Critique : My favorite war

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En réalisant "My favorite war", Ilze Burkovska Jacobsen ne s'est pas considérablement éloignée du métier de journaliste dont elle rêvait dans sa jeunesse.

Test Blu-ray : Calamity – Une enfance de Martha Jane Cannary

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Avec Calamity - Une enfance de Martha Jane Cannary, Rémi Chayé semble bien déterminé à faire oublier au spectateur la Calamity Jane issue des cases de Lucky Luke.

Vu sur OCS : Parvana Une enfance en Afghanistan

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Le retour récent de l'Afghanistan dans l'actualité n'est hélas qu'un chapitre supplémentaire dans la longue histoire mouvementée de ce pays. Car peu importe finalement si l'occupant actuel de la Maison blanche mettra à exécution son plan de retrait des troupes américaines, juste avant que lui-même ne soit obligé de quitter ses fonctions, la paix n'est pas près de s'installer durablement dans cette région du monde.

Critique : Fritzi

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Esthétiquement agréable à regarder, "Fritzi" donne sans exagération une vision honnête de ce qu'était la vie en RDA en 1989.

Critique : Nous les chiens – Tambouille de toutous à la coréenne

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Originellement prévu pour une sortie le 4 avril, Nous les chiens aura finalement les honneurs de marquer de son empreinte odorante la réouverture des cinémas en France ce 22 juin. Ce sera là l’occasion idéale pour le cinéphile hexagonal de se replonger dans l'univers coloré de Lee Choon-Baek et Oh Sung-Yoon...

Berlinale 2020 : En avant

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Avec désormais plus de vingt longs-métrages à leur actif, les studios Pixar risquent de ne plus détenir pour longtemps le titre d'innovateur technique et narratif qui a fait leur réputation brillante dans le milieu de l'animation depuis un quart de siècle.

Critique : Les hirondelles de Kaboul

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On ne peut que souscrire à la dénonciation de l'obscurantisme des talibans afghans. On ne peut qu'applaudir au casting de "Les hirondelles de Kaboul". Il est toutefois aussi permis de trouver que la joliesse des images enlève de la vigueur à la dénonciation et que l'utilisation du français dans le contexte du film a du mal à être acceptée dans le cinéma de ce siècle.

Les Arcs 2018 : Another Day of Life

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Guerre et journalisme, animation et documentaire, ces sujets et ces genres plus ou moins mutuellement exclusifs ont fait l'objet d'au moins deux films remarquables au dernier Festival de Cannes. Tandis que le premier, Chris the Swiss de Anja Kofmel, ne nous avait pas complètement convaincus, avec son association d'une enquête sur la mémoire familiale au chaos de la guerre des Balkans, le deuxième, que nous venons de découvrir au Festival des Arcs, nous a davantage subjugués.

Arras 2018 : Funan

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Le réalisateur cambodgien Rithy Panh est un chroniqueur hors pair de l'Histoire de son pays. Il ne se lasse pas de revenir sous forme de fiction, de documentaire, voire de documentaire animé, sur cette parenthèse hautement violente qu'ont été les quatre années du régime Khmère rouge. Denis Do, le réalisateur de Funan, appartient à une génération ultérieure, bercée par les histoires sur le génocide et la fuite ou au contraire, peut-être, par un silence de plomb à ce sujet, puisqu'il est né en France dix ans après le début des hostilités du côté de Phnom Penh.

La Roche-sur-Yon 2018 : Virus tropical

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Changement de ton plutôt radical dans notre programme personnel du Festival de La Roche-sur-Yon avec ce film d'animation colombien étrangement zen. Les tribulations d'une jeune fille, depuis la naissance jusqu'à la fin de l'adolescence, y sont le fil rouge d'une histoire à la volonté manifeste de tout dire sur les étapes initiales d'une vie.

Critique : Chris the Swiss

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Parmi les genres cinématographiques au sens large, c'est peut-être le documentaire qui vit ces dernières années son époque la plus riche et foisonnante. A la fois d'un point de vue économique et formel, il y a énormément de choses à découvrir dans ce domaine, grâce à des documentaires qui dynamitent sans gêne les règles anciennes de la transmission en apparence neutre d'un semblant de réalité.

Berlinale 2018 : L’Île aux chiens

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Wes Anderson goes to Japan … et reste pourtant intimement fidèle à lui-même ! Dans son deuxième film d'animation après Fantastic Mr. Fox, présenté en ouverture et en compétition du 68ème Festival de Berlin, il adopte une fois de plus ce ton joliment irrévérencieux, conscient de lui-même et néanmoins pas imbu de sa personne, qui a jusqu'à présent fait le succès de sa filmographie assez homogène.

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Albi 2025 : Écrire la vie

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En parfait ignare de la chose littéraire que nous sommes, hélas, notre seule incursion dans l’univers d’Annie Ernaux a été jusqu’à présent le documentaire que Régis Sauder avait consacré en 2020 à son lien étroit avec la ville nouvelle de Cergy, J’ai aimé vivre là. L’approche de Écrire la vie, présenté en exclusivité au Festival d’Albi avant sa diffusion début décembre sur France 5, est tout autre.

Albi 2025 : La Condition

Grâce à la prise de conscience générale déclenchée par le mouvement #MeToo et aux innombrables luttes féministes qui l’ont précédé, osons espérer que la place des femmes change dans la société. Ce qui change en même temps, c’est la représentation véhiculée par les personnages féminins d’une époque, où leur place était invariablement à la cuisine ou aux côtés de leur mari, de préférence dociles et effacés.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Souviens-toi l’été dernier

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Souviens-toi l’été dernier version 2025 veut raviver les braises d’un été moite, où les ados couraient en criant, les secrets s’empilaient comme des cadavres dans une glacière, et les cirés noirs faisaient office de tenue de soirée.

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On pourrait croire qu’il arrive après la bataille, notre si cher Festival d’Albi, dont la 29ème édition s’est ouverte ce soir. Après une avalanche de festivals de la rentrée – dont nous avons eu le privilège de couvrir certains, mais qui sont en fait encore trois, quatre fois plus nombreux –, il serait facile de penser que tous les films à la sortie prochaine aient d’ores et déjà été vus par le public festivalier.