Test Blu-ray : Hard day
Présenté à Cannes en 2014, Hard day fait partie de ces films surprenants, n'ayant de cesse de bousculer le spectateur, dans le bon sens du terme. Suivant, sur un rythme vraiment échevelé, les démêlés d'un enquêteur ripou avec la police des polices alors qu'il essaie de maquiller un accident de la route qui pourrait lui couter sa place
Test DVD : Instalife
S'il s'avère plus intéressant qu'une bonne partie des comédies américaines qui sortent dans les salles françaises à longueur d'année, et s'il marque sans le plus petit doute possible la naissance d'un réel « auteur » de cinéma en la personne de Matt Spicer, Instalife fait néanmoins de cette race -relativement récente- de films américains qui embarrassent fortement les producteurs et distributeurs à travers le monde. Mais si le film n'a pas trouvé de distributeur pour une programmation dans les salles françaises et débarque aujourd'hui directement en DVD, ce n'est pas à cause d'éventuels défauts ou de critiques assassines : c'est juste qu'Instalife ne rentre réellement dans aucune « case » prédéterminée, de celles qui arrangeraient bien tout le monde afin de le vendre dans le monde entier.
Test Blu-ray : Cause toujours, tu m’intéresses
Le plus gros défaut de Cause toujours, tu m’intéresses, c’est probablement son titre. Pensez-vous qu’un film tel que E.T. l’extraterrestre aurait remporté le même succès en France s’il s’était appelé Tire sur mon doigt, ça fera de la lumière ?
Test Blu-ray : Old stone
Sur le ton de la plaisanterie, mais avec une acuité presque prophétique, René Goscinny et Pierre Tchernia avaient déjà brocardé, dès 1976, les dérives des administrations en tous genres au cœur des Douze travaux d’Asterix, avec le fameux passage de la « Maison qui rend fou ». Ces dérives de la bureaucratie sont également au centre du premier long-métrage de Johnny Ma, Old stone : le film suit en effet la trajectoire de Lao Shi, un chauffeur de taxi se retrouvant obligé de prendre en charge l’hospitalisation d’un blessé pour n’avoir pas suivi la procédure à appliquer en cas d’accident de la route, quand bien même la vie de la victime était en danger.
Test DVD : Sur la branche
Sur la branche, qui sort en DVD chez Pyramide Vidéo, est une des meilleures comédies françaises de ces dix dernières années.
Test Blu-ray 4K Ultra HD : Bob Marley – One Love
Bénéficiant d’un budget confortable, produit par Plan B pour Paramount Pictures, Bob Marley : One Love a également rencontré un gros succès à travers le monde, en cumulant 180 millions de dollars de recettes à l’international.
Test Blu-ray : Night call
En naviguant à vue dans les tréfonds les plus noirs de l'âme humaine, Night call tient finalement presque autant du film d'horreur que du thriller. Glauque, volontiers complaisant, l’électrochoc de Dan Gilroy va loin, très loin pour illustrer son propos...
Test DVD : Comet
Pour se convaincre que la science-fiction et une certaine idée du romantisme peuvent parfois faire bon ménage, il suffit de se dire que la passion, la foi en l’autre et l’amour fusionnel peuvent, à l’occasion, frôler le mysticisme pur. Comet c'est de la balle.
Test DVD : Tant qu’il y a de la guerre, il y a de...
Voilà un sujet en or pour Alberto Sordi, un sujet qui lui permet de tirer à vue sur tout ce qui bouge : le commerce des armes, bien sûr, mais aussi la corruption qui règne dans de trop nombreux pays africains et l'hypocrisie au sein de la sacro-sainte famille et dans la bonne société en général.
Test DVD : La Dérive des Continents (Au Sud)
Si la construction européenne veut continuer à fonctionner tant bien que mal, tout devra y être réglé au millimètre près. Le personnage principal de La Dérive des Continents (Au Sud) est lui-même à l’image de cette course à la perfection...
Test DVD : Randonneurs amateurs
Porté par Robert Redford et Nick Nolte, Randonneurs Amateurs est un feel good movie réalisé par Ken Kwapis, metteur en scène de la comédie romantique Ce que pensent les Hommes.
Test DVD : Chappie
Si bancal et inégal soit-il, Chappie nous délivre d’encourageants éléments tendant à laisser penser que le cinéma de Neill Blomkamp va retrouver prochainement un équilibre entre la maestria visuelle et narrative. Si le réalisateur s’était trop concentré sur le scénario d’Elysium au point d’en négliger un peu la forme (les moments de bravoure attendus s’effondraient comme un soufflé),