Cannes 2018 : Fahrenheit 451 (Ramin Bahrani)

Édité au début des années 1950, le roman d'anticipation « Fahrenheit 451 » de Ray Bradbury avait marqué les esprits à cette époque-là. Dans la foulée, cette histoire pessimiste sur une société, où la littérature est considérée comme le mal absolu, avait été adaptée au cinéma par François Truffaut en 1966.

Cannes 2018 : palmarès de la Semaine de la Critique

Le jury de la 57e Semaine de la Critique présidé par Joachim Trier, accompagné des comédiens Chloë Sevigny et Nahuel Pérez Biscayard, d'Eva...

Cannes 2018, carnet de bord, cinquième partie

Une affaire de famille (4/5) – Asako (4/5) Retour sur deux films japonais présentés au sein de la compétition officielle. Deux très grands...

Critique : Dogman

"Dogman" vient positivement enrichir la filmographie de Matteo Garrone et prouver, une fois de plus, la qualité d'un cinéma italien, trop souvent mésestimé, voire carrément rejeté.

Cannes 2018, carnet de bord, huitième partie et fin

Dernier petit tour d'horizon quasi quotidien des quelques films visionnés à Cannes, avec un film de la compétition (le dernier), une curiosité de...

Cannes 2018 : The house that Jack built

Le cinéaste danois fait son grand retour à Cannes après avoir été ostracisé pendant sept ans. Un retour hors compétition, qui dit tout ce qu'il pense de l'humanité avec, entres autres réjouissances, mutilations et infanticides. "Avertissement : certaines scènes ou images violentes peuvent choquer les spectateurs" indiquait le programme quotidien du Festival de Cannes. De la part de Lars Von Trier, on n'en attendait pas moins !

Cannes 2018 : Los silencios

Présenté à la Quinzaine des réalisateurs au Festival de Cannes, ce film brésilien opère tout en nuances. La création d'une atmosphère étrange, pas tout à fait contemplative, mais pas non plus excessivement redevable au cinéma fantastique, compte en effet parmi les qualités principales de Los silencios.

Quinzaine 50 – un florilège de 49 années de cinéma en liberté, partie 2...

Héritière directe de ceux qui voulaient affranchir le cinéma de ses chaînes en 1968, la Quinzaine célèbre cette année sa 50e édition. L'occasion d'une...

Cannes 2018 : La tendre indifférence du monde

Deux films en provenance du Kazakhstan sont à l’honneur cette année à Cannes : Ayka de Sergey Dvortevoy en Compétition, et La Tendre indifférence du monde de Adilkhan Yerzhanov à Un Certain Regard. Ce dernier défini l'industrie cinématographique de son pays par sa "tendre indifférence à l’art du cinéma", et son film semble d'ailleurs être un peu passé sous les radars cannois. . C’est par hasard qu’on s’y est rendu, faute de pouvoir voir Un couteau dans le cœur le jeudi soir : le hasard fait (très) bien les choses. Embarquons ensemble pour l’Asie centrale.

Cannes 2018 : la compétition

La sélection officielle du 71ème Festival de Cannes a été annoncée ce matin à Paris, à l'UGC Normandie, par son délégué général Thierry Frémaux et en présence de son président Pierre Lescure. Le festival se déroulera du mardi 8 mai au samedi 19 mai à Cannes. D'autres titres seront annoncés prochainement, qui devraient s'ajouter aux dix-huit longs-métrages en compétition pour l'instant.

Cannes 2018 : L’Oeil d’or, jury et films en lice

Créé en 2015 à l'initiative de la réalisatrice Julie Bertuccelli, présidente de la Scam, avec la complicité du Festival de Cannes, ce prix est remis depuis chaque...

Quinzaine 50 : naissance, balbutiements et réussites de la plus libre des sections...

« La Quinzaine des Réalisateurs est la plus libre des sections cannoises » rappelait Edouard Waintrop, son délégué général jusqu’à cette cinquantième édition. « Elle n’est tenue par aucune obligation. Ses préoccupations sont de faire connaître de nouveaux talents, surprendre avec des aspects nouveaux et inconnus de talents reconnus, varier les plaisirs, en un mot, montrer ce qu’il y a de plus excitant dans le cinéma mondial et ce qui affleure de plus intéressant dans ses nouveaux courants ».

Derniers articles

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Nobody 2

0
Dans Nobody 2, la thématique centrale reste celle du poids du passé : Hutch pensait avoir rangé ses armes, mais son passé lui colle à la peau. Le film explore cette idée avec une ironie mordante : on ne se débarrasse jamais vraiment de ses démons, et ici on les recycle en scènes d’action.

Décès du réalisateur Rob Reiner

0
Le réalisateur, producteur et acteur américain Rob Reiner est décédé avant-hier à Los Angeles. Il était âgé de 78 ans. Le corps de Reiner, ainsi que celui de son épouse Michele Singer, ont été retrouvés, poignardés, dans leur maison dans le quartier de Brentwood. Hier, leur fils Nick a été inculpé pour ce double meurtre. Connu initialement comme acteur, notamment dans la série à succès « All in the Family », Reiner s’était imposé dès les années ‘80 comme réalisateur.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Vampires – Édition Limitée Cult’Edition

0
Vampires n’a pas besoin de se cacher derrière des capes gothiques ou des châteaux poussiéreux pour exister. Ici, le vampire sort du placard et se retrouve projeté en plein désert américain, sous un soleil qui brûle les yeux autant que les peaux.

Berlinale 2026 : Wim Wenders président

0
En ces premières semaines de la saison des prix de cinéma pour l’année 2025, il était grand temps qu’on sache qui présidera le jury du prochain Festival de Berlin. Fin du suspense vendredi dernier, le 12 décembre, avec l’annonce par la directrice de la Berlinale Tricia Tuttle du nom du réalisateur allemand Wim Wenders.

Critique Express : L’amour qu’il nous reste (Deuxième avis)

Hlynur Pálmason a choisi, pour son 4ème long métrage, de nous faire partager avec beaucoup de tendresse la vie d'une famille, une femme, un homme, 3 enfants, une chienne, qui, d'une façon plutôt paisible, est en train de se décomposer.