Critique : Limbo

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Sans gommer le côté tragique de la situation des demandeurs d'asile patientant sur une île écossaise, l'humour apporte une fraicheur qui, finalement, ne fait que renforcer l'empathie qu'on peut ressentir à leur sujet.

Critique Express : L’été l’éternité

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Dans "L'été l'éternité", la peinture de la jeunesse est pleine de naturel, elle n'est ni forcée ni maniérée

Critique : Anatomy of time

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Alors que "Anatomy of time" n'est que son 2ème long métrage de fiction, on est déjà en droit de voir chez Jakrawal Nilthamrong une "patte" très personnelle qui fait de lui, à 45 ans, un réalisateur très prometteur.

Critique Express : Hit the road

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c'est un euphémisme d'affirmer que le "Hit the road" de Panah Panahi est loin, très loin d'avoir les qualités des films de Jafar Panahi, son père.

Critique Express : L’affaire Collini

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Ce que "L'affaire Collini" raconte est non seulement parfaitement crédible mais revêt  également un caractère historique et politique très important, mettant en pleine lumière un énorme scandale de la politique judiciaire allemande, la loi Dreher.

Critique : Murina

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Mais n'est-ce pas en elle-même que se trouvent vraiment les forces permettant à la jeune Julija de se dégager, telle une murène, de l'emprise de son père ?

Critique : Et il y eut un matin

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Un des films les plus marquants de ce début d'année.

Critique express : Le dernier piano

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"Le dernier piano" ne se vautre jamais dans un pathos déplacé et grotesque

Critique express : Contes du hasard et autres fantaisies

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Il y a quelque temps, pour certains, il était inimaginable de ne pas tomber en pâmoison à la vision des films du coréen Hong Sang-Soo. Il semble bien qu'il soit en passe d'être supplanté par le réalisateur japonais Ryūsuke Hamaguchi dont, parait-il, chaque film est encore meilleur que le précédant.

Critique Express : A la folie

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En fait, il arrive que la relation entre deux êtres humains soit un mélange d'amour et de haine et c'est exactement ce qui se passe entre les deux sœurs Nathalie et Emmanuelle.

Critique Express : Employé / Patron

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Une première moitié du film qui a tendance à trainer et qui comprend en plus quelques ellipses assez maladroites, et la suite et la fin beaucoup plus vivantes et passionnantes

Critique : Libertad

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Dans "Libertad", nous ne sommes pas chez les pauvres, mais ... la présence de deux personnes d'une classe sociale totalement différente va permettre de pimenter le film et lui donner tout son intérêt.

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Test Blu-ray : I Love Peru

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I Love Peru est un docufiction burlesque dans lequel Raphaël Quenard joue son propre rôle avec une sacrée dose d’auto-dérision. Co-réalisé avec Hugo David, le film s’impose comme un curieux objet filmique, à mi-chemin entre l’autoportrait déglingué, le trip mystique et le journal intime d’un acteur en pleine crise d’ego...

Sarlat 2025 : Les Enfants vont bien

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A en croire les bruits de couloir pendant le Festival de Sarlat, le thème récurrent de cette 34ème édition était la recherche d’un nouveau foyer de la part d’enfants délaissés. Apparemment, Love Me Tender de Anna Cazenave Cambet et On vous croit de Charlotte Devillers et Arnaud Dufeys en traitaient, ainsi que – sans trop vouloir élargir l’échantillon d’œuvres concernées – Promis le ciel de Erige Sehiri.

Test Blu-ray : Sinners

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Sinners, c’est un peu comme si le cinéma américain avait décidé de se souvenir qu’il avait une âme. Pas une âme propre, bien sûr — ce serait trop simple — mais une âme cabossée, pleine de blues, de sang, de jumeaux hantés et de plans-séquences qui feraient passer Alfonso Cuarón pour un stagiaire en école de cinéma.

Sarlat 2025 : Animal totem

Comme le disait l’éminent Fritz Lang, le format d’écran large est fait pour les serpents et les enterrements. Dans Animal totem, il aurait pu y avoir légitimement les premiers et, on le craint, il y a au moins métaphoriquement le deuxième. Car en optant pour un format extrêmement large, du 3:55 pour les puristes, le réalisateur Benoît Delépine bouscule nos habitudes de visionnage.

Sarlat 2025 : Promis le ciel

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En règle générale, le parcours d’immigration n’est linéaire pour personne. A plus forte raison lorsqu’il se faufile dans la clandestinité, à l’écart des canaux officiels, sursaturés depuis longtemps. Ainsi, il y a des moments de précipitation au risque de sa propre vie d’un côté et des pauses lénifiantes de l’autre, qui coïncident avec une situation bloquée dont on peine à percevoir une issue favorable.