Arsenic et vieilles dentelles image du film

Arsenic et Vieilles Dentelles

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Deux exquises vieilles dames font disparaître de vieux messieurs. Mortimer, leur neveu découvre l'affaire. Mais, l'affaire se corse pour lui quand il découvre que ses cousins, l'un gentil, l'autre méchant, sont également mêlés à l'histoire et que les cadavres s'amoncellent dans la cave.

Critique : Eyjafjallajökull (le volcan)

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Alain et Valérie sont divorcés depuis de nombreuses années mais continuent de se détester. Aussi, lorsqu’ils se croisent par hasard dans l’avion qui les mène en Grèce pour le mariage de leur fille, ils pensent que leur plus grosse angoisse ne durera que le temps du voyage. Malheureusement pour eux, les fumées du volcan islandais oblige leur avion à atterrir. Ils sont alors forcés de prendre la route en voiture et ensemble...

Critique : Jubilée (Derek Jarman)

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Ce mercredi 21 juin sort dans un coffret DVD ainsi qu’en salle, un hommage à Derek Jarman. Cinéaste anglais, figure punk, anarchiste et militant LGBT, il aura entre autres révélé Tilda Swinton aux yeux de tous. Ce sont quatre de ses films que vous pouvez (re)découvrir : Last of England, Sebastiane, La tempête, et enfin Jubilée, son deuxième film.

Critique : J’aurais pu être une pute (court-métrage)

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À l'occasion de la sortie de son premier long-métrage en tant que réalisatrice (Je suis à vous tout de suite), retour sur le court-métrage que Baya Kasmi a réalisé en 2010 avec déjà Vimala Pons, au talent comique et sensuel unique.
La Clinique de l'amour photo du film

La Clinique de l’amour

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"La clinique de l’amour !" c’est "Urgences" traité à la manière de "Y-a-t-il un pilote dans l’avion ?" et "Un poisson nommé Wanda". Des histoires d’amour (torrides), d’argent, de trahisons (odieuses), dans une clinique au bord de la ruine, où s’affrontent John et Michael (chirurgiens), sournoisement manipulés par Samantha, une garce aussi cupide que fatale sous les yeux (magnifiques) d'une ravissante infirmière, du doux nom de “Priscilla”. Une comédie pour tous, de 12 à 122 ans !

Critique : Il était temps

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Le jeune Tim Lake découvre, grâce à son père, qu’il a la faculté de voyager dans le temps. Fort de cette nouvelle après une soirée du nouvel an désastreuse, il revient en arrière, juste avant que les choses ne dégénèrent. À partir de cet instant, il décide de consacrer ce don au service de l’amour, afin de trouver l’élue de son coeur. Finalement, les choses s'avéreront plus compliquées que prévues, bien que l’amour ne soit jamais très loin...

Critique : Blue Jasmine

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Alors qu’elle voit sa vie voler en éclat et son mariage avec Hal, un homme d’affaire fortuné, battre sérieusement de l’aile, Jasmine quitte son New York raffiné et mondain pour San Francisco et s’installe dans le modeste appartement de sa soeur Ginger afin de remettre de l’ordre dans sa vie.

Critique : La femme de mon frère

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"La femme de mon frère" fait partie de ces comédies qui, sur le moment, font passer un moment plutôt agréable mais qui ne restent pas vraiment imprimées dans le long terme dans le cortex cérébral.

Critique : Henri

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Henri, la cinquantaine, d’origine italienne, tient avec sa femme Rita un petit restaurant près de Charleroi, "La Cantina". Une fois les clients partis, Henri retrouve ses copains, Bibi et René, des piliers de comptoirs ; ensemble ils tuent le temps devant quelques bières en partageant leur passion commune, les pigeons voyageurs. Rita meurt subitement, laissant Henri désemparé. Leur fille Laetitia propose alors à Henri de se faire aider au restaurant par un "papillon blanc", comme on appelle les résidents d’un foyer d’handicapés mentaux proche de "La Cantina". Rosette est de ceux-là. Elle est joyeuse, bienveillante et ne voit pas le mal. Son handicap est léger, elle est simplement un peu "décalée". Elle rêve d’amour, de sexualité et de normalité. Avec l’arrivée de Rosette, une nouvelle vie s’organise.

Critique : Cigarettes et chocolat chaud

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"Cigarettes et chocolat chaud" tombe malheureusement trop souvent dans des clichés dignes de téléfilms très ordinaires, alors qu'il aurait pu, qu'il aurait dû être tout du long un bon film de cinéma, tendre, drôle et émouvant.

Critique : Mariage à l’anglaise

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Depuis qu’ils se sont rencontrés dans une soirée, Nat, jeune femme ambitieuse, et Josh, apprenti romancier, nagent dans le bonheur, malgré leurs différences. Car si Josh est plutôt du genre intellectuel, Nat est une fonceuse. Ce qui ne les a pas empêchés d’être réunis par un coup de foudre réciproque. Leur mariage est idyllique, même si personne – de leurs proches à leurs amis, jusqu’au pasteur qui officie – ne croit qu’il pourra durer… Surtout quand l’ex-petite amie de Josh, Chloé, et le charmant client américain de Nat, Guy, s’en mêlent… Alors que Josh et Nat s’apprêtent à fêter leur un an de mariage, aucun des deux ne veut être le premier à jeter l’éponge. Leur couple pourra-t-il résister aux pressions de toutes parts ?

Sortie DVD : Mine de rien

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On ne peut que se féliciter lorsque apparait sur nos écrans un premier long métrage tel que Mine de rien, réussi, réalisé par un comédien de 54 ans et qu'on placera dans la catégorie comédie même si on y rencontre l'émotion bien plus que le rire.

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I Love Peru est un docufiction burlesque dans lequel Raphaël Quenard joue son propre rôle avec une sacrée dose d’auto-dérision. Co-réalisé avec Hugo David, le film s’impose comme un curieux objet filmique, à mi-chemin entre l’autoportrait déglingué, le trip mystique et le journal intime d’un acteur en pleine crise d’ego...

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A en croire les bruits de couloir pendant le Festival de Sarlat, le thème récurrent de cette 34ème édition était la recherche d’un nouveau foyer de la part d’enfants délaissés. Apparemment, Love Me Tender de Anna Cazenave Cambet et On vous croit de Charlotte Devillers et Arnaud Dufeys en traitaient, ainsi que – sans trop vouloir élargir l’échantillon d’œuvres concernées – Promis le ciel de Erige Sehiri.

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Sinners, c’est un peu comme si le cinéma américain avait décidé de se souvenir qu’il avait une âme. Pas une âme propre, bien sûr — ce serait trop simple — mais une âme cabossée, pleine de blues, de sang, de jumeaux hantés et de plans-séquences qui feraient passer Alfonso Cuarón pour un stagiaire en école de cinéma.