Test DVD : Le chevalier du château maudit

Le chevalier du château maudit est le parfait petit représentant fauché d’un certain cinéma d’aventures à l’ancienne, mettant en scène un méchant très méchant et des gentils très gentils au cœur d’un véritable château de BD.

Test Blu-ray : Ghost in the Shell – The Movie

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Sorti sur les écrans japonais en 2015, Ghost in the Shell – The movie est une œuvre indépendante : il n'y aura aucun besoin pour le spectateur de rattraper les multiples OAV, suites et séries dérivées du film original pour en comprendre l'intrigue.

Test Blu-ray : Candyman

La mort de George Floyd et le mouvement « Black lives matter » ont rapidement trouvé un écho sur les écrans américains, mais aucune œuvre n'avait su explorer les arcanes de cette tragédie de façon aussi profonde, complexe et politisée que Candyman.

Test Blu-ray : Hard day

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Présenté à Cannes en 2014, Hard day fait partie de ces films surprenants, n'ayant de cesse de bousculer le spectateur, dans le bon sens du terme. Suivant, sur un rythme vraiment échevelé, les démêlés d'un enquêteur ripou avec la police des polices alors qu'il essaie de maquiller un accident de la route qui pourrait lui couter sa place

Test Blu-ray : Shazam !

Affirmer que nous placions nos espoirs les plus fous dans la découverte de Shazam ! serait mentir. Cela dit, on espérait secrètement que Shazam ! soit aussi fun et sympathique qu'Aquaman, qui mettait en scène Jason Momoa en roi de la mer.

Test Blu-ray : L’Inconnu de Shandigor

Présenté au Festival de Cannes en 1967, L’Inconnu de Shandigor est un film de genre suisse - s’apparentant à un récit d’espionnage - signé Jean-Louis Roy. Le film a la particularité assez notable de mettre en scène l’étrange Daniel Emilfork (1924-2006).

Test Blu-ray : Les proies

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Au fil des années et des films, la fougue et la « passion » qui animaient la critique et le public à la découverte des œuvres de Sofia Coppola s'est peu à peu tarie, laissant de plus en plus place à un intérêt distant, une indifférence polie. Si l’annonce de chacun de ses nouveaux films suscite immanquablement un léger regain de fougue, la découverte de ceux-ci finit toujours un peu par décevoir, comme si on en voulait un peu à la cinéaste de ne pas nous livrer à chaque long-métrage une œuvre de la force de son premier (et meilleur) film, The virgin suicides.

Test Blu-ray : Le placard – Réédition 2019

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Trois ans après l’immense succès du Dîner de cons, Francis Veber remettait le couvert avec Le placard, une nouvelle comédie mettant en scène le personnage – récurrent dans sa filmographie – de François Pignon, cette fois incarné par Daniel Auteuil. Malgré une affiche atrocement laide, le bouche à oreille fut excellent et le succès fut à nouveau au rendez-vous, le film ayant réuni plus de cinq millions de français dans les salles françaises en 2001.

Test Blu-ray : The house that Jack built

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C'est donc Potemkine Films qui nous permet aujourd'hui de (re)découvrir sur support Blu-ray The house that Jack built, le dernier film de Lars Von Trier. Comme d'habitude avec l'éditeur, le master est de toute beauté, fidèle en tous points à la superbe photo d'origine signée Manuel Alberto Claro, et affichant une définition et un piqué sans faille. Le master proposé par l'éditeur s'avère en effet fidèle en tous points aux époustouflants choix formels que nous propose le film. Les couleurs et la gestion des contrastes sont irréprochables, le grain cinéma est respecté, très accentué même sur les scènes sombres : on est en présence d'une très belle galette.

Test DVD : L’épreuve

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Arriver à s'accomplir professionnellement dans un métier à très haut risque et à réussir une vie de famille auprès d'un conjoint et de ses enfants, cela est-il possible ou est-ce un rêve totalement chimérique ? L'est-ce encore plus lorsqu'on est une femme ? Ce sont ces questions que le réalisateur norvégien Erik Poppe a choisi de poser dans "L'épreuve", son 4ème long métrage.

Test Blu-ray : La Cage

N’en déplaise à François Truffaut, il convient de noter les vertus d’un certain classicisme formel, et La Cage en est un exemple flagrant : la réalisation de Pierre Granier-Deferre convient ici en effet parfaitement à la tension distillée tout au long du film.

Bruce Lee : naissance d’une légende

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En se concentrant sur les jeunes années du dragon, jusqu’à ses 18 ans, ce premier film d’une trilogie nous fait passer du rire aux larmes en insistant sur une belle histoire d’amour entre le jeune Bruce Lee et sa belle dulcinée. Peu d’action au compteur donc, et pas vraiment de démonstration sur son apprentissage des arts martiaux, mais une immersion romancée dans l’univers privé de la famille Lee, nous permettant de connaître encore un peu mieux celui qui deviendra une star planétaire des films d’arts martiaux. On passe un beau moment et on se lasse prendre au jeu de cette histoire drôle et touchante qui s’ouvre avec le témoignage du frère et de la sœur de Bruce, et qui est portée par des acteurs bien crédibles.

Derniers articles

Test Blu-ray : I Love Peru

I Love Peru est un docufiction burlesque dans lequel Raphaël Quenard joue son propre rôle avec une sacrée dose d’auto-dérision. Co-réalisé avec Hugo David, le film s’impose comme un curieux objet filmique, à mi-chemin entre l’autoportrait déglingué, le trip mystique et le journal intime d’un acteur en pleine crise d’ego...

Sarlat 2025 : Les Enfants vont bien

A en croire les bruits de couloir pendant le Festival de Sarlat, le thème récurrent de cette 34ème édition était la recherche d’un nouveau foyer de la part d’enfants délaissés. Apparemment, Love Me Tender de Anna Cazenave Cambet et On vous croit de Charlotte Devillers et Arnaud Dufeys en traitaient, ainsi que – sans trop vouloir élargir l’échantillon d’œuvres concernées – Promis le ciel de Erige Sehiri.

Test Blu-ray : Sinners

Sinners, c’est un peu comme si le cinéma américain avait décidé de se souvenir qu’il avait une âme. Pas une âme propre, bien sûr — ce serait trop simple — mais une âme cabossée, pleine de blues, de sang, de jumeaux hantés et de plans-séquences qui feraient passer Alfonso Cuarón pour un stagiaire en école de cinéma.

Sarlat 2025 : Animal totem

Comme le disait l’éminent Fritz Lang, le format d’écran large est fait pour les serpents et les enterrements. Dans Animal totem, il aurait pu y avoir légitimement les premiers et, on le craint, il y a au moins métaphoriquement le deuxième. Car en optant pour un format extrêmement large, du 3:55 pour les puristes, le réalisateur Benoît Delépine bouscule nos habitudes de visionnage.

Sarlat 2025 : Promis le ciel

En règle générale, le parcours d’immigration n’est linéaire pour personne. A plus forte raison lorsqu’il se faufile dans la clandestinité, à l’écart des canaux officiels, sursaturés depuis longtemps. Ainsi, il y a des moments de précipitation au risque de sa propre vie d’un côté et des pauses lénifiantes de l’autre, qui coïncident avec une situation bloquée dont on peine à percevoir une issue favorable.