Castle

Parfaite réponse à la question qu'était la semaine dernière Walkyrie, Dreamworld termine avec efficacité ce double épisode de début de saison. Après 6 années,...

Absent des écrans depuis le 05 décembre, Castle revient avec un épisode irrégulier heureusement sauvé par un commencement et un épilogue réussis. On attendait plus de cet épisode de rentrée, mais « Till death do us part » déçoit.

Véritable cadeau pour les fans de science-fiction, cet épisode de Castle est une mine d'or de références culturelles et d'humour. Une combinaison détonante. Au cœur...

Épisode perdu entre deux pauses, Dressed to Kill nous livre une histoire qui prend son temps mais qui finit par émouvoir. Grâce - et...

Quelle entrée en matière pour cette saison 6 de Castle ! La série n'y va pas par quatre chemins et mise sur un seul...

The Human Factor est le maillon faible de la série d'excellents épisodes que Castle nous a livré depuis The Lives Of Others. Inutile de...

Continuant avec brio la série de bons épisodes initié par le 47 seconds de la semaine dernière, The Limey est une histoire paradoxalement réussie par...

Épisode intéressant de par la nouvelle dynamique qu’il propose - Castle fait équipe avec un autre détective - et très divertissant, cet antépénultième chapitre...

Interverti avec Still dont le sujet trop sensible rappelait douloureusement l'actualité, The Squab and The Quail arrive avec une semaine d'avance et n'annonce rien...

Marquant la moitié de saison, Dial M for Mayor est un épisode inattendu et réussi qui relance la thèse du complot sur le meurtre de la mère de Beckett, Johanna. Les scènes de désaccords entre la détective et l’écrivain sont toujours aussi intenses grâce à l’alchimie exceptionnelle des deux protagonistes principaux. Le focus sur la capitaine Gates, annoncée à grand renforts puis laissée dans l’ombre, est, en outre, le bienvenu.

Épisode de remplissage clairement destiné à capitaliser le lancement de la nouvelle saison de Dancing with the Stars, A dance with death est encore un épisode insipide usant jusqu’à l’os de rouages faciles - regards en coin entre Backett et Castle, comique de situation pour Esposito et Ryan et affaire rocambolesque pour tous- qui semblent malheureusement devenus l’apanage de cette quatrième saison. Inutile.

Armé de sa réalisation nerveuse et de son intrigue intéressante, 47 seconds parvient à briser la série des mauvais épisodes auxquels nous avait malheureusement habitués Castle. Comme promis par le créateur, Andrew W. Marlowe, ce chapitre remet sur les rails les secrets que se cachent les deux protagonistes principaux, ici la révélation de celui de Beckett, mais d’une manière si poussive que l’on n’apprécie qu’à moitié cette décision pourtant attendue.