Test Blu-ray : Sibyl
Découvert en compétition au Festival de Cannes, Sibyl, portrait d’une femme chaotique est porté par une prestation forte de Virginie Efira, à nouveau dirigée par l’auteure de Victoria.
Test Blu-ray 4K Ultra HD : Hérédité
Le premier film d'Ari Aster Hérédité est sorti au format Blu-ray 4K Ultra HD chez Metropolitan Vidéo à la rentrée 2023. Test de rattrapage.
Test DVD : L’Espion qui venait du Surgelé
Un peu handicapé par un budget trop faible pour réussir à convaincre, Bava fait ce qu'il peut avec ses duettistes de l'humour rital : vannes stupides, grimaces à gogo, gags lourdingues... Avec le recul des années, cette œuvre pop bizarroïde rappelle pour beaucoup l'humour crétin d'un Benny Hill, doublé de gags simplistes évoquant les « grandes » années des Charlots.
Test Blu-ray : Un américain bien tranquille
Ce film de 1958, tourné en grande partie en décors naturels à Saïgon et qui voit les français s'exprimer en ... français, dégage un parfum d'authenticité qu'on ne retrouve que très rarement dans le cinéma américain de l'époque.
Test Blu-ray : Le Mors aux dents
Grâce à un thriller à la mécanique bien huilée, Laurent Heynemann utilise Le Mors aux dents pour dénoncer de façon détournée les magouilles liées aux accointances entre le pouvoir politique et les grands groupes industriels.
DVD, Blu-ray : M6 Vidéo nous gâte début Février
Le froid s'abat sur la France depuis quelques jours, la neige pointe le bout de son nez floconneux, mais heureusement, M6 Vidéo est là...
Test Blu-ray : Il a déjà tes yeux
Depuis quelques années, le cinéma français, sous l'influence de l'immense popularité d'Omar Sy, a redécouvert ses acteurs et cinéastes noirs. En 2009, avec La première étoile, Lucien Jean-Baptiste réunissait 1,6 millions de français dans les salles ; en 2011 et 2014, Fabrice Eboué et Thomas Ngijol dépassaient également le million d'entrées avec Case Départ et Le crocodile du Botswanga. Début 2017, avec Il a déjà tes yeux, Lucien Jean-Baptiste (encore lui), parvenait à nouveau à attirer 1,3 millions de français vers les salles obscures.
Test Blu-ray : Old stone
Sur le ton de la plaisanterie, mais avec une acuité presque prophétique, René Goscinny et Pierre Tchernia avaient déjà brocardé, dès 1976, les dérives des administrations en tous genres au cœur des Douze travaux d’Asterix, avec le fameux passage de la « Maison qui rend fou ». Ces dérives de la bureaucratie sont également au centre du premier long-métrage de Johnny Ma, Old stone : le film suit en effet la trajectoire de Lao Shi, un chauffeur de taxi se retrouvant obligé de prendre en charge l’hospitalisation d’un blessé pour n’avoir pas suivi la procédure à appliquer en cas d’accident de la route, quand bien même la vie de la victime était en danger.
Test Blu-ray : Code of honor
Ecrit et réalisé par Michael Winnick, Code of honor rappelle fortement, dans ses premières minutes, l’esprit des comics de la série Punisher. Surarmé et aussi discret qu’une ombre, Steven Seagal tire dans le tas et sans états d’âme, suite à la mort de sa femme et de son enfant lors d’une fusillade entre gangs. Il dézingue en gros, sans faire dans le détail, flinguant à tout va les dealers, trafiquants en tous genres, proxénètes et autres raclures. De fait, il faut admettre que Code of honor est plutôt réjouissant, surtout comparé aux navetons que tourne régulièrement le gros Seagal depuis son exil dans les pays de l’Est.
Test DVD : The smell of us
Vingt ans après avoir filmé les gamins paumés de Kids, Larry Clark s’attaque donc à la génération portable / Facebook et plus si affinités : une génération sur-connectée représentée dans les médias par la youtubeuse Marie Lopez.
Test Blu-ray : 12 jours
En totale cohérence avec le reste de la (longue) carrière de Raymond Depardon, 12 jours se situe à la croisée des chemins entre deux thématiques importantes de son œuvre : la justice d’un côté, et la psychiatrie de l’autre. Reprenant le dispositif technique d’un film tel que Délits flagrants (1994), en y ajoutant une certaine idée de « proximité » via l’utilisation de champs/contrechamps, 12 jours aborde donc la problématique de l’hospitalisation contrainte par le biais de la parole. Sans stigmatiser ni caricaturer, Depardon met en lumière dix « cas » précis, en prenant le temps de laisser s’installer le dialogue entre le juge et le patient. Souvent fascinant, toujours passionnant, le film se laisse également quelques plages de « repos » entre chaque cas clinique, sur une musique douce signée Alexandre Desplat, comme pour mieux laisser le spectateur s’’imprégner de ce qui a été dit.
Test Blu-ray : Mars Express
Mars Express emmène le spectateur dans un futur où la frontière entre le robot et l’homme est devenue floue, et où l’humanité apparaît comme « augmentée », améliorée par la technologie...



















