Revu sur Disney+ : Chiens des neiges

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Une autre figure constante dans l'univers Disney, ce sont les animaux. Les meilleurs amis de l'homme y prennent très souvent la fonction de vaillants ambassadeurs en faveur d'un retour salutaire à la nature.

Revu sur le Vidéo Club Carlotta : La Taverne de la Jamaïque

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Hitchcock sera toujours Hitchcock. Même dans ses films les plus modestement bons, comme La Taverne de la Jamaïque, il y aura toujours des éléments de sa patte d'artiste suprême de la perversion à distinguer. Les bons y sont d'une fadeur consternante.

Critique Express : On the go

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A la fois rationnel dans son discours plutôt féministe et foutraque dans sa réalisation, "On the go" n'est pas sans faire penser aux premiers films d'Almodovar.

Critique : Les Trois mousquetaires Milady

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A chaque époque son adaptation du célèbre roman de Alexandre Dumas. Avec ses particularités contemporaines et son aspiration d'être fidèle à l'histoire chevaleresque des quatre mousquetaires, tout en la remettant au goût du jour. A ce niveau-là, Les Trois mousquetaires Milady remplit plus que convenablement son contrat.

La Roche-sur-Yon 2020 : Wendy

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Parmi les innombrables transpositions du mythe de Peter Pan au cinéma, aucune n'a jusqu'à présent réussi à nous enchanter. Pas celle de Disney dans les années 1950 et surtout pas l'un des pires films de l'illustre carrière de Steven Spielberg, l'ennuyeusement ignoble Hook.

Test DVD : Le lion de Saint Marc

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Réalisé par Luigi Capuano en 1963, Le lion de Saint-Marc s’inscrit entre le film de pirates classique et le film de justicier à la Zorro, incarné ici par un Gordon Scott en héros masqué.

Critique : Le Garçon et le Héron

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Le Garçon et le HéronJapon : 2023Titre original : 君たちはどう生きるか (Kimi-tachi wa dō ikiru ka)Réalisation : Hayao MiyazakiScénario :  Hayao Miyazaki à partir de...

Biarritz 2020 : Selva tragica

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Le deuxième film de notre programme personnel de couverture du Festival de Biarritz cette année est également le deuxième dans lequel la jungle joue un rôle prépondérant.

Critique Express : Arco

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Au mélange de poésie et de science-fiction que dégage ce film, " ajoute avec bonheur une bonne dose de burlesque.

Critique : Lillian

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Mi fiction, mi documentaire, "Lillian" réussit à intéresser le spectateur sur les deux tableaux

Critique : Le Trésor de la Sierra Madre

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Ce n'est pas parce qu'un film est considéré comme un classique qu'il faut aveuglément croire cet adoubement collectif au rang de chef-d'œuvre intemporel. Afin de résister réellement à l'épreuve du temps, chaque film célébré de la sorte devrait garder intact son lien avec le public au fil des années.

Critique : Nous les chiens – Tambouille de toutous à la coréenne

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Originellement prévu pour une sortie le 4 avril, Nous les chiens aura finalement les honneurs de marquer de son empreinte odorante la réouverture des cinémas en France ce 22 juin. Ce sera là l’occasion idéale pour le cinéphile hexagonal de se replonger dans l'univers coloré de Lee Choon-Baek et Oh Sung-Yoon...

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Test Blu-ray : I Love Peru

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I Love Peru est un docufiction burlesque dans lequel Raphaël Quenard joue son propre rôle avec une sacrée dose d’auto-dérision. Co-réalisé avec Hugo David, le film s’impose comme un curieux objet filmique, à mi-chemin entre l’autoportrait déglingué, le trip mystique et le journal intime d’un acteur en pleine crise d’ego...

Sarlat 2025 : Les Enfants vont bien

A en croire les bruits de couloir pendant le Festival de Sarlat, le thème récurrent de cette 34ème édition était la recherche d’un nouveau foyer de la part d’enfants délaissés. Apparemment, Love Me Tender de Anna Cazenave Cambet et On vous croit de Charlotte Devillers et Arnaud Dufeys en traitaient, ainsi que – sans trop vouloir élargir l’échantillon d’œuvres concernées – Promis le ciel de Erige Sehiri.

Test Blu-ray : Sinners

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Sinners, c’est un peu comme si le cinéma américain avait décidé de se souvenir qu’il avait une âme. Pas une âme propre, bien sûr — ce serait trop simple — mais une âme cabossée, pleine de blues, de sang, de jumeaux hantés et de plans-séquences qui feraient passer Alfonso Cuarón pour un stagiaire en école de cinéma.

Sarlat 2025 : Animal totem

Comme le disait l’éminent Fritz Lang, le format d’écran large est fait pour les serpents et les enterrements. Dans Animal totem, il aurait pu y avoir légitimement les premiers et, on le craint, il y a au moins métaphoriquement le deuxième. Car en optant pour un format extrêmement large, du 3:55 pour les puristes, le réalisateur Benoît Delépine bouscule nos habitudes de visionnage.

Sarlat 2025 : Promis le ciel

En règle générale, le parcours d’immigration n’est linéaire pour personne. A plus forte raison lorsqu’il se faufile dans la clandestinité, à l’écart des canaux officiels, sursaturés depuis longtemps. Ainsi, il y a des moments de précipitation au risque de sa propre vie d’un côté et des pauses lénifiantes de l’autre, qui coïncident avec une situation bloquée dont on peine à percevoir une issue favorable.