Tag: Blu-ray découverte
Test Blu-ray : Le justicier du Minnesota
Globalement plus classique, et donc un peu moins connu que les autres westerns signés Sergio Corbucci, Le justicier du Minnesota est pourtant une belle réussite, s’intégrant parfaitement dans l’œuvre du cinéaste.
Test Blu-ray : Roger la honte
Réalisé en 1966 par Riccardo Freda, un des grands maitres du cinéma populaire italien, Roger la honte est la troisième adaptation cinématographique du roman de Jules Mary après les versions signées Gaston Roudès (1933) et André Cayatte (1946).
Test Blu-ray : Peau d’espion
Peau d’espion s’inscrit dans la mouvance de l'Euro Spy, tout en restant très « français » dans son déroulement et ses enjeux. Adapté d’un roman de Jacques Robert (l'écrivain européen le plus porté à l'écran), le film suit, malgré quelques digressions notables, une trame très premier degré, sans doute un poil trop sérieuse
Test Blu-ray : Pleins feux sur l’assassin
Tourné en 1961, soit juste après Les yeux sans visage, Pleins feux sur l'assassin est basé sur un scénario original de Boileau-Narcejac. Rythmé par la musique entêtante de Maurice Jarre, le film nous propose de nous plonger dans une énigme tortueuse et surtout dans une ambiance étrange, développant un curieux humour à froid et volontiers absurde.
Test Blu-ray : L’agression
Réalisé par Gérard Pirès en 1975, L’agression est donc un étrange drame mâtiné de polar, sous influence du « vigilante » (lancé par le succès d’Un justicier dans la ville en 1974) et du « rape & revenge » (fièrement représenté par La dernière maison sur la gauche en 1972), deux genres que le film remet d’ailleurs en question lors de son final.
Test Blu-ray : Le Jumeau
Quand Pierre Richard tourne Le Jumeau en 1984, il est au top de sa popularité : encore auréolé des énormes succès rencontrés par ses films en duo avec Gérard Depardieu, il peut à peu près tout se permettre...
Test Blu-ray : Les copains
Pendant des années, le cinéma d'Yves Robert s'est amuser à invectiver le spectateur avec espièglerie sur l'existence et le train-train quotidien. Un rien anar sur les bords, il décrit souvent dans ses films des modes de vie alternatifs, détachés des conventions sociales, où les gens vivent à la campagne, oisifs, heureux et auto-suffisants.
Test Blu-ray : Les lions sont lâchés
Tourné au début des années 60, Les lions sont lâchés est une petite comédie de mœurs racontée d'un point de vue exclusivement féminin, d'une fraicheur vraiment étonnante, mais développant également -dialogues de Michel Audiard obligent- un cynisme vis à vis des femmes tendant presque à la misogynie pure et simple.
Test Blu-ray : Fleur d’oseille
Suite au succès de Ne nous fâchons pas en 1966, Georges Lautner et Michel Audiard se sont pris au jeu du polar cartoonesque riche en personnages de truands hauts en couleurs et ont livré au public, avec la complicité de leur interprète fétiche Mireille Darc, deux petits polars désopilants que beaucoup considèrent comme le summum de la carrière du trio : le diptyque Fleur d’oseille (1967) / Laisse aller… C’est une valse (1971).
Test Blu-ray : Sous le signe du taureau
Marquant les retrouvailles entre Gilles Grangier, Michel Audiard et Jean Gabin, Sous le signe du taureau (à ne pas confondre avec Anna, ma petite dernière de six mois, qui quant à elle est toujours placée Sous le signe du rototo d’après-biberon) est un film très inhabituel, très éloigné du genre de prédilection du trio : le public s’attendait à un film policier teinté de comédie, il se retrouve avec un essai politique ni drôle ni vraiment immersif, ce qui explique sans doute sa faible performance au box-office français à sa sortie en 1969.
Test Blu-ray : La grande sauterelle
Romance mineure convoquant le Pierrot le fou de Godard tourné deux ans auparavant, sans malheureusement en avoir ni la fougue ni le génie. Mireille Darc nous livre sa composition habituelle, les dialogues d’Audiard nous réservent quelques saillies savoureuses et l’ensemble
Test Blu-ray : Milou en mai
Avec sa galerie de portraits hauts en couleur, son souffle gentiment libertaire et son ambiance de folie douce, Milou en mai rappelle forcément le chef d’œuvre de Jean Renoir La règle du jeu. En plaçant son intrigue en mai 68, Louis Malle porte un regard tendre et désabusé sur des idéaux semblant avoir débouché, vingt ans après, plus ou moins sur du vent.