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Tag: Franco Nero

Test Blu-ray : El Mercenario

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Franco Nero / Sergio Corbucci / Franco Solinas : telle est la sainte trinité ayant permis la flamboyante réussite d’El Mercenario. Ce trio en état de grâce a contribué à faire de ce western spaghetti une œuvre que l’on admire encore 55 ans après sa sortie...

Test Blu-ray : Un Citoyen se rebelle

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Sorti sur les écrans italiens en 1974, Un Citoyen se rebelle s’inscrit dans une tradition encore relativement récente à l’époque : celle du « poliziottesco ». L'ambiance des « Années de plomb » en Italie y était représentée sur un ton noir et sans concessions.

Test Blu-ray : Texas Adios

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Texas Adios est un western spaghetti sorti sur les écrans en 1966, réalisé par Ferdinando Baldi (Blindman, le justicier aveugle) et mettant en scène Franco Nero dans la peau d'un cow-boy taciturne nommé Burt Sullivan.

Critique Express : L’affaire Collini

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Ce que "L'affaire Collini" raconte est non seulement parfaitement crédible mais revêt  également un caractère historique et politique très important, mettant en pleine lumière un énorme scandale de la politique judiciaire allemande, la loi Dreher.

Test Blu-ray : Django

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Django, le héros charismatique, incarné par un Franco Nero d’une classe absolue, parviendra à s’imposer en l’espace de quelques séquences comme l’un de ces cowboys solitaires propres à entrer dans la légende...

Test Blu-ray : Iceman

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On ne va pas se raconter d'histoires : la particularité la plus notable d'Iceman est liée au fait que les personnages du film s'expriment dans une langue inconnue – une version primitive du rhétique, une langue morte éteinte au cours du IIIe siècle.

Critique : Tristana

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Personne n'a autant su dévoiler le côté sombre de l'image publique de la déesse du cinéma français Catherine Deneuve que Luis Buñuel. Et même si le démontage du cliché de la beauté aussi innocente que glaciale n'atteint pas dans Tristana les sommets de la perversion que Belle de jour avait si brillamment côtoyés trois ans plus tôt, il demeure malgré tout un conte moral hautement subversif.

Vu sur OCS : Compañeros (Sergio Corbucci)

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Une coproduction entre l'Italie, l'Espagne et l'Allemagne sur les tribulations d'un vendeur d'armes suédois en pleine guerre civile au Mexique : ce western spaghetti a tout ce qu'il faut pour faire honneur à son genre, un véritable bouillon d'influences du côté du cinéma transalpin au cours des années 1960 et '70.

Nouveaux membres de l’Académie : la promotion 2017

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L'actuelle présidente de l'Académie du cinéma américain, Cheryl Boone Isaacs, devra passer la main cet été à son successeur, puisque elle aura atteint le nombre maximal de quatre mandats annuels autorisés. Sa présidence se sera surtout distinguée par une ouverture sans précédent de la vénérable institution hollywoodienne, qui existe depuis 90 ans, à plus de diversité parmi ses membres. La preuve ultime en a été annoncée hier avec la liste des 774 nouveaux membres, originaires de 57 pays, qui peuvent – s'ils le souhaitent – rejoindre les près de 7000 autres membres de l'Académie.

Test Blu-ray : John Wick 2

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Clairement, la tournure esthétique et narrative qu'ont choisi de suivre les auteurs de John Wick 2 risque de diviser les cinéphiles en deux camps irréconciliables : d'un côté nous aurons les déçus, qui regretteront le manque d'empathie ressentie par le spectateur pour le personnage de John Wick, et qui crieront à l'odieux enchaînement de scènes d'action, sans âme et sans intérêt. De l'autre, on aura les « vrais » amateurs de cinéma d'action, qui n'ont point besoin de prétexte pour se plonger dans une scène d'action efficace ; ceux qui ont usé leurs VHS ou leur laserdisc de A toute épreuve ou de Desperado à force de se repasser toujours les mêmes scènes en boucle.

Test Blu-ray : La trilogie Ninja

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Il y a seulement une quinzaine d’années de cela, si d'aventure vous aviez émis votre désir qu'un ou plusieurs films de la Cannon produits par Yoram Globus et Menahem Golan fassent l'objet d'éditions « collector » de la part des éditeurs vidéo œuvrant sur le marché français, il y a fort à parier qu'on vous aurait copieusement ri au nez, avant de vous blacklister de toutes les listes de personnes fréquentables, vous forçant à rejoindre le rang des parjures et autres déficients intellectuels - ou assimilés - qui évoquaient à la même époque, dans le milieu musical, un possible retour d'Indochine sur le devant de la scène.

Critique : The Lost City of Z

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Changement de registre radical pour James Gray avec son sixième long-métrage, le premier à s'aventurer hors du microcosme des communautés d'immigrés à New York. La différence entre The Lost City of Z et la filmographie antérieure du réalisateur ne pourrait en effet pas être plus grande, puisqu'il n'y est pratiquement jamais question des préoccupations typiquement américaines, au profit d'un conte d'aventures qui s'étend même à une échelle joliment épique.