Critique : Amour (Karoly Makk)
Tout comme le film au titre éponyme de Michael Haneke, Amour de Karoly Makk a été primé au festival de Cannes, recevant un prix du jury présidé par la regrettée Michèle Morgan, disparue à la veille de cette reprise. Les deux films mettent ont en commun de mettre en scène une femme au bord de la mort, mais le parallèle s'arrête là...
Critique Express : Deux procureurs
Quand bien même l'action de "Deux procureurs" se déroule en 1937, il parait évident que Sergueï Loznitsa a choisi de nous parler de la Russie des années 2020 : le dictateur n'est plus le même mais la volonté d'imposer sa détermination politique par la violence est identique.
Critique : Hijo de sicario
Est il possible de s'opposer à la fatalité ? Est-il possible de changer de vie ?
Critique : Joel, une enfance en Patagonie
Un film dans lequel Carlos Sorin montre avec beaucoup de subtilité la réaction d'une communauté de taille réduite face à l'arrivée d'un élément qui vient troubler leur tranquillité et la différence de comportement qu'un homme et une femme peuvent avoir au sein d'un couple.
Critique : Krisha
Présenté dans le cadre de la Semaine de la Critique lors du Festival de Cannes 2015, cet étrange essai filmique signé Trey Edward Shults vient d'être récompensé lors du Festival de Deauville par le jury de la Critique (voir le palmarès complet ici).
La Piel que Habito
La Piel que Habito est un drame réalisé par Pedro Almodovar en 2011. Attention petite révolution dans le monde d'Almodovar : en effet fini les mélodrames, marque de fabrique du réalisateur espagnol (à tel point que dans son pays on appelle ses films des Almodrama). La Piel que Habito est un faux drame qui ressemble bien plus à un thriller, et le moins que l'on puisse dire c'est qu'on n'est pas au bout de nos surprises.
Critique : Nahid
Après plus de trente ans d’isolement mi-choisi, mi-imposé, l’Iran s’ouvre progressivement au reste du monde. Tandis que les volets économiques et politiques de ce dégel nous paraissent trop complexes pour les évoquer au détour d’une phrase, son aspect cinématographique mérite qu’on s’y attarde un peu.
Cannes 2014 : Foxcatcher
C’est une grande première pour le réalisateur américain Benett Miller de se retrouver en compétition au Festival de Cannes. Le réalisateur est pourtant un habitué des récompenses avec notamment ses deux biopics Le Stratège et Truman Capote.
Critique : Saint Laurent (beaucoup pour)
Quelques mois à peine après l'autre biographie du célèbre couturier signée Jalil Lespert avec Pierre Niney dans le rôle-titre et Guillaume Gallienne dans celui de son mécène et compagnon Pierre Bergé, Bertrand Bonello signe une biographie non officielle en attribuant les mêmes rôles à Gaspard Ulliel et Jérémie Rénier.
Dubaï Flamingo
Dubaï Flamingo
France, Portugal : 2011
Titre original : Dubaï Flamingo
Réalisateur : Delphine Kreuter
Scénario : Delphine Kreuter
Acteurs : Vanessa Paradis, Sergi López, Florence Thomassin
Distribution : Alfama...
Critique : Jours de France
Malgré ses défauts, il parait évident que "Jours de France" n'est pas un film qui s'oublie rapidement et facilement.
Critique : Tomboy
Après le magnifique Naissance des pieuvres présenté dans la catégorie Un Certain Regard du Festival de Cannes en 2007, Céline Sciamma revient au cinéma avec Tomboy (qui signifie garçon manqué en anglais). La réalisatrice y creuse le sujet du trouble identitaire de l'enfance. Le long-métrage a été diffusé à la dernière Berlinale (décidément cette réalisatrice est une bête de festivals). Il a été tourné en seulement 20 jours avec une petite équipe et une caméra Canon 5D.



















