Test Blu-ray : La Cité de la violence
Quand La Cité de la violence sort sur les écrans en 1970, Charles Bronson a 47 ans, et il n'est pas encore la star du box-office Hollywoodien qu'il deviendrait quelques années plus tard avec Un justicier dans la ville.
Test Blu-ray : The boys next door
The boys next door est sorti sur les écrans américains en 1985 – soit il y a plus de 35 ans – mais s'avère encore aujourd'hui extrêmement méconnu en France.
Test Blu-ray : Le Pays bleu
Tout le cœur du Pays bleu est de montrer au spectateur comment deux libertés vont finalement se trouver, et se conjuguer au présent, sans la pression du mariage ou de l'union jusqu'à ce que la mort les séparent.
Test Blu-ray : La Poursuite implacable
On ne se lassera jamais de répéter à quel point le cinéma de Sergio Sollima, quasiment inconnu en France, mériterait d'être apprécié / réévalué à sa véritable valeur : celle d'un fier et intelligent artisan du cinéma populaire italien des années 60 / 70.
Test Blu-ray : Kraven the Hunter
Prenant la forme d’une Origin Story des plus banales, et ne parvenant jamais à accrocher le spectateur Kraven the Hunter arrive non seulement avec vingt ans de retard, mais s’empêtre surtout dans les méandres d’un scénario trop timoré, qui ne parvient jamais à surprendre.
Test Blu-ray 4K Ultra HD : Dune
Malgré l'aversion affirmée de David Lynch pour le film, Dune conserve encore des qualités qui méritent tout de même le coup d’œil. A redécouvrir au format Blu-ray 4K Ultra HD dans un coffret Collector signé ESC Éditions.
Test Blu-ray : À ceux qui nous ont offensés
Savoir où l’on va, sans oublier d’où l’on vient : tel semble être le crédo de Michael Fassbender, qui délaisse régulièrement les énormes productions américaines (Alien, X-Men…) afin de retourner, avec une certaine régularité, au Royaume-Uni afin de tourner des films « coups de poing » dans la veine d’Eden Lake (James Watkins, 2008) ou Fish Tank (Andrea Arnold, 2009). À ceux qui nous ont offensés permet donc à l’acteur de s’offrir un retour aux sources, d’autant plus remarquable que le film lui permet un face à face tendu et puissant avec le vétéran Brendan Gleeson, impeccable en patriarche traditionnaliste et obtus. A eux deux, les deux acteurs bouffent littéralement l’écran, ne laissant que peu de place aux autres acteurs pour faire leur trou ; on saluera néanmoins les prestations toutes en émotion retenue de Lyndsey Marshal et du jeune Georgie Smith, parfaits en membres « paumés » du clan Cutler.
Test Blu-ray : Darkman – Édition ultime
Né de diverses influences, piochant allégrement dans les origines de différents héros Marvel en y ajoutant quelques références allant des Universal Monsters aux « sérials » des années 30/40, Darkman impose un univers foutraque et foisonnant d’idées folles.
Test Blu-ray : Le soleil des voyous
Le soleil des voyous est un film de casse reprenant de manière décontractée tous les ingrédients du film policier à la française tel qu’il fut pérennisé par la plume de Michel Audiard.
Test Blu-ray : Scandale
Scandale revient sur les affaires de harcèlement sexuel ayant secoué Fox News en 2016, qui ont à l'époque forcé à la chaîne à négocier le départ anticipé de Roger Ailes contre 40 millions de dollars (!). La lanceuse d'alerte était la présentatrice Gretchen Carlson, qui serait suivie de Megyn Kelly, également présentatrice sur Fox News, et d'une vingtaine d'autres femmes.
Test Blu-ray : La Quatrième Dimension – L’Intégrale
Enfin, voici qu'arrive en Blu-ray l’intégrale de La quatrième dimension... le moins que l'on puisse dire, c'est que ça valait le coup d'attendre ! Le résultat à l'écran est absolument bluffant. L'image est sublime, proposant un piqué et une définition que l'on n'aurait même pas osé imaginer. Les contrastes sont bien gérés, le grain argentique a été préservé, bref, la série reprend méchamment de la gueule, et les fans seront aux anges.
Test Blu-ray 4K Ultra HD : L’Épée sauvage
Carlotta Films entreprend de nous faire (re)découvrir le premier long-métrage d'Albert Pyun, L'épée sauvage, qui a la particularité notable d’avoir été, avec 36 millions de dollars de recettes aux États-Unis, le film indépendant le plus rentable de l’année 1982.