Test Blu-ray : The Video Dead
The Video Dead est un film que l’on a découvert en France à la fin des années 80, sous le titre abrégé Video Dead, en VHS sous la bannière d’un éditeur assez peu connu, Unicorn Studios. Il revient en Blu-ray grâce au Chat qui fume !
Test Blu-ray : Monster Dog
Monster Dog a toujours été considéré comme « le film d’horreur d’Alice Cooper » : s’il n’était absolument pas impliqué dans l’écriture du scénario ou le choix du sujet, le film nous donnait à voir et à entendre deux titres inédits.
Test Blu-ray : Ma vie de courgette
Ma vie de courgette est le premier long métrage de Claude Barras. Il s’agit d’un film d’animation en stop motion, et d'une adaptation libre d’Autobiographie d’une courgette, roman de Gilles Paris. Il a été fait appel à Céline Sciamma pour l’écriture du scénario.
Test Blu-ray : Enragés
Tel Saint Éloi, le cinéma de genre français n'est pas mort : il bande encore ! En 2015, alors que beaucoup le raillaient avec perfidie afin de mieux tenter de l'enterrer prématurément, deux distributeurs français, SND et Wild Bunch, ont eu les couilles de proposer une alternative au cinéma français « Césarisable » avec deux purs films orientés polar / action, Antigang et Enragés.
Test Blu-ray : Je sais rien mais je dirai tout
Avec Je sais rien mais je dirai tout, Pierre Richard se pose en anarchiste poétique, gentiment contestataire : on sent en effet que derrière le cynisme de façade se cachent des aspirations et des rêves utopiques concernant la société de demain.
Test Blu-ray : Le jaguar
Ce qui est intéressant avec Le jaguar, septième film de Francis Veber en tant que réalisateur, c’est que le duo formé à l’écran par Jean Reno et Patrick Bruel devait, à l’origine, être composé de Vincent Lindon et Patrick Bruel. La dynamique du film en aurait sans doute été différente.
Test Blu-ray : 47 Ronin – Le Sabre de la vengeance
47 Ronin – Le Sabre de la vengeance est un film un peu anachronique, fleurant bon le DTV du début des années 2000. Tourné à Budapest, il évoque les actioners mis en boite en Hongrie par Steven Seagal ou Jean-Claude Van Damme il y a quinze / vingt ans.
Test Blu-ray : Amazing Grace
Si on le connaît aujourd’hui essentiellement pour ses « grands » films des années 70/80 (et notamment pour Out of Africa qui a remporté sept Oscars), Sydney Pollack s’était également essayé au documentaire au lendemain d’On achève bien les chevaux. Il a en effet tourné, en 1972 et avec l’aide d’un dispositif de cinq caméras 16 mm et plusieurs micros, une vingtaine d’heures de rushes durant l’enregistrement du double album d’Aretha Franklin intitulé « Amazing grace », dans lequel la diva interprétait des chants gospel traditionnels, album qui deviendrait d’ailleurs quelques mois plus tard un énorme succès – il est encore à ce jour un des albums gospel les plus vendus de l'histoire de la musique.
Test Blu-ray : Les visiteurs 3 – La révolution
En ne réussissant à réunir que 2,2 millions de fans et autres nostalgiques dans les salles françaises, Les visiteurs 3 restera malheureusement un cuisant échec pour le trio Jean-Marie Poiré / Christian Clavier / Jean Reno.
Test Blu-ray : Les crocs de Satan
Deux ans après Le grand inquisiteur, Les crocs de Satan permet à Vincent Price d'incarner Lord Edward Whitman, un magistrat anglais chargé de traquer le diable et ses suppôts dans une Angleterre sous le règne d'Élisabeth Ire.
Test Blu-ray : Les Grands Ducs
Construite autour de la personnalité de ses trois acteurs principaux, à savoir Jean Rochefort, Philippe Noiret et Jean-Pierre Marielle, Les Grands Ducs n’avait alors réuni qu’un peu plus de 500.000 curieux dans les salles obscures en 1996.
Test Blu-ray : Roma
Émouvant, intimiste, Roma aura permis à Alfonso Cuarón de livrer au public une évocation sincère et fortement autobiographique de son enfance mexicaine, qu'il se remémore et reconstitue à l'écran avec un soin maniaque par le biais de l'histoire de Cleo, domestique et femme à tout faire au cœur d'une famille aisée. Bien sûr, autour du récit principal graviteront de petits instantanés de vie dans le Mexique des années 70, qui contribueront au final à dessiner un état des lieux très fidèle de la société de l'époque. Habile, Cuarón choisit, même si cela est tout à fait impossible en vérité, de tabler sur une certaine « objectivité », la grande qualité de sa reconstitution étant de ne jamais s'avérer angélique ou partisane, qu'il s'agisse des bouleversements sociaux ou dans le constat des mœurs d'hier et des relation hommes / femmes.



















