Test DVD : My life directed by Nicolas Winding Refn
Document à la fois très intime et profondément orienté vers l’Art (avec un grand A), explorant les affres de la création (et du doute) autant que les concessions que tout un chacun est obligé de faire dans sa vie professionnelle et/ou privée, My life directed by Nicolas Winding Refn est un passionnant témoignage donnant à voir au spectateur un cinéaste incontournable à la fois au travail sur le plateau de Only God forgives et dans la chaleur cosy de son home sweet home thaïlandais.
Test DVD : Le dossier Mona Lina
Une histoire qui permet à Eran Riklis de traiter à nouveau un thème qui lui est cher, celui des frontières, quelles qu'elles soient.
Test Blu-ray : Orange is the new black – Saison 3
Les auteurs d’Orange is the new black étaient parvenus à livrer une deuxième saison encore meilleure que la première : pour cette troisième année à la prison de Litchfield, Jenji Kohan et son équipe ont-ils réussi à réitérer cet exploit ?
Test DVD : Parfum de printemps
Souhaitant raconter à sa façon la Révolution de la dignité vécue par la Tunisie, Férid Boughedir a ressenti le besoin de raconter la vérité des événements avec légèreté, partant du principe qu'on comprend mieux les choses si on peut en rire.
Test DVD : Je ne suis pas un salaud
Un homme qui, lors de la parade d'identification organisée par la police, désigne un innocent comme étant l'agresseur qui l'a presque laissé pour mort, cet homme est-il un salaud ? Ou bien un pauvre type, un homme dont le comportement tourmenté s'explique avant tout par son mal de vivre ?
Test Blu-ray : Ton heure a sonné
Avec son personnage principal en quête de vengeance, pour qui seules de sanglantes représailles permettront de retrouver enfin la paix, Ton heure a sonné semble, avec le recul, avoir permis à Randolph Scott de créer un nouvel « archétype » au sein du western : celui d’un personnage âpre, taciturne et impitoyable, uniquement mû par le désir d’appliquer la loi du talion, et n’hésitant pas à traquer son ennemi à travers l’Ouest tout entier. Ce personnage-là deviendra d’ailleurs par la suite un véritable cliché, non seulement au cœur de la carrière de Scott, mais également dans le western dans sa totalité.
Test Blu-ray : Extrême limite
Extrême limite est une série B assez méconnue en France. Inédit dans les salles obscures, le film de Norbert Meisel s’était cependant fait un nom grâce à une sortie au format VHS sous les couleurs de Scherzo Vidéo.
Test Blu-ray : The Cell
Complètement porté par la patte visuelle baroque et inimitable de Tarsem Singh, The Cell fait partie de ces films qui transpirent tellement de la personnalité de leurs réalisateurs qu’il semble littéralement impossible de les imaginer autrement.
Test Blu-ray : Deux Flics à abattre
Inédit en France en salles comme en VHS, Deux Flics à abattre est un film que les amoureux du genre « poliziottesco » ont découvert au début des années 2000 sous le titre Live like a cop, Die like a man...
Test DVD : Chant d’hiver
On retrouve dans "Chant d'hiver" les fondamentaux du cinéma de Iosseliani : sa façon poétique d'aborder le réel, l'utilisation de plans séquence, d'une durée toujours très raisonnable, son goût pour le chant, pour la musique en général, si possible accompagnée de bonnes lampées de vodka.
Test DVD : Un havre de paix
Yona Rozenkier n'a pas voulu faire un film sur la guerre mais cette guerre quasi permanente que vit Israël depuis sa création est présente tout au long du film. surtout, par le formatage qu’elle opère sur les individus.
Test Blu-ray : Kids return
A des détails mineurs près, propres à la culture ou au contexte historique, Les 400 coups se font de la même façon en France ou au Japon, à la fin des années 1950 ou au milieu des années 90, chez Truffaut ou sous l’œil avisé de Kitano. Aussi différents d’un point de vue formel ces deux films soient-ils, ils procèdent de concert à la démystification de la jeunesse, dépeinte sans équivoque comme le terroir de la bêtise, voire de la méchanceté. Dans Kids return, nous assistons au retour en arrière, empreint d’une conception pour le moins rude de la réalité, de deux amis d’enfance qui s’étaient perdus de vue, avant de se retrouver par hasard au début du film. Or, ce dispositif narratif ne paraît guère intéresser la mise en scène