Test Blu-ray : J’accuse
Multi-récompensé à la Mostra de Venise (4 prix) ainsi qu'aux César (2 prix), J'accuse a permis à Roman Polanski d'obtenir le dixième César de sa carrière (le cinquième en tant que meilleur réalisateur depuis 1980), sous les huées et les protestations en tous genres. La polémique, née de sa condamnation par la justice américaine dans les années 70 ainsi que les différentes accusations publiques dont il a été l’objet au fil des années (parmi lesquelles une seule plainte judiciaire, n’ayant donné lieu à aucune poursuite), a toujours accompagné la carrière de Polanski, même si, parallèlement, les récompenses obtenues par ce film consacré à l'affaire Dreyfus font monter à 93 le nombre de récompenses internationales obtenues par le cinéaste. Avec J'accuse, Roman Polanski évoque les dérives de toute forme de chasse aux sorcières en décortiquant un fait historique que tout le monde croit connaître, devenu symbole de l’antisémitisme en France. Ci-dessous, vous pourrez découvrir la critique du film, signée par notre rédacteur en chef Pascal Le Duff au moment de la sortie du film dans les salles.
Test Blu-ray : Moi, moche et méchant 4
Mine de rien, cela fait déjà quatorze ans que les Minions règnent sur le petit monde du divertissement familial, et ce ne sont pas les chiffres enregistrée par Moi, moche et méchant 4 cette année dans les salles qui viendront entacher l'aura de la saga estampillée Illumination Entertainment.
Test Blu-ray : Neuf invités pour un crime
Avec ses personnages se réunissant sur une île isolée et se faisant assassiner les uns après les autres, Neuf invités pour un crime évoque naturellement les « Dix Petits Nègres » d'Agatha Christie et, par extension, L’île de l’épouvante de Mario Bava.
Leatherface 2003-2017 : Entre « reboot » et origines
Massacre à la tronçonneuse : 4 films réalisés entre 1974 et 1994, puis 4 films post-reboot, réalisés entre 2003 et 2017. A l’occasion de la sortie en ce début d’année de Leatherface, on revient sur ces quatre derniers opus, tous dispos chez Metropolitan Vidéo.
Test Blu-ray : Mo’ Better Blues
Un an après l'uppercut Do the right thing, qui l'imposerait définitivement dans la cour des grands cinéastes de la fin des années 80, Spike Lee prenait tout le monde à revers avec Mo' Better Blues, qui suivait les déboires d'un trompettiste de jazz incarné par Denzel Washington...
Test Blu-ray : Patrick
Patrick mérite clairement d’être redécouvert. L’intérêt du film vient en partie de la gageure d’un scénario basé sur un personnage qui demeure immobile et muet durant tout le récit, allongé sur son lit d’hôpital...
Test Blu-ray : Je sais rien mais je dirai tout
Avec Je sais rien mais je dirai tout, Pierre Richard se pose en anarchiste poétique, gentiment contestataire : on sent en effet que derrière le cynisme de façade se cachent des aspirations et des rêves utopiques concernant la société de demain.
Test Blu-ray : We are the flesh / Blaq Market #07
We are the flesh n’est évidemment pas à mettre entre toutes les mains, on ne peut que se réjouir de ce type de proposition aventureuse, à une période d’uniformisation extrême.
Test Blu-ray : Trois jours et une vie
A l'occasion de son arrivée sur support Blu-ray sous les couleurs de Gaumont, Trois jours et une vie s'offre un traitement Haute Définition littéralement impeccable. Définition et piqué sont d'une précision chirurgicale, les couleurs chaudes et naturelles rendent honneur à la sublime photo du film, signée Manuel Dacosse (Amer).
Test Blu-ray : Pumpkinhead – Le Démon d’Halloween
Véritable légende dans le domaine des effets spéciaux, Stan Winston n’a en revanche réalisé que deux longs-métrages au fil de sa longue et passionnante carrière : Pumpkinhead – Le Démon d’Halloween en 1988, qui serait suivi de Galacticop en 1990.
Test Blu-ray : Un flic à la maternelle
Un flic à la maternelle fait partie de ces films ne reposant quasiment que sur leur « concept » – ici, un acteur bodybuildé catapulté instituteur – mais qui a su conserver un impact net sur le spectateur.
Test Blu-ray : L’Art de la guerre
Avant de tourner Blade II en 2002, Wesley Snipes était revenu à un film d'action plus classique, L'Art de la guerre, dont le titre bien sûr est tiré d'un ancien traité de stratégie militaire chinois attribué à Sun Zi.



















