Test Blu-ray : Nausicaä de la vallée du vent

Attention, chef d’œuvre absolu ! Voilà aujourd’hui trente-sept ans que Nausicaä de la vallée du vent a vu le jour sur les écrans japonais, et plus que jamais, le deuxième long-métrage d’Hayao Miyazaki reste une date dans l’Histoire du genre.

Test Blu-ray : Le Salaire de la violence

C’est à Sidonis Calysta que nous devons le plaisir de redécouvrir Le Salaire de la violence sur support Blu-ray. Le master encodé en 1080p n’est certes pas irréprochable, mais le piqué, les couleurs et les contrastes s’en voient très nettement améliorés...

Test Blu-ray : Roar

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Véritable OVNI dans le cinéma américain des années 80, Roar est un film aussi étrange qu’authentiquement fascinant. Partant du pari complètement fou de tourner un long-métrage mettant en scène les interactions entre une petite famille et plusieurs dizaines de fauves et animaux sauvages (on imagine bien les producteurs et sociétés d’assurance s’arracher les cheveux à l’annonce du projet), le film s’imposera au final comme un remarquable mélange entre fiction et documentaire tirant sa force des incroyables images de lions, tigres, panthères, éléphants et autres animaux sauvages qu’il donne à voir, sur une très belle photo naturaliste signée Jan De Bont.

Test Blu-ray : Doctor Sleep

Au sein de la profusion insensée de critiques de Doctor Sleep ayant déferlé sur le Net ces derniers mois, on notera une petite tendance à affirmer que le film de Mike Flanagan aurait littéralement « transcendé » un mauvais roman de Stephen King afin d'en faire un grand film d'horreur.

Test Blu-ray : I see you

Réflexion habile sur la notion de regard, fonctionnant selon un montage malin à la Rashomon et développant en parallèle autant d'intrigues que d'idées étonnantes, I see you est un vrai petit trésor de film fantastique. Faux film fantastique ? Vrai fantastique film ? N'en révélons pas trop, ni sur le genre exact du métrage, ni sur l'endroit où ses auteurs veulent nous emmener.

Test Blu-ray : Madhouse

S’il faut retenir une chose de Madhouse, cela sera bien sûr la confrontation à l’écran de deux géants du fantastique : Peter Cushing et Vincent Price. Ce duel au sommet a forcément aujourd’hui de quoi réveiller l’intérêt de tout amateur d’épouvante gothique...

Test Blu-ray : L’Ambulance

Sorti sur les écrans français en 1991, L’Ambulance fait partie de ces quelques rares bandes de série B des années 90 sur lesquelles le temps ne semble avoir aucune emprise. D’une générosité sans bornes, le film est un thriller en mode « comic book ».

Test Blu-ray : La cérémonie

Le point de départ de La cérémonie est un fait divers scabreux ayant pris place dans les années 30 : il s'agit de la tristement célèbre célèbre affaire Papin, qui vit deux domestiques assassiner leurs patronnes.

Test Blu-ray : Jupiter – Le destin de l’Univers

Si l'on n'atteint certes pas cette fois le niveau d'excellence du chef d'œuvre Cloud Atlas, cette nouvelle incursion des Wachowski dans la pure science-fiction divisera à nouveau et à coup sûr les cinéphiles, laissant comme chacun de leurs nouveaux films pas mal de spectateurs sur le carreau.

Test Blu-ray : La nuit déchirée

En un peu moins d'une heure et demie, La nuit déchirée multiplie les qualités qui enthousiasmèrent au-delà de toute mesure les 332.000 ados français l'ayant découvert dans les salles durant l'été 1992.

Test Blu-ray : Le train sifflera trois fois

Si sa nature de chef d’œuvre a pu être contestée à l’époque de sa sortie par une critique profondément teintée d’idéologie et de « politique des auteurs », le temps a largement contribué à rendre ses lettres de noblesse au film de Fred Zinneman. Aujourd’hui quasi-unanimement considéré comme un grand film, profond et nuancé, Le train sifflera trois fois réussit le tour de force de proposer un sous-texte ouvertement politique (le parallèle avec le Maccarthysme), sans pour autant que ce deuxième niveau de lecture s’avère – comme trop souvent malheureusement – essentiel afin d’apprécier l’œuvre à sa juste valeur. Il semble en effet que l’on puisse passer tout à fait à côté de l’aspect « chasse aux sorcières » du récit et juste apprécier le film pour ce qu’il est : l’histoire tendue – l’utilisation du « temps réel » y est assurément pour quelque-chose – d’un homme las se décidant à affronter son destin, arrivant sous la forme d’un groupe de truands par le train de midi. Cherchant en vain à recruter un groupe d’hommes afin de l’épauler, le personnage de Kane campé par Gary Cooper permettra au film de dresser une belle parabole sur le comportement humain, et plus précisément sur le courage d’un seul s’opposant à l’immonde lâcheté de tous les autres.

Test Blu-ray : Bio Zombie

En bon film de zombies qui se respecte, Bio-Zombie entretient volontairement des liens avec le cinéma de George A. Romero, et en particulier avec le chef d’œuvre Zombie.

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Test Blu-ray : The Last of Us – Saison 2

The Last of Us – Saison 2 ne fait pas dans la dentelle narrative. Après une première saison saluée comme le messie sériel post-apocalyptique, cette suite prend un virage à 180° dès le deuxième épisode...

Test Blu-ray : I Love Peru

I Love Peru est un docufiction burlesque dans lequel Raphaël Quenard joue son propre rôle avec une sacrée dose d’auto-dérision. Co-réalisé avec Hugo David, le film s’impose comme un curieux objet filmique, à mi-chemin entre l’autoportrait déglingué, le trip mystique et le journal intime d’un acteur en pleine crise d’ego...

Sarlat 2025 : Les Enfants vont bien

A en croire les bruits de couloir pendant le Festival de Sarlat, le thème récurrent de cette 34ème édition était la recherche d’un nouveau foyer de la part d’enfants délaissés. Apparemment, Love Me Tender de Anna Cazenave Cambet et On vous croit de Charlotte Devillers et Arnaud Dufeys en traitaient, ainsi que – sans trop vouloir élargir l’échantillon d’œuvres concernées – Promis le ciel de Erige Sehiri.

Test Blu-ray : Sinners

Sinners, c’est un peu comme si le cinéma américain avait décidé de se souvenir qu’il avait une âme. Pas une âme propre, bien sûr — ce serait trop simple — mais une âme cabossée, pleine de blues, de sang, de jumeaux hantés et de plans-séquences qui feraient passer Alfonso Cuarón pour un stagiaire en école de cinéma.

Sarlat 2025 : Animal totem

Comme le disait l’éminent Fritz Lang, le format d’écran large est fait pour les serpents et les enterrements. Dans Animal totem, il aurait pu y avoir légitimement les premiers et, on le craint, il y a au moins métaphoriquement le deuxième. Car en optant pour un format extrêmement large, du 3:55 pour les puristes, le réalisateur Benoît Delépine bouscule nos habitudes de visionnage.