Test Blu-ray : Reine mère
Lancez-vous à cœur perdu dans Reine mère, beau récit de résilience, de quête de soi, de recherche de ses racines et, bien sûr, de racisme. Disponible en Blu-ray chez Diaphana.
Test Blu-ray : Messiah of Evil
Sorti dans les salles françaises en 1979, sous le titre Le Messie du mal, le film développe rapidement une ambiance très étonnante pour l’époque, enchaînant les séquences bizarres et envisageant sa narration selon une (il)logique de rêve éveillé
Test Blu-ray : Le justicier de New York (Un justicier dans la ville 3)
Dans les années 80 aux États-Unis, après l'élection de Ronald Reagan, les républicains se sentent pousser des ailes : comme pour appuyer la politique ultra-sécuritaire prônée par le gouvernement, la mode est alors aux films mettant en scène des vigilantes moustachus
Test Blu-ray : Le venin de la peur
Le venin de la peur est un giallo très classique, répondant en tous points au cahier des charges du genre. Tout d'abord, co-production européenne oblige, nous aurons droit à l'inévitable casting international propre au bis de l'époque, et au cœur duquel on trouve forcément à boire et à manger, du français Jean Sorel au britannique Stanley Baker
Test Blu-ray : Un justicier dans la ville
Film fondateur du « vigilante movie », Un justicier dans la ville est, on ne vous apprendra rien, un film prônant l’auto-défense.
Test Blu-ray : Aquaman
Après une longue série de films tous plus médiocres les uns que les autres, Warner et DC Comics semblent enfin parvenus, avec Aquaman, à trouver une recette qui fonctionne afin d’adapter sur grand écran les aventures de leurs super-héros.
Test Blu-ray : Tout le monde debout
Avec Tout le monde debout, le premier projet cinéma porté de A à Z, de l’écriture à la réalisation, par Franck Dubosc, on retrouve enfin le mélange d’humour absurde et de sensibilité qui nous plaisait tant, et nous faisait tant rire il y a quelques années.
Test Blu-ray : Antigang
Antigang est un pur petit produit populaire, qui aurait sans aucun doute rencontré son public en salles si son distributeur avait eu les couilles de le vendre comme ce qu'il était : un film d'action à l'américaine.
Test Blu-ray : Salomon et la reine de Saba
Il semble bien difficile, à l’évocation de Salomon et la reine de Saba, de ne pas citer « LE » gros problème de production qu’a rencontré le film : Tyrone Power, qui devait incarner à l’écran le roi Salomon, est décédé pendant le tournage, ce qui a forcé King Vidor et la United Artists non seulement à engager un nouvel acteur pour interpréter le roi d'Israël, mais également à retourner toutes les scènes déjà tournées avec Tyrone Power (entre un tiers et la moitié du film selon Patrick Brion, mais les chiffres varient très largement selon les sources).
Test Blu-ray : Le moine et le fusil
"Le moine et le fusil" monte en régime petit à petit mais reste quand même inférieur à "L'école du bout du monde", le film précédent de Pawo Choyning Dorji.
Test Blu-ray : Candyman
La mort de George Floyd et le mouvement « Black lives matter » ont rapidement trouvé un écho sur les écrans américains, mais aucune œuvre n'avait su explorer les arcanes de cette tragédie de façon aussi profonde, complexe et politisée que Candyman.
Test Blu-ray : En route pour la gloire
Pour ceux qui l’ignoreraient, En route pour la gloire est l’adaptation cinématographique de l’autobiographie de Woody Guthrie, légende de la folk américaine. En réalité, le film de Hal Ashby ne retrace que quatre ans de la vie de Guthrie, mais il s’agit d’années décisives qui le mènent de Pampa, sa petite ville du Texas, à la Californie de la Grande Dépression, celle des Raisins de la colère de John Steinbeck puis de John Ford, à l’aube de la Seconde Guerre mondiale. C’est au cours de cet itinéraire imprévu et pour le moins rugueux que Guthrie affirmera son attachement aux laissés pour compte de la société US, à ceux qui luttent pour leur survie quotidienne, victimes des retombées d’un système corrompu. A sa façon bien sûr, En route pour la gloire est également, à travers le personnage de Woody Guthrie, une apologie du légendaire « individualisme » américain, mais d’un individualisme toujours confronté à une idée de « fraternité sociale ». Et par-delà le personnage de Guthrie, c’est tout un pan du peuple américain qui se révèle, oublié dans la représentation Hollywoodienne traditionnelle – même si bien sûr, le film de Hal Ashby doit beaucoup à son décor social, qui s’avère lui-même un reflet du cinéma Hollywoodien des années de la Grande Dépression, qui a largement contribué à ancrer cette période dans la mémoire collective des cinéphiles.


















