Test DVD : Vanishing point
Dans un cheminement parallèle pas toujours facile à comprendre, le réalisateur nous raconte ensuite l'histoire de deux hommes à des époques différentes de leurs vies et qui, pour lui, sont l'image en miroir l'un de l'autre.
Test Blu-ray : Downsizing
La découverte de Downsizing, qui navigue dans le genre de la science-fiction, a clairement de quoi étonner le spectateur : Alexander Payne avait en effet jusqu’ici plutôt placé sa filmographie sous le signe du cinéma indépendant...
Test Blu-ray : Le petit Spirou
Les origines du Petit Spirou remontent à 1987, alors que Tome et Janry imaginaient quelles avaient pu être les années d’enfance du groom aventurier dans l’album « La jeunesse de Spirou ». Dès 1990, le premier d’une longue série d’albums verrait le jour, porté par le trait énergique et insolent de Janry et par l’humour volontiers graveleux de Tome, qui repoussait volontiers gentiment les limites de ce qui était alors publié par les éditions Dupuis. Précurseur de quelques années de la série à succès Titeuf qui lui a énormément piqué (la BD est un monde d’influences), la série Le petit Spirou, tout comme la dizaine de volumes du « grand » Spirou signés par Tome et Janry, semblaient à priori inadaptables…
Test Blu-ray : Alice de l’autre côté du miroir
Si Les aventures d'Alice au pays des merveilles (Lewis Carroll, 1865) s’est vu, au fil des années, adapté à de nombreuses reprises pour le cinéma et la télévision, sa suite, intitulée De l'autre côté du miroir (1871), n’avait jusqu’ici jamais eu droit à sa propre adaptation. Certains éléments tirés du deuxième roman apparaissaient certes dans certaines versions cinématographiques des aventures de la jeune rêveuse, mais Alice de l’autre côté du miroir, qui sort aujourd’hui en Blu-ray et DVD sous les couleurs de Walt Disney France, s’avère bel et bien la première véritable adaptation de ce roman de Lewis Carroll, qui nous proposait un récit très décousu, à la narration complètement déstructurée, s’apparentant presque d’avantage à un recueil de nouvelles prenant place dans l’univers d’Alice.
Test Blu-ray : Hôtel Transylvanie 3 – Des vacances monstrueuses
Les scores au box-office des films d’Adam Sandler ont tellement chuté au fil des décennies 2000/2010 que l’acteur a du se tourner il y a quelques années vers Netflix pour laisser libre cours à son talent comique. Néanmoins, les amoureux de l’univers du comédien, très attaché en général au monde de l’enfance, pourront tout de même le retrouver sur grand écran – ou du moins sa voix – dans la franchise Hôtel Transylvanie, dont le succès en revanche semble bel et bien fait pour durer. Ainsi, Hôtel Transylvanie 3 : Des vacances monstrueuses a réuni plus de trois millions de français dans les salles obscures, et rapporté à Sony Animation la bagatelle de 521 millions de dollars : un véritable carton dans le monde entier, écrasant les chiffres du premier opus (448 millions, exploitation en vidéo comprise) et dépassant même les recettes en salles du deuxième épisode (473 millions).
Test Blu-ray : Le bonhomme de neige
Avec son style direct et un peu « bourrin », le romancier norvégien Jo Nesbø s’est créé une place à part dans le petit monde glacial et distancié du polar nordique. Si son approche du roman policier demeure relativement proche de celle proposée par ses confrères écrivains d’Europe du Nord (on est certes loin des provocations en tous genres pratiquées par l’irlandais Sam Millar par exemple), sa « patte » est tout de même reconnaissable par un attachement certain pour l’outrance, notamment dans la description des errances misanthropes de son personnage fétiche, l’inspecteur Harry Hole, qui permet à Nesbø de revisiter l’image classique du flic seul contre tous, accro à la clope et la boisson mais doué pour résoudre les enquêtes. Sous la plume de l’auteur, Hole deviendra une espèce d’enquêteur semi-clodo, que l’on retrouvera à ce jour dans un peu plus de dix romans, certes inégaux mais développant un certain goût du « malsain ».
Test DVD : Dynamite Jackson
Dynamite Jackson, de son vrai nom TNT Jackson, est une production New World (Roger Corman donc) de 1974, réalisée par le philippin Cirio H. Santiago, et scénarisée par Ken Metcalfe et Dick Miller.
Romy, le film
Le destin de la petite Rosemarie Magdalena Albach-Retty devenue Romy Schneider, la comédienne la plus adulée de son époque. 60 films, deux Césars. Celle qui donna tout à son art et fut la proie d’une presse à l’affut de sa vie privée est ici revisitée par un metteur en scène qui aurait pu réaliser un excellent film.
Test DVD : Prosper
N’ayant malheureusement réalisé qu’un peu moins de 40.000 entrées dans les salles françaises, Prosper n’aura en toute logique pas droit à une édition Blu-ray, et s’épanouira donc sur support DVD sous les couleurs de Le Pacte.
Test DVD : The veil
Cinéaste issu du vidéo-clip, proche du groupe U2, Phil Joanou a connu une petite heure de gloire à la fin des années 80 et au début des années 90 avec quelques films tels que Les anges de la nuit ou Sang chaud pour meurtre de sang froid. Après un « petit » passage à vide d’une vingtaine d’années, il a refait parler de lui au sein de la geekosphère en réalisant l’excellent court-métrage Punisher : Dirty laundry en 2012, avec un Thomas Jane désireux de laver l’affront fait aux fans du comic-book avec le long-métrage sorti en 2004.
Test DVD : Apprentis parents
Découvert en 2008 avec le très amusant Sex drive, teen movie hors normes bien au-dessus de la moyenne du genre, Sean Anders a passé les premières années de sa carrière Hollywoodienne à enchaîner les comédies orientées « trash », soit en tant que scénariste, soit en tant que réalisateur. S’il se consacre toujours aujourd’hui à la comédie, le ton de ses films semble avoir pris un tournant important en 2015, avec la comédie Very bad dads, qui mettait la notion de « famille » au centre de toutes ses préoccupations.
Test Blu-ray : Comme des rois
Le registre dramatique sied décidément bien à Kad Merad, parfait en bonimenteur usé à qui il reste un fond d’habileté pour soutirer quelques dizaines d’euros à des cibles de moins en moins naïves. Dans Comme des rois, Joseph (Kad Merad) est un VRP guère recommandable, spécialisé dans des ventes douteuses de produits illicites en porte-à-porte. Cet escroc de petite envergure a entraîné depuis longtemps son fils Micka (Kacey Mottet Klein).


















