Test DVD : Warehouse 13 (Entrepôt 13 !) – Saison 5
En 2014, l’entrepôt de Warehouse 13 (Entrepôt 13 !) tirait sa révérence avec une ultime et courte saison (six épisodes seulement). Si le show nous propose de nouveaux artefacts dont les caractéristiques s’avèrent hautement fantaisistes, les auteurs s’échinent également à clore les questions laissées en suspens durant les saisons précédentes...
Test Blu-ray : November criminals
Si le film n’a pas eu l’honneur de sortir dans les salles françaises, on se souvient avoir récemment découvert la bande-annonce de November criminals sur les DVD et Blu-ray édités par Sony Pictures ; cette dernière « vendait » le film comme un thriller de machination, rappelant par exemple le cinéma d’Alan J. Pakula dans les années 90. Quelle ne fut pas dès lors notre surprise à la découverte du film, qui s’avère radicalement différent de ce à quoi on s’attendait…
Test Blu-ray : La tour 2 contrôle infernale
Du haut de ses quinze ans (l’âge bête !), La tour Montparnasse infernale (2001) est devenu, avec le temps, une sorte de petit classique du rire à la française, une comédie quasi-culte dont beaucoup de lignes de dialogues ont traversé les années et sont encore citées de façon régulière par toute une génération de fans hilares. Pourtant, il faut tout de même admettre –revoyez-le ! – que le film de Charles Nemes est relativement paresseux. Mis en scène de façon plate et télévisuelle, le film se contentait d’enchainer sans génie une série de mini-sketches inégaux, qui donnait au final l’impression d’une comédie décousue émaillée de fulgurances comiques, allant bien d’avantage chercher du côté des films des Charlots que d’une mécanique du rire de précision.
Test DVD : Randonneurs amateurs
Porté par Robert Redford et Nick Nolte, Randonneurs Amateurs est un feel good movie réalisé par Ken Kwapis, metteur en scène de la comédie romantique Ce que pensent les Hommes.
Test Blu-ray : Exodus – Gods and kings
Avec Exodus – Gods and kings, Ridley Scott y va de son adaptation de l'Exode, épisode de l'Ancien Testament déjà évoqué au cinéma dans Les dix commandements de Cecil B. DeMille. On sent bien que la volonté de Scott est de tenter d'insuffler d’avantage de réalisme dans le récit de la vie de Moïse, et le film s’avère spectaculaire et bien tenu, mais là où le bat blesse un peu, c’est qu’en réalité, il est difficile d’expliquer tous les éléments de l'Exode, récit rempli d’éléments paraboliques par excellence, par le prisme de la Science et de l’Histoire.
Test Blu-ray : Colt 45
S’il s’avère aujourd’hui, et contre toute attente, un excellent polar, âpre et sans concession, Colt. 45 a été marqué par une histoire un peu chaotique. Le tournage a débuté en 2012, puis suite à des problèmes relationnels entre le réalisateur Fabrice Du Welz, son producteur Thomas Langmann et ses têtes d’affich
Test Blu-ray : One Piece – Gold (Film 12)
A moins de n’avoir pas ouvert un manga depuis vingt ans, ou de n’être passé dans le rayon « bande dessinées » de n’importe-quelle enseigne culturelle que pour foncer vers les exemplaires de Tintin en occultant tout le reste, il est littéralement impossible de n’avoir jamais entendu parler de One Piece, qui détient depuis 2016 le titre de « manga le plus vendu au monde », dépassant avec plus de 380 millions d'exemplaires vendus le mythique Dragon Ball d’Akira Toriyama.
Test Blu-ray : Osiris – La neuvième planète
Si depuis l’avènement de la saga Star wars, le genre du « space opera » était devenu un genre quasiment exclusivement réservé aux grands studios nantis de budgets confortables, la « démocratisation » des effets numériques au tournant des années 2000 a finalement permis depuis quelques années à une poignée de cinéastes passionnés d’aborder de front la science-fiction sans pour autant dépendre des impératifs –et des contraintes– liés à la gestion d’un énorme budget.
Test Blu-ray : Le puits et le pendule
Vaguement inspiré de la très courte nouvelle éponyme d’Edgar Allan Poe, Le puits et le pendule permet au début des années 90 à l’excellent Stuart Gordon (dont l’œuvre -certes inégale- ne se limite pas à Re-Animator et devrait réellement être réhabilitée d’urgence) de signer une série B efficace et bien déviante, qui devrait trouver une place de choix dans le cœur de tous les cinéphiles amateurs de bizarreries de celluloïd. En effet, avec Le puits et le pendule, le cinéaste peut enfin aborder avec « sa » vision si particulière, empreinte de bande dessinée et de pop culture, les dérives de l’Inquisition Espagnole (et de l’inquisition en général), qui avaient déjà permis à une poignée de cinéastes avant lui de livrer de véritables petits chefs d’œuvres du genre horrifique… On pense bien sûr à La chambre des tortures (Roger Corman, 1961), adapté par Richard Matheson de la même nouvelle de Poe, au sublime Grand inquisiteur (Michael Reeves, 1968), ou à des films sans doute un peu moins « majestueux » mais tout aussi attachants, tels que Les diables (Ken Russell, 1971), La marque du diable (Michael Armstrong, 1970) ou même le plus récent Black death (Christopher Smith, 2010).
Test Blu-ray : Paterson
Si vous avez un jour aimé un film de Jim Jarmusch, il y a de fortes chances que vous aimeriez également tous les autres ! En effet, la filmographie du réalisateur brille par une incroyable cohérence dans la forme et le fond, à laquelle il est en même temps compréhensible de rester hermétiquement fermé. En tout cas, Paterson y ajoute un élément honorable
Test Blu-ray : Mine
Co-production entre l’Espagne, l’Italie et les États-Unis, prenant place dans un désert quelconque du Moyen-Orient, Mine est un petit film au scénario malin, disposant d’un pitch radical et de très peu d’acteurs – le hasard des sorties en France fait qu’il est presque impossible de ne pas penser à The wall (Doug Liman, 2017), sorti sur nos écrans début juin, au concept tout aussi simple et accrocheur.
Test Blu-ray : Hostiles
Pour réaliser Hostiles, Scott Cooper a travaillé de façon très sérieuse : il a adapté à sa façon la version préliminaire d’un manuscrit écrit par le scénariste Donald E. Stewart, en cherchant à lui donner un caractère universel ; il s’est entouré de spécialistes reconnus des amérindiens de façon à ce que soient fidèlement respectés le langage, les rituels et la gestuelle des indiens ; il a tenu à ce qu’une partie des dialogues se fasse dans la langue des Cheyennes et que les costumes soient le plus proche possible de ceux de l’époque. Pour trouver les grandioses grands espaces que le film traverse, il a suffi au réalisateur et au Directeur de la photographie de balader leur caméra dans le Nouveau-Mexique, l’Arizona et le Colorado, il y en a des « comme ça » à tous les coins de rue ! Concernant l’interprétation, il a repris Christian Bale qu’il avait déjà dirigé dans Les brasiers de la colère : il est grandiose ; il a fait le cadeau d’un rôle à « Oscar » à la comédienne britannique Rosamund Pike (En fait, elle n’a rien eu du tout et le film n’a même pas été sélectionné aux Oscars.



















