Test Blu-ray : Out of time
Presque dix ans après Le diable en robe bleue (1995), Carl Franklin et Denzel Washington se sont retrouvés en 2003 sur le projet Out of time, un nouveau polar sous perfusion de « Film Noir » des années 40/50...
Test Blu-ray : Les loups
Principalement connu en France grâce à une série de DVD édités il y a quelques années par HK Vidéo et Wild Side Vidéo, Hideo Gosha reste un cinéaste très mystérieux pour de nombreux cinéphiles. Avec Les loups, le réalisateur japonais s'essayait donc au début des années 70 au film de yakuza avec Les loups, qui lui permettrait de développer sur un registre légèrement différent des thèmes qui émaillent l'ensemble de son œuvre, notamment celui de la solitude de l'individu perdu au sein d'un groupe (ici les yakuza) dans lequel il ne se reconnaît plus, et qui le pousse petit à petit vers une forme de déshumanisation.
Test Blu-ray : Les Démons du maïs – La Trilogie d’origine
Les trois premiers films de la franchise Les Démons du Maïs sont aujourd'hui réunis au cœur d’un coffret Blu-ray chez Rimini Éditions, intitulé « La Trilogie originale ». Une aubaine pour les amateurs de Stephen King...
Test Blu-ray : American Horror Story – Cult – L’intégrale de la Saison 7
L’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis d’Amérique en janvier 2017 a fait l’effet d’une bombe, dont l’impact semble se répercuter en profondeur dans le petit monde de la série TV américaine. En effet, on a récemment pu constater des critiques frontales et sans équivoques de l’administration Trump dans deux shows majeurs diffusés par le réseau Fox : The X-Files (saison 11) et American Horror Story (saison 7).
Test Blu-ray : Le Tartuffe
Le Tartuffe développe un ensemble de partis pris esthétiques qui, paradoxalement, pourraient apparaître comme « contre-productifs », du moins si l’idée était de mettre en avant l’avant-gardisme et la contemporanéité de ce texte du XVIIème Siècle.
Test Blu-ray : Bad Samaritan
Pur petit DTV du samedi soir, Bad Samaritan suit un petit jeu du chat et de la souris entre un cambrioleur à la petite semaine (Robert Sheehan) et un riche psychopathe (David Tennant) ayant pour marotte de séquestrer puis de tuer des jeunes femmes.
Test DVD : Arrête avec tes mensonges
Récit poignant tournant autour d’une passion homosexuelle adolescente, ainsi qu’aux traces qu’elle a laissée dans la psyché de l’auteur, Arrête avec tes mensonges prend quelques libertés avec le livre de Philippe Besson qu’il adapte.
Test Blu-ray : Cannibal Man – La semaine d’un assassin
Cannibal Man – La semaine d’un assassin est un film que la plupart des cinéphiles issus de la Génération VHS ont découvert par le biais d’une édition vidéo sortie chez Scherzo Vidéo il y a presque quarante ans maintenant.
Test DVD : Love
S’il ne comporte en lui que les « germes » des outrances et autres fulgurances visuelles propres au cinéma de Ken Russell, le deuxième film de cinéma du réal britannique s’avère encore aujourd’hui une belle déclaration d’amour à l’œuvre de D.H. Lawrence
Test Blu-ray : Duel au soleil – Édition « Ultra Collector »
Avec Duel au soleil, David O. Selznick et King Vidor ont créé la surprise avec un film qui cassait ouvertement tous les codes du western classique en s’imposant comme non seulement comme un western très spectaculaire mais également un mélodrame baroque, lyrique, souvent excessif et parfois sur la corde raide entre le sublime et le kitsch.
Test Blu-ray : Cujo
D’un strict point de vue cinématographique, 1983 fut une année faste pour Stephen King : trois adaptations de ses romans sortirent en effet sur les écrans cette année-là : Dead Zone, Christine et Cujo.
Test Blu-ray : Room
Le genre de fait divers sordide à l’origine de l’histoire de Room aurait pu donner lieu à toutes sortes de traitements choquants. Le dispositif – hélas inspiré de la réalité – de la femme séquestrée pendant des années en guise de jouet sexuel par des crapules sadiques est à lui seul si désespérant et révoltant que toute exploitation par le biais de la fiction risque d’apparaître scandaleusement opportuniste. L’exploit du film de Lenny Abrahamson consiste alors à contourner habilement les aspects les plus glauques de cette affaire, qui seraient davantage à leur place dans un film d’horreur, pour mieux se concentrer sur les relations humaines ayant persisté tant bien que mal au cours du calvaire d’abord physique, puis psychologique des personnages. Car le récit n’est point conçu à la manière d’un thriller conventionnel, où la libération de la captivité serait vécue comme le point d’orgue final d’un suspense insoutenable. La répartition en deux parties distinctes du film permet au contraire à la narration de se pencher sur ce qui compte réellement dans ce contexte périlleux : la rage de survivre coûte que coûte, malgré une existence brisée par la plus perverse des cruautés humaines.



















