Fondateur
Le Fondateur
Etats-Unis, 2016
Titre original : The Founder
Réalisateur : John Lee Hancock
Scénario : Robert D. Siegel
Acteurs : Michael Keaton, Laura Dern, Nick Offerman, John Carroll...
Critique : Le cœur en braille
"Le cœur en braille" donne une peinture très attachante du sentiment amoureux chez les pré-adolescents ainsi qu'une description très émouvante de l'état de désarroi dans lequel se trouve un homme qui n'arrive pas à se consoler de la perte de son épouse.