Test Blu-ray 4K Ultra HD : Sugarland Express
Sugarland Express est régulièrement considéré comme le premier film de Steven Spielberg : bien sûr, le film est sorti deux ans après Duel, mais avant de se voir exploité dans les salles un peu partout dans le monde, ce dernier avait, à l’origine, été tourné pour la télévision.
Test Blu-ray : L’horrible invasion
L’horrible invasion, c’est le titre français d’un petit classique du fantastique US avec William Shatner et de grosses n’araignées pleines de pattes poilues, longtemps invisible chez nous, au point d’en être même peut-être plus connu dans l’hexagone sous son titre original, Kingdom of the spiders.
Test Blu-ray : Blood Drive – L’intégrale
En l’espace d’une dizaine d’années environ, le petit monde des séries TV s’est vu profondément métamorphosé. Si avant 2010, des séries telles que Heroes ou Lost avaient déchainé les passions du public à travers le monde, ces dernières restaient avant tout des séries « familiales », destinées au plus grand nombre et donc encore relativement consensuelles dans leur ton, leur sujet ou leur public cible. L’engouement généralisé des téléspectateurs autour de ces séries ambitieuses a néanmoins créé un véritable « déclic » du côté des producteurs et des chaines de télé, qui mènerait à peine quelques années plus tard à la création des « grandes » séries TV contemporaines, les Game of thrones, Walking dead et autres Breaking bad que tout le monde a vu et adoré, et qui sont en seulement quelques saisons devenus des classiques incontournables de la culture populaire, et qui ont contribué à prouver que le fait de s’adresser à un public adulte n’était pas forcément incompatible avec celui de générer des profits importants. Inévitablement, on a peu à peu commencé à voir émerger des séries orientées vers le fantastique et l’horreur, plus ambitieuses d’un point de vue narratif, mais bénéficiant également de budgets et d’effets spéciaux nettement plus impressionnants. Et puisqu’il convient d’aller de plus en plus loin, et d’oser de plus en plus de choses, Syfy s’est engouffré dans le giron de HBO en injectant des fonds dans Z Nation, une série horrifique absolument folle et décalée s’amusant de ses propres outrances, et qui présentait la particularité de repousser les limites de la connivence entre showrunners et spectateurs.
Test Blu-ray 4K Ultra HD : Ran
Considéré par beaucoup comme l'apogée de la longue carrière d’Akira Kurosawa, Ran est un véritable monument du cinéma – une fresque monumentale, quasi-unanimement reconnue comme un véritable chef d’œuvre.
Test Blu-ray : Cabal
Inédit en France sur support Haute-Définition, Cabal était déjà sorti sur support DVD sur le territoire français en 2015. ESC Éditions nous permet de redécouvrir en Blu-ray le petit chef d’œuvre de Clive Barker. Le film s’impose qui plus est dans un packaging assez sublime, proposé dans un tirage limité (et déjà épuisé).
Test Blu-ray : Tatami
Film exigeant, Tatami a bénéficié d'une distribution sur 145 copies grâce aux efforts déployés par Metropolitan, qui croyait dans le film de Guy Nattiv et Zar Amir. Et ceux qui l'auraient loupé dans les salles pourront aujourd'hui le découvrir dans des conditions optimales grâce à un superbe Combo Blu-ray + DVD.
Test Blu-ray : Taxi 5
En s’appropriant la saga TAXI, une franchise morte et enterrée depuis plus de dix ans, Franck Gastambide a fait le choix, que l’on considère comme extrêmement payant, de l’adapter à « son » univers.
Test Blu-ray : Nos pires voisins 2
Nos pires voisins 2 est le deuxième opus d’une nouvelle franchise œuvrant dans le genre de la comédie gentiment trash, dont le seul but avoué est de secouer les zygomatiques du spectateur à intervalles réguliers à coups de vannes tantôt carrément absurdes tantôt plus réfléchies et incisives.
Test Blu-ray : Renaissances
Le thème du double, du transfert d'un corps à un autre ou du fait d'être étranger à son propre corps est un cliché de la SF. Autant dire que Tarsem Singh a du galérer pour trouver un angle original pour Renaissances...
Test Blu-ray : Countdown
Depuis une vingtaine d'années maintenant, Jason Blum et sa boite de prod' Blumhouse Productions trustent littéralement le créneau des films d’horreur à petit budget dans les salles de cinéma. Comme Roger Corman avant lui, le producteur, malin et opportuniste, a fait le choix de privilégier les films « concept », privilégiant une ambiance oppressante et efficace à l'utilisation à outrance d'effets spéciaux coûteux ou de différents artifices de mise en scène trop chers pour rentabiliser l'investissement. L'impact direct est donc privilégié à toute autre considération, mais une sélection de scripts malins aura permis à Blumhouse de s’offrir très régulièrement d’énormes succès dans les salles obscures, en plus de permettre à une poignée de cinéastes de bénéficier d’une certaine liberté créative, dans les limites bien sûr d'un budget riquiqui. Au fil des années, la « recette » utilisée par Jason Blum a fini par faire des petits, d'autres boites désireuses de croquer leur part du gâteau s'étant également lancé dans l'aventure de l'horreur à petit budget, et parvenant même en quelques occasions à talonner le maître en termes de succès public. Après Escape game en février (156 millions de dollars de recettes, 859.000 entrées en France), Countdown est donc débarqué dans les salles françaises en novembre 2019, réunissant 411.000 amateurs de frissons et générant 39 millions de dollars de recettes à l'international, pour un budget de 6,5 – ce qui devrait logiquement nous assurer la mise en chantier d'une suite d'ici quelques mois. On pense aussi à d'autres films pour le moment non sortis en France, tels que Polaroïd (on te prend en photo, tu meurs) ou The room (une pièce exauce les vœux, mais à quel prix ?).
Test Blu-ray : Irréductible
Quelques années après Ma famille t’adore déjà, Jérôme Commandeur revient donc à la réalisation avec Irréductible, adaptation de Quo vado?, une comédie italienne qui avait enregistré plus de 9 millions d'entrées de l’autre côté des Alpes en 2016.
Test Blu-ray : Les Méchants
Le plus paradoxal dans le destin des Méchants, c’est que le film a en fait été la victime de ce qu’il dénonce sur le mode de l’absurde : comme ses personnages, le film a rapidement été pointé du doigt, puis « diabolisé » par le biais des réseaux sociaux.
















